Analyse De Diérèse

rapprochement entre la charogne et la bien aimée choque le lecteur (V37 : comparaison) + le jeu de rimes croisées qui mettent en relation les thermes désignant la bien aimée et les thermes désignant la charogne : ordure/nature (S10) et infection/passion (diérèse) + hyperbole avec « horrible infection » (V39). En définitive, le poète nous délivre un enseignement : reprise d’arguments poétiques et épicuriens de Ronsard mais la leçon a changé, il ne s’agit plus de jouir de l’instant présent et du bonheur terrestre

patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Analyse : I) La montée de la crise A. L'ambiance angoissante On peut remarquer plusieurs champs lexicaux, comme par exemple celui de l'obscurité avec « noir » (v4), « nuits » (v4) , « chauve-souris » (v6), ainsi que celui de l'enfermement avec « couvercle »

essentielles (l.1 à 10, le narrateur décrit…). Attention, le plan de commentaire NE DOIT PAS SUIVRE les étapes du texte. • Regroupez les différentes idées et remarques générales que vous avez relevés à propos du texte. 3. Relecture précise et analyse du texte : COMMENT ? Relisez précisément le texte en relevant tous les procédés et figures de style que vous percevez. Vous pouvez partir de vos idées et remarques et vous demandez comment elles sont transmises dans le texte, comment sont perçus

personnages « quel fut ton plus beau jour », de même le poète marque sa distinction par ses images : « fit sa voix d’or vivant », marque d’idéalisation de la femme par la métaphore précieuse de l’or. La distinction est aussi dans l’intonation que le poète analyse en nuance : « sa voix douce et sonore au frais timbre angélique ». On note une allitération en « s » qui exprime, traduit la douceur. C'est l'élément essentiel de la description de la jeune fille, le seul qui soit précis. Cette métonymie présente

définition, le port est un lieu de passage, d’agitation et de désordre. Cependant, Baudelaire veut montrer une image lisse et maitrisée, sentiment corroboré par les glissantes en « s » (oscillation), les sons que l’on aurait tendance à prononcer en diérèse (mystérieux, coloration, merveilleux,…) et l’ajout systématique à chaque mot référant au mouvement un adjectif tel que « harmonieuses » ou d’un nom commun tel qu’ « architecture ». Ces mots cadrent, et réduisent l’ampleur d’un mouvement incontrôlable

de son développement, l’interrompt pour s’adresser à une personne où à une chose personnifiée. Assonance : Son voyelle qui se répète Césure : coupe principale du vers Décasyllabe : vers de 10 syllabes Diérèse : On appelle diérèse la séparation en deux syllabes de 2 voyelles en contact Distique : Strophe de deux vers Enjambement : le mot désigne le fait qu’une phrase se poursuit d’un vers sur l' autre sans que l' on puisse marquer une pause

10ème position (milieu) mais qu’il comporte de manière exceptionnelle deux diérèses tout d’abord sur le verbe « purifier » qui se prononce en 4 syllabes et qui invite dans ce verbe à l’infinitif à accéder à la purification introduite ici par l’impératif du verbe aller et dont l’orientation « dans l’air supérieur » comporte un adjectif particulièrement laudatif et doublement mis en valeur non seulement par une seconde diérèse mais également à la rime. On retrouve donc cette ascension verticale comme

propre supériorité comme en témoigne le ton solennel adopté au début du texte, avec « bénir l’heur de votre destinée », comme si cet union se faisait avec un dieu qui daignait s’abaisser à épouser une simple mortelle, ou « nœud glorieux » avec la diérèse qui renforce l’adjectif. Il la rabaisse totalement, par un lexique péjoratif pour son origine sociale : « bassesse », « le peu que vous étiez », « vil état de pauvre villageoise ». Cela révèle aussi son égoïsme. À travers la façon dont il présente

comme un élément autobiographique, vient faire figure d'autorité. Déjà dans la lettre adressée à Demeny, il évoque sa mère sur le mode négatif, comme une autorité tutélaire dont il dépend mais de laquelle il voudrait s'affranchir. Dans le poème, la diérèse au premier vers Mè/re indique bien une figure insistante et contraire à l'image maternelle telle qu'on pourrait la trouver dans le christianisme avec Marie. Tout le premier paragraphe, ainsi que le cinquième (vers 44 : « dimanches de décembre ») sont

- De la caricature de la grenouille à la satire de l'envie: La Fontaine se livre ici à la satire du bourgeois qui veut être un noble, une thématique que l'on retrouve chez son ami Molière dans une comédie comme Le Bourgeois Gentilhomme". La diérèse sur le mot "envieuse" au v 4 donne un relief et une importance particulière au terme. L'allongement du mot et la curieuse prononciation qui en découle font entendre une dissonance, dissonance qui suggère l'ineptie de l'attitude de la grenouille.