Analyse Numérique L2

: Pacti ve = R (P) = L p= K Nous déduisons l’expression de la puissance complexe : J u · i∗ 2 I p= Z 4 Additionneur (voir sommateur) Additionneur (voir sommateur) Additionneur-soustracteur En électronique numérique, un certain nombre d’opérations mathématiques se ramènent à des additions (une soustraction est une addition d’un nombre négatif). Prenons le cas de deux mots binaires A et B de 4 bits : A = A3 A2 A1 A0 et B = B3 B2 B1 B0 , L’addition des deux

boutons tout ou rien.Ils fonctionnent sur le principe simple du contact électrique : Les boutons sont au-dessus d'une plaque conductrice et lorsque l'on appuie dessus un contact (voire figure 2) se créer et le signal correspondant est envoyer et analysé par le CPU. Chaque bouton correspond à un circuit diffèrent et donc le CPU reçoit les signaux d'origines différentes. C'est ainsi qu'il les différencie. Ensuite durant prêt de 10 ans, aucune nouvelle technologie n'est apparue. C'est seulement une

Considérons par exemple le déterminant suivant : 1 2 3 4 5 1 2 1 2 1 1 −1 4 3 −1 . 2 −1 3 1 4 5 −2 3 −1 3 On retranche la première ligne à la 2e et à la 3e , on retranche Deux fois la première ligne à la quatrième et 5 fois la premère ligne à la cinquième. L2 −→ L2 − L1 , L3 −→ L3 − L1 , L4 −→ L4 − 2L1 , L5 −→ L5 − 5L1 1 2 3 4 5 0 0 −2 −2 −4 D = 0 −3 1 −1 −6 0 −5 −3 −7 −6 0 −12 −12 −21 −22 0 1 1 2 −3 1 −1 −6 = −2 = −4 −5 −3 −7 −6 −12 −12 −21 −22 0 −2 −2 −4 −3 1 −1 −6 = −5 −3 −7 −6 −12 −12 −21 −22 0 1 1 1 −3

................................................................................. 81 4 6.4 Résultats des essais .................................................................................................... 82 6.5 Interprétation et analyse des résultats ........................................................................ 85 Conclusion ................................................................................................................................ 86 Bibliographie

de type 440BX est composé du North Bridge 82443BX et du South Bridge 82371EX. La gestion de la mémoire cache Le chipset détermine la taille de mémoire cache de type L2 supportée. Celle−ci varie couramment entre 256 et 512 Ko. Bien évidemment, cela ne concerne pas les machines dont le processeur intègre directement la mémoire cache L2, comme le Pentium Pro. La gestion de la mémoire vive La taille maximum de mémoire vive est aussi définie par le chipset. Attention, il s'agit de la taille maximum de

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 11 11 11 12 13 14 14 14 14 15 16 16 16 16 17 18 19 19 21 22 22 24 24 24 4 TABLE DES MATIÈRES 25 25 26 27 29 30 30 30 30 31 31 32 34 34 34 36 37 39 40 41 42 44 45 45 49 50 54 55 58 59 61 63 67 3 Analyse 3.1 Limites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Dérivées et optimisation . . . . . . . . . . . . . 3.3 Primitives et intégration . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Longueur d’un arc de courbe . . . . . . . 3.3.2 Aire d’une surface de révolution

............................................................................................. 62 CAPTEURS LOGIQUES (TOUT OU RIEN : TOR) ................................................................................................ 62 CAPTEURS NUMERIQUES ........................................................................................................................ 66 CHAPITRE 2 : CONDITIONNEMENT DU SIGNAL ..............................................................................

............................................................................................. 62 CAPTEURS LOGIQUES (TOUT OU RIEN : TOR) ................................................................................................ 62 CAPTEURS NUMERIQUES ........................................................................................................................ 66 CHAPITRE 2 : CONDITIONNEMENT DU SIGNAL ................................................................................

molaire Sm . Si la première ne pose pas a priori de difficulté particulière pour la mesure et le sens physique, l’entropie molaire nécessite une convention supplémentaire pour pouvoir associer à un corps pur dans un état physique donné, une valeur numérique. En effet, les grandeurs physiques facilement mesurables associées à l’entropie sont la capacité thermique à pression constante et la dérivée partielle du volume molaire par rapport à la température à pression fixée. 3.1 Troisième principe de

résultat d’un processus permanent et d’une politique décidée au plus haut niveau (voir le Cycle de l’intelligence, fig. 1.2). Traitement 3. STOCKAGE 2. COLLECTE Diffusion-partage 1. OBJECTIFS Besoin d’information complémentaire 4. ANALYSE Redefinition 5. ACTION Fig. 1.2: LE CYCLE DE L’INTELLIGENCE Une fois les objectifs globaux en matière d’information arrêtés, les missions de collecte, de stockage et d’analyse de l’information doivent être conçues de manière à aider