Analyse lexicale

COMMENTAIRE : Ne pas analyser le texte mais trouver les lignes de force du texte>Les thèmes principaux. C’est-à-dire on lit son texte on cherche que dit l’auteur ? Comment il le dit ? Pourquoi il le dit ? Il faut faire attention à l’écriture, la ponctuation. Ça nous amène à 2 ou 3 grandes idées. A chaque fois s’appuyer sur le texte sans paraphraser. On relève et on dit ce que ça signifie. Comparer par rapport à l’époque, à notre époque. Intro : Situer le texte, l’auteur (montrer que l’on connait

(l.44) qui marquerait ici une insistance, qui essaie de montrer l’importance del’évènement dans l’intrigue de l’histoire. ➢ Tout le vocabulaire en rapport (champ lexical) avec la réussite et le bonheur quant à lui serait là pour nous imaginer l’atmosphère dans lequel vivent lesRougon par opposition à la seconde partie de notre analyse : rire (l.10), plaisirs (l.12), jouissances (l.16), exclamation assourdissantes (l.24), radieuse (l.33), éclata en applaudissements (l.38),enthousiasme (l.39) etc

Analyse linéaire de « Zone » I) La modernité dans la ponctuation et les vers II) Paris : ville moderne Introduction .Apollinaire est l’auteur de deux chroniques. Il écrit les peintres cubistes. Zone est le poème le plus récent. En quoi le poème « Zone » est-il moderne ? I) La modernité dans la ponctuation et les vers Vers 1 à 3 : "tu" est ambiguë, le poète introduit un dialogue. Plus tard on se rend compte que Apollinaire utilise le registre lyrique. Vers 3 :"las"=> rejet

Je vais analyser trois textes au sein de ce corpus, René de François René de Chateaubriand publié en 1802, Le Lac tiré du recueil Les Méditations d’Alphonse de Lamartine publié en 1820 et pour finir Soleils Couchants tiré du recueil Les feuilles d’automne de Victor Hugo publié en 1831. I- La Nature Dans le poème de Lamartine la nature nous est présentée comme un témoin. Le poète se trouve dans un lieu qui a été témoin de son amour avec Elvire et lorsqu’il y revient il n’est plus avec sa

Analyse des personnages et des lieux dans «La héronnière» de Lise Tremblay En 2003, un ouvrage illustrant le quotidien de ruralité québécoise vit le jour. Le recueil de «La héronnière» écrit par Lise Tremblay met la lumière sur les conséquences du post-modernisme sur la vie de campagne. Bien que plusieurs croient en la tranquillité des régions rurales, l’auteure du livre tache de nous rappeler que ce que nous croyons est bien loin de la réalité. Afin de cerner ce que l’écrivaine a mis sur papier

présente, car on leur attribut des caractéristiques humaines en mentionnant qu’elles chantent. Il y a également une métaphore des feuillages avec des eaux vives. Si on continue à analyser ce même poème, Saint-Denys Garneau écrit : . Ici, on remarque que les saules sont actifs puisqu’il y a le champ lexical du mouvement, de la mobilité. Leurs feuilles sont précieux comme de l’argent. On a aussi l’impression que les saules sont animés par les éléments de la nature tels que l’air, le ciel

en alexandrin. Lecture Problématique: Relire la question de l'examinateur Plan Cette problématique soulève des intérêts majeurs que nous allons analyser en 3 axes. Les 2 tableaux: symétrique et opposé. Dans le 2ème axes j'évoquerai la guerre et la religion La dénonciation de Rimbaud V)Analyse 1.Les 2 tableaux symétrique et opposition a. Le poème est symétrique car il est composé de 2 tableaux, les deux quatrains qui forme ont un tableau représente la

Ronsard, Sur la mort de Marie Analyse du poème Le poème est écrit en sonnet ( 2 quatrins et 2 tiercets ) et en alexandrin ( vers de 12 syllabes ) comme la plupart des poèmes des membres de la Pléiade et les rimes y sont embrassées composées de phrases déclaratives et parfois complexes. On y retrouve le thème principal des poèmes de Ronsard, l’amour, puisque Marie était un des 3 amours de Ronsard. Marie appartenait à la paysannerie, ce qui peut expliqué le champ lexical de la nature utilisé par le

Ronsard : ce sonnet n’est ni italien ni français. Dans ce poème on se demandera donc dans quelle mesure ce poème est-il un moyen de soulager la souffrance de l’auteur. Dans un premier temps nous traiterons donc la souffrance de l’auteur pour ensuite analyser la manière dont il s’exprime et se soulage. I) Souffrance de l’auteur a) La tragique mort de son aimé, Marie Dupin: La souffrance de l’auteur est montrée Vocabulaire deuil : obsèques, larmes, pleurs, cendre Une mort lente : languissante

métissage constant, mais fluctuant car l’intégration peut être plus ou moins rapide et plus ou moins complète. De plus, il n’est pas rare qu’un mot fasse plus tard le voyage inverse et l’on peut alors parler d’un va-et-vient continuel entre les trésors lexicaux des langues entrées en contact, mais ce vocabulaire d’origine étrangère ne s’intègre pas du jour au lendemain. 1. La langue française et les mots migrateurs Ainsi, c’est seulement depuis un peu plus d’un siècle que nous connaissons en français et