Analyse Poeme Spectacle Rassurant

| |T BAC PRO |OBJECTIF GéNéRAL DE LA SéQUENCE : étudier l’art engagé sous ses différentes formes (La peinture, La poésie et la chanson, | | |mais aussi la photographie et le cinéma) ; analyser des images et des poèmes modernes. | | | | | | | |Séance :

quant à lui directement à son destinataire (le roi Philippe III le Hardi), auquel il dépeint sa situation de dénuement avec l’objectif implicite d’obtenir son aide en l’apitoyant. La traduction conserve le caractère intime et le ton de sincérité du poème, daté de l’hiver 1276-1277. L’Épitaphe de Villon, composée alors que, condamné à mort, son auteur s’attend à être pendu, a successivement deux destinataires : 1) les « frères humains » apostrophés au début de la ballade et auxquels s’adresse la phrase

Ayant consulté un derviche et un vieillard qui jouit d’une douce vie en cultivant sa terre avec les siens, Candide discerne le secret qui lui échappait et oppose aux bavardages de Pangloss cette objurgation : «Il faut cultiver notre jardin». Analyse Intérêt de l’action Oeuvre d'apparence mineure, on a pris l'habitude de la nommer «conte» mais on peut aussi bien y voir un «roman», à cause de sa longueur et de son réalisme. C’est un roman d’aventures picaresque où le voyage est une trame

différentes formes (La peinture, La poésie et la chanson, mais aussi la photographie et le cinéma) ; analyser des images et des poèmes modernes. Séance : Durée : Oeuvres étudiées : Activités des élèves : Notions abordées : 1 2h - Le Dormeur du Val d’Arthur Rimbaud. - Le Déserteur de Boris Vian. + version sonore de Reggiani. En partant de la version sonore de Reggiani, analyser successivement les deux poèmes. - Le sonnet. - Les mots techniques de la poésie (révision). -

figures de style . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 Distinguer et pratiquer les différentes formes de discours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 57 62 65 70 75 IV - ANALYSER ET PRATIQUER LES GENRES DE L’ARGUMENTATION ¢ ¢ ¢ ¢ ¢  15. Étudier et choisir des stratégies argumentatives . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81 16. Distinguer différents genres de l’argumentation . . . . . . .

d’un métissage impossible. Mais cette typologie de personnage est très rare. « La peur du métissage reste une donnée forte, que même dans les films récents, des subterfuges sont encore utilisés pour en contourner la réalité et trouver un compromis rassurant.» Les films on recours au personnage du Blanc indianisé ou de l’Indien assimilé. Ce dernier est comme «blanchi». Enlevé à sa communauté d’origine, il est totalement intégré à la société des Blancs. Pour être inclut dans cette société l’Indien a dû

évoque l'amour ou la mort. Nerval exprime dans Sylvie le bonheur d'une fête nocturne : « Nous pensions être au paradis ». Mais Charles Nodier écrit, dans Smarra : « Il fait nuit !… et l'enfer va se rouvrir ! » Hugo débute l'épopée de Satan par le poème « Et nox facta est », qui fait de la nuit le lieu de damnation et l'œuvre de l'ange déchu. Foncièrement ambigüe, la nuit est propice à l'évocation des morts : « Je songe à ceux qui ne sont plus : Douce lumière, es-tu leur âme ? » (Lamartine,

au « poème classique » (voir p. 154), de prolonger l’exploration de la période d’invention et de diversification de ces formes (la Renaissance au xvie siècle, le classicisme et le baroque au xviie) par une extrapolation allant jusqu’au xixe (Le Parnasse) et au xxe siècles. Ceci afin de porter une attention particulière aux œuvres (Valéry, Aragon, Bosquet par exemple) qui, en dépit des bouleversements initiés par les romantiques et surtout par les modernes (voir Séquence 3, consacrée au « poème moderne

les récompenses sont de taille“.5 Au fur et à mesure qu’une lecture attentive des textes mêmes progresse, le jugement sur la forme – mais aussi sur le contenu – du théâtre de Reza est devenu plus nuancé. Ainsi, en 2002, Patrice Pavis, dans une analyse détaillée de „Art“ a souligné „la qualité dramaturgique et textuelle d’une œuvre qui mérite toute notre attention et fait partie de plein droit de notre corpus de pièces réputées difficiles et innovatrices“.6 En 2004, le ‘Centre de Recherches sur

: la honte, le rapport difficile avec le corps. Ce nom, titre de la cinquième partie du recueil cité plus haut, est presque intraduisible mais on ne peut imaginer l'âme humaine sans lui ; il constitue une gêne, un rabaissement, l'humiliation, le spectacle de notre propre misère. La litost est incarnée par l'étudiant qui emmène Christine dans un café mal famé, elle en est très gênée, et ce sentiment revient entre eux deux lorsqu'ils s'embrassent car elle garde les genoux serrés. Dans La vie est ailleurs