Analyse Pestel Walmart

vendeurs et le service à sa jeune clientèle, déjà largement conditionnée par les campagnes publicitaires. Toys ‘R’ Us avait cependant connu une période difficile entre 2000 et 2005, notamment du fait de la concurrence du distributeur généraliste WalMart sur le marché américain. Contraint de céder une partie de ses magasins, il avait laissé la place à des concurrents tels que les chaînes La Grande Récré et King Jouet ou le groupe coopératif JouéClub en France (plus de 20 % du marché à eux trois).

de l’activité «un voyage de la mine a nos doigts » II. Analyse interne 1. Environnement Macro (PESTEL) 2. Environnement Méso (PORTER) III. Analyse externe 1. Domaines d’activités stratégiques (DAS) 2. Analyse de la valeur ajoutée : modèle de la chaîne de valeur 3. Analyse financière 4. Facteurs clés de succès IV. Synthèse de l’analyse externe et interne 1. Matrice SWOT 2. Analyse des perspectives par acteur : modèle de la « balanced scorecard »

(1996). Dès cette année la, il sera coté à la bourse de Francfort. Son siège est depuis basé à Düsseldorf en Allemagne Aujourd’hui, METRO s’affirme comme un distributeur puissant puisqu’il est le troisième groupe de distribution dans le monde après WALMART et CARREFOUR et le deuxième au niveau européen. De ce fait, il dispose d’un fort pouvoir de négociation auprès de ses producteurs, des moyens financiers très importants et d’une compétence particulièrement bonne en logistique. Le groupe Cash and carry

dont le potentiel, les facilités d’approche et les coûts de pénétration sont en rapport avec la taille et le savoir-faire export de l’entreprise (diagnostic export) ; ● Appréhender la psychosociologie liée à l’achat et à la consommation ; ● analyser la position des concurrents ; ● Repérer les niches éventuelles en rapport avec les spécialités du métier ; ● Arrêter une politique de pénétration (solo / partenariat, commerciale et ou industrielle, croisée ou non) ; ● Déterminer la politique

réflexion stratégique débutera par un diagnostic externe de ce secteur tant convoité (PESTEL et Porter). Puis nous continuerons notre développement par une analyse de l’environnement interne attrait à l’industrie Lassonde (chaine de valeur). Ensuite nous étudierons les choix stratégiques (scénarios) qui s’offrent à cette entreprise familiale et nous recommanderons le meilleur. Enfin nous terminerons notre analyse par le déploiement de cette société (plan organisationnel, projets, tableau de bord …)

COURS 1: INTRODUCTION  Analyse SWOT: Strenghts, Weaknesses, Opportunities & Threats (1960-1970) Analyse de ses forces et de ses faiblesses.  Analyse de l'industrie (1980) Industrie = environnement Certaines entreprises sont plus profitables que d'autres.  Le modèle des 5 forces de la concurrence:  Analyse des ressources et compétences (1990) Pourquoi dans un même secteur, certaines entreprises marchent mieux?  Modèle de Porter: analyse de la chaîne de valeurs. 

........................................................................................ 23 B. La tendance des marchés mondiaux......................................................................................................... 25 C. Analyse PESTEL du Mexique........................................................................................................................ 26 1. Les facteurs « Politiques » ............................................................................

groupe : 19 PARTIE III: ANALYSE PESTEL DE MARCHE CHINOIS 22 I. Analyse facteur politique. 22 3.1.1 Commerce extérieur 22 3.1.2 Echange bilatéraux 24 II. Analyse facteur économique. 24 3.2.1 General 24 3.2.2 L'investissement direct étranger (IDE) en Chine 26 3.2.3 Appréciation du risque : 28 3.2.4 Récents développements économiques 30 3.2.5 Politiques économiques: 31 3.2.6 Perspectives économiques: 33 III. Analyse le facteur socioculturel :

simples et composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

composés . . . . . . . . . . . . . . Les emprunts indivis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les choix d’investissements . . . . . . . . . . . . . . . Le bilan et le compte de résultat . . . . . . . . . . . . Le bilan fonctionnel et son analyse . . . . . . . . . . Les SIG et la CAF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les ratios de structure et de gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .