Analyse lexicale

b) Quand le pouvoir triomphe II) Un personnage faible a) Pas sûr de lui b) Qui renforce le tragique Jean Racine est un écrivain français du XVIIème siècle appartenant au classicisme. Il a écrit Bérénice en 1670. Nous allons analyser un passage de cette œuvre. Dans ce monologue, Titus appréhende la venue de Bérénice, pour lui expliquer le choix qu’il a dû prendre. Tout d’abord, nous allons voir que dans sa réflexion l’amour est prioritaire puis que le pouvoir prend le dessus

Analyse : Strophes pour se souvenir Louis Aragon I/ La forme du poème - composé de 7 strophes de 5 vers = 7 quintils - mètre = alexandrins ( 12 syllabes) - présence de rimes - absence totale de ponctuation - une partie du texte en italique : c’est la partie inspirée de la lettre d’adieu écrite par Manouchian à sa femme - 4 mots en majuscules : MORTS POUR LA FRANCE II/ Etude linéaire On a 3 situations d’énonciation différentes au fil du poème : 1) v.1 à v.18 = Aragon s’adresse

arrive pas puisque « le temps n’a point de rive » (v.35). Cette métaphore est soutenue aussi par des figures de style : par exemple, les allitérations en [l] aux vers 14 et 38 reproduisent un son liquide qui correspond au bruit de l’eau. Le champ lexical du temps parcoure tout le poème: "la nuit"(v.2), "l’année"(v.5), "un soir"(v.13), "heures"(v.21), "jours”, “moments"(v.29),"l’aurore"(v.31). De plus, les nombreux enjambements  semblent accélérer le rythme du poème en donnant l’idée du temps qui passe

un relevé médical/autopsie. II) Expression d'horreur: -Cherche à inspirer l'horreur: détails poussés à l'extrême, dégout, figures hyperboliques/gradation, -Sa laideur comme une vengeance du fait qu'elle était prostituée La mort de Manon: I) Analyse de la structure du texte: -1 paragraphe: Avertissement aux lecteurs, direct, s'adresse au lecteur, utilisation de l'Apostrophe. -2 paragraphe: Avant la mort de Manon, mise en contexte -3 paragraphe: Après la mort de Manon, on le suit jusqu'à la

mourir après une agonie solitaire, seul Eugène l’a accompagné dans ses derniers instants. Il en est de même pour la cérémonie qui a été vite expédiée par le clergé. Problématique : En quoi ce dénouement est-il une ouverture ou un commencement ? Analyse littéraire : I) La mise en terre du père Goriot (1er paragraphe) -le registre réaliste apparait dans la précision du vocabulaire : « corps, corbillard, fossé, bière, tombe » et dans la mention de lieu réel comme le cimetière du Père Lachaise

Analyse du texte L’avare Acte I, scène 4 1. Il a enterré dix mille écus dans son jardin (p.34), tente de dissuader ses enfants qu’il n’en a pas (p.35), en parle souvent, croit que tout le monde veux le voler, veux que sa fille épouse Anselme. 2. Cléante : Nous n’entrons point dans vos affaires. Harpagon : Plût à Dieu que je les eusse, dix mille écus! Cléante : Je ne crois pas… Harpagon : Ce serait une bonne affaire pour moi. (p.36) Harpagon veut de l’argent, il en demande encore. 3. Harpagon

coeur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant. Louis Aragon, Le Roman Inachevé Analyse: Louis Aragon, auteur du XXème siècle, est un poète engagé. Il écrit « Strophes pour se souvenir », poème extrait du Roman Inachevé, en 1955, en mémoire du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944. L'annonce de leur

et qui enrichit la langue française. -Invitation à la vie, CARPE DIEM (profite du jour présent) - 3 sizains d'octosyllabes. 2 premiers = diptyque rose début et fin de vie ; le dernier évoque la leçon de vie que le poète veut donner à Cassandre II. Analyse A. Problématique et plan Comment le poète parvient-il à faire d'un thème lyrique une réflexion sur la condition humaine ? A.1. Un thème lyrique Construit autour d’une rose dont il s’agit de détailler les atouts, le poème propose une métaphore filée

grises qui s’effaçaient au milieu d’un brouillard laiteux. différentes sensations dans ce passage - la mélancolie , la tristesse, le désespoir. mais aussi la beauté et le calme, un certain apaisement, une acceptation de la nature champ lexical de la mort "brulé", "noires", "ombres", "dernières" Je t'ai mis en gras le reste ; et tu peux aussi t'intéresser aux couleurs, qui sont souvent celles du deuil Édité par Léah (mardi 29 avril 2008 à 09 h 57) {draw:rect} Tenir un seul cheveu

▪ « étroit » « obscure » « épais » o négations ▪ « n’entendre que l’onde, à ne voir que les cieux » « sans bruit, sans nom, et sans retour » b) omniprésence de l’eau o lieu rempli d’eau o champ lexical de l’eau ▪ « ruisseaux » « onde »x3 « eaux » o antithèse « limpide » - « troublée » o texte écrit à la manière d’un fleuve qui coule o progression du récit ▪ « lassé de tout » => « l’oubli seul »