Analyse De Promenade Sentimentale

point que l’abondance des sensations finies et l’exquisité des sentiments rares en on fait des virtuoses stérilisés mais raffinés des voluptés et des douleurs ? » P. Bourget. Le romantisme, pourtant, ne s’en tient pas toujours aux confidences sentimentales, beaucoup de romantiques se croient investis d’une mission sociale : ainsi, par exemple, pour V. Hugo, le poète est un « mage ». 2-1- Le Romantisme dans le roman Le romantisme a rendu sacré la vogue du roman qui devient

hypothèques mais cela n’ait pas suffisant pour couvrir les dettes. Pendant ce temps, Homais se rêve en grand notable et se démène pour avoir la croix, publie beaucoup d’articles et s’indigne de tous les dysfonctionnements de la région. Lors d’une promenade, Berthe retrouve son père mort.. C’est la ruine, Berthe est reprise par sa grand-mère, à la mort de celle-ci, elle échoue chez une tante et est finalement placée comme ouvrière dans une filature de coton. Mots difficiles : Spleen : Le spleen

Matamore semble en avoir terminé. Clindor le « relance » alors d’une autre manière, premièrement par des flatteries personnelles : « Je vous vois aussi beau que vous étiez terrible » ; puis il incite Matamore à persévérer dans les considérations sentimentales abordées dans le dernier tiers de sa tirade, toujours avec des flatteries, « Et ne crois point d’objet si ferme en sa rigueur Qu’il puisse constamment vous refuser son cœur », ce qui signifie que Matamore est un séducteur irrésistible. Et la

même, (le feu des allumettes qu’elle devrait vendre pour vivre). La tendance psychique à la rêverie (qui caractériserait plutôt les petites filles, récurrence chez Andersen) est considérée comme une dangereuse faiblesse, mortelle. Sans nier ces deux analyses, nous mettons toutefois l’accent sur une autre transposition, peut-être plus contemporaine: la petite fille, grâce au monde imaginaire que lui ouvre le feu de ses allumettes trouve un moyen de résistance à la misère, un moyen de révolte même efficace

premier temps, il semblerait qu’en mourant Emma expie ses fautes, et Flaubert donnerait ainsi une portée morale édifiante à son roman. Ainsi la contemplation du miroir (qui s’oppose au moment où la jeune femme se regarde dans une glace après la promenade en forêt avec Rodolphe, « J’ai un amant« ) s’inscrit dans la thématique des vanités: remords et prise de conscience de la pécheresse, comme en témoignerait la mention « des grosses larmes« . Sa réaction ensuite, « elle se renversa la tête » montrerait

chez le graveur Ducommun qui le traitait brutalement : victime de l'injustice, il parvint à supporter les mauvais traitements, mais devint dissimulé, menteur, fainéant et chapardeur. Le soir d’un dimanche, le 14 mars 1728, rentrant trop tard d’une promenade, il trouva les portes de la ville fermées. Par crainte d’être battu, rien ne le retenant vraiment dans cette patrie qui lui avait légué une position intermédiaire entre les aspirations politiques et humaines des «gens du bas» et celles des «citoyens»

commun, qui a laissé Paris et son modeste commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journées sur la mer. Sa femme, bien plus fine que lui, douce, tranquille, affectueuse, «une économe bourgeoise un peu sentimentale», est la mère idéale qui ne vit que pour l’affection qu’elle porte à ses enfants. Les deux frères, unis et opposés par «une fraternelle et inoffensive inimitié», sont fort différents au physique comme au moral. L’aîné, Pierre, près de la trentaine

un écrit personnel ? Une grande partie des écrits personnels relève de la littérature intime : le je du scripteur est au centre du discours. On y parle en effet de soi, de sa vie sentimentale, de ses émotions, de ses rapports aux autres, de ses réflexions sur la vie ou les sujets qui préoccupent. Confiden- ces, analyse de soi, interrogations, commentaires et jugements se mêlent dans des propor- tions différentes, selon le type d’écrit intime. Notre époque a vu la publication de bon nom- bre de ces

autre, et Marianne elle-même fait quelques compromis avec la morale… 2. Le personnage hédoniste du roman libertin. ♣ Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon-fils est le premier des romans libertins (1736) : il retrace l’initiation sentimentale et les aventures successives d’un jeune homme, Meilcour. Le thème de l’initiation amoureuse est d’ailleurs un passage souvent obligé de ce courant romanesque, qui va de Vivant Denon (Point de lendemain), à Sade en passant par Restif de la Bretonne

de la réflexion, de la préparation, de la formation, de la planification et d’appréciation. Mais pour le mariage, que de légèretés, que de clandestinités, que des accidents de parcours, que de statistiques alarmantes de brisements et de crises sentimentales diverses !!! La cible privilégiée de Satan c’est la famille, pour la détruire, ne l’oublions pas ! Jésus a paru justement comme le bâtisseur pour détruire les œuvres du diable ! ‘Et si l’Eternel ne bâtit la maison, dit la sainte Ecriture, ceux