Analyse Pestel Lafarge Ciment

d’une entreprise peut être relativement difficile. Une industrie peut être associée à plusieurs métiers (industrie automobile). Deux industries apparemment très différentes peuvent relever du même métier. La notion de métier permet de dépasser les analyses traditionnelles effectuées en termes de consommateurs et de produits. Elle permet de raisonner, en termes de compétences distinctives et de situer l’entreprise par rapport à son environnement concurrentiel. Dans certains cas, cette notion est rarement

facteurs, s’il constitue pour elle, une force ou une faiblesse et, ce faisant, elle sera à même d’identifier ses facteurs clés de succès, c’est-à-dire les éléments stratégiques qu’il convient de maîtriser pour obtenir un avantage concurrentiel. Analyse des 5 forces (M. Porter) Le diagnostic Recherche et Développement permet à l’entreprise, en fonction de l’évolution de son environnement, de changer ses priorités et par conséquent, de modifier ses choix en matière d’innovations, de développement

plusieurs manières d’aborder la stratégie Mintzberg distingue 10 écoles de pensée en stratégie. Elles sont complémentaires. Ecole de la conception (Adrews, 1971, Chandler, 1962) : La stratégie résulte d’une analyse systématique des forces/faiblesses et menaces/opportunités (SWOT). C’est de cette analyse que découle la stratégie qui, une fois définie, est mise en œuvre. La formulation de la stratégie est distincte de sa mise en œuvre car la réflexion précède et dirige l’action. On pense d’abord on agit

des banques tunisiennes. par Karim HAJ AYED Faculté de droit et des sciences économiques et de gestion de Sousse - Mastère finance et banque 2007 Dans la categorie: Economie et Finance précédent sommaire suivant Les stratégies bancaires : analyse & enjeux : Les banques ont pris conscience, depuis des années, de la nécessité de définir une véritable stratégie, aussi bien que pour des raisons internes de présentation plus claire des objectifs et des missions que pour des causes de communication

..........26 11. L’analyse externe.......................................................................................................................................................................26 111. L’analyse du macro-environnement avec PESTEL ............................................................................................................26 Grille PEST application à la banque : .................................................................................................

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. 318 Fiche 76 : Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 323 Fiche 77 : Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 329 Fiche 78 : Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 333 Fiche 79 : Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 337 Fiche 80 : Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .