Analyse Fleurs De Rimbaud

notamment aux Fleurs du Mal de Baudelaire, œuvre à laquelle nous étions restés totalement hermétique, et qu’une relecture récente nous a fait redécouvrir et apprécier, malgré nos a priori. Une relecture peut aussi être intéressante et enrichissante lorsqu’on n’avait pas aimé un ouvrage. Lorsque nous ne l’avons pas aimé car pas compris, il serait dommage de ne pas persister, et de ne pas essayer de saisir le sens de l’œuvre. Ce fut par exemple le cas avec le recueil des Illuminations de Rimbaud, qui ne

à Paris 1821 – Mort 1867, poète français. Héritier du romantisme et fidèle à la prosodie traditionnelle, il exprime à la fois le tragique de la destinée humaine et une vision de l’univers, où il découvre de secrètes « correspondances ». Après les Fleurs du mal (1857) qui lui valurent une condamnation pour immoralité, son œuvre critique et ses petits poèmes en prose (1869) sont à la source de la réflexion sur la modernité. - Queneau : Né au Havre 1903 – Mort à Paris 1976, écrivain français. Fondateur

_________________________________________________________________________________ Zone Pour le texte et une analyse, aller APOLLINAIRE - Zone _________________________________________________________________________________ Le pont Mirabeau Pour le texte et une analyse, aller APOLLINAIRE - Le pont Mirabeau _________________________________________________________________________________ La chanson du mal-aim Pour le texte et une analyse, aller APOLLINAIRE - La chanson du mal-aim _________________________________________________________________________________

Jour d’un condamné. Les personnages de cette comédie font une description précise du texte ; sur le genre d’abord, « Tenez, mesdames, avezvous lu le nouveau roman ? », ensuite sur le contenu narratif et la visée de l’auteur « développer, creuser, analyser, l’une après l’autre et sans en passer une seule, toutes les souffrances physiques, toutes les tortures morales que doit éprouver un condamné à mort, le jour de son exécution… ». Le philosophe précise : « À ce qu’il paraît, dans le but de concourir

esthétique moderne ( ici la superposition des sens )  l’archaïsme dénonce la difficulté de lire le monde moderne conçu comme aporie ( Patrick Labarthe, « De l’usage des archaïsmes dans Les Fleurs du Mal », Dix études réunies en hommage à Georges Blin, José Corti, 2002, pages 119 à 147 )  en dernière analyse, ironie à son égard, seul admirateur de la Muse et difficulté à lutter contre le spleen : le poète est pris entre les oppositions : « ange / être maudit, haut du ciel / abyme, ombre / trace »

esthétique moderne ( ici la superposition des sens ) ( l’archaïsme dénonce la difficulté de lire le monde moderne conçu comme aporie ( Patrick Labarthe, « De l’usage des archaïsmes dans Les Fleurs du Mal », Dix études réunies en hommage à Georges Blin, José Corti, 2002, pages 119 à 147 ) ( en dernière analyse, ironie à son égard, seul admirateur de la Muse et difficulté à lutter contre le spleen : le poète est pris entre les oppositions : « ange / être maudit, haut du ciel / abyme, ombre / trace »

Walter Scott «Ivanhoé» en 1819, «Notre-Dame de Paris» de Victor Hugo, «Quatre-vingt treize» d'Alexandre Dumas. le mal du siècle: cet expression est utilisée pour la première fois par Musset en 1836 dans «La confession d'un enfant du siècle». Il analyse le désarroi de la jeune génération face au rêve de liberté et d'ascension sociale qui sera par la suite brisé par le retour de la monarchie. Ce désanchantement mène à une recherche d'un ailleurs pour la nouvelle génération («Petits Chateaux de Bohême»

Les questions de fiche de lecture seront données d’ici au 5 octobre. 05/10/21 : Grammaire  : la notion d’interrogation (fiche et rappels, compléments) : application aux deux textes analysés.06/10/21 : Grammaire  : suite et fin de l’étude des négations et interrogations dans les deux textes étudiés en lecture linéaire. Rappel   : les connaissances grammaticales valent aussi pour l’écrit (connaissances nécessaires au commentaire

Pierre de Ronsard, 1586 Dans ce poème, le narrateur fait d’abord une évocation insistante de son corps avec le champ lexical "os", "bras", "œil", "corps", "face", "yeux". Le narrateur nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organisme. Il souffre de son esthétique, le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder. De plus, il y a deux occurrences de la mort, des répétitions avec « mort » deux fois, « adieu » deux fois et une périphrase

stupide. Un des autres moyens des réalistes pour imposer cette vraisemblance est d’utilisé des symboles à travers la description. Prenons pour exemple Le Lys dans la vallée de Balzac : on assiste à l’élaboration de bouquets par le protagoniste : les fleurs sont décrites précisément par de riches et longues descriptions durant plusieurs pages. Un lecteur averti, qui arrive à passer outre la longueur de cette description peut alors voir le double sens qu’elle comporte: au-delà de n’être qu’un simple bouquet