Analyse Du Poème Melancholia De Victor Hugo

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Ecole des loisirs pour une édition abrégée du roman  Ecriture : Rédiger son texte publicitaire pour le Bonheur des Dames de Zola 6 Projet intercycle « Lire Au Bonheur des Dames en 3ème / en 2nde » Martine Molina Corinne Zimmermann 3. Analyses fragmentées Objectifs : 1. Découvrir le contexte historique et économique du roman 2. Mieux comprendre le parcours amoureux de Denise en étudiant trois scènes de rencontre amoureuse avec Mouret*  Pendant la première étape  Lecture analytique n°1

des loisirs pour une édition abrégée du roman  Ecriture : Rédiger son texte publicitaire pour le Bonheur des Dames de Zola 6 Projet intercycle « Lire Au Bonheur des Dames en 3ème / en 2nde » Martine Molina Corinne Zimmermann 3. Analyses fragmentées Objectifs : 1. Découvrir le contexte historique et économique du roman 2. Mieux comprendre le parcours amoureux de Denise en étudiant trois scènes de rencontre amoureuse avec Mouret*  Pendant la première étape  Lecture analytique

deux gars de la foule sortent encore des fouets ; un lourd et long brancard ; six fouets lui tombent dessus et enfin un pieu de fer. On note l’influence de Victor Hugo qui revendique la justification des humiliés et des parias de la société, repoussés par tous. Le récit de la mort de la petite jument rappelle un poème de Victor Hugo Melancholia dans Les Contemplations : L’animal éperdu ne peut plus faire un pas ; Il sent l’ombre sur lui peser ; il ne sait pas, Sous le bloc qui l’écrase et le fouet

deux gars de la foule sortent encore des fouets ; un lourd et long brancard ; six fouets lui tombent dessus et enfin un pieu de fer. On note l’influence de Victor Hugo qui revendique la justification des humiliés et des parias de la société, repoussés par tous. Le récit de la mort de la petite jument rappelle un poème de Victor Hugo Melancholia dans Les Contemplations : L’animal éperdu ne peut plus faire un pas ; Il sent l’ombre sur lui peser ; il ne sait pas, Sous le bloc qui l’écrase et le fouet

qui va commencer. Ainsi par la voix de Salammbô Carthage se chante, et ce chant c’est Salammbô : un texte écrit dans une langue que les lecteurs-Barbares ne comprennent guère mais tâchent de « saisir », bouche-bée, portés par le « rythme sacré » du poème. On peut voir dans ce chant liminaire de Salammbô, texte phénicien traduit par un Grec et retraduit par Flaubert, une représentation du roman tout entier conçu comme la traduction, à travers la fiction, d’un texte original manquant, la langue même