Analyse Texte Realiste

d'excellents photographes. Les tirages de Heartfield sont diffusés à un demi-million d'exemplaires dans les pays de langue allemande par A. I. Z. B.Comment réalise-t-on un photomontage ? C.En quoi ces 4 peintures du général Franco sont-elles plus réalistes qu'une image de propagande ? D.Qui est le personnage représenté ? Pourquoi est-il dans cette posture ? Quel sentiment vous inspire-t-il ? DESCRIPTION Composition Dans cette image se trouve 3 personnages : à gauche Georges Bonnet (il est anticommuniste

type social qui reflète les mœurs et les codes d’une société donnée, que nous pouvons réactualiser aujourd’hui. Dans ce cas là, certains auteurs mettent tous les procédés en place pour nous faire croire que l’histoire racontée n’est pas un roman : Texte de Marivaux, Vie de Marianne. b) Le romancier donne l’illusion du réel en plaçant ses personnages dans un cadre réel Le roman n’est pas l’Histoire : Mme de Lafayette prend des libéralités avec les dates, comme par exemple celle de la mort du duc

mari consent-il à la fin du passage ? À la fin du passage, le mari consent à donner 400 francs à sa femme, alors même qu’il réservait cette somme pour « s’offrir des parties de chasse » (ll. 88-89). 2) Questions d’interprétation : « Analyser le texte » 1. a. Relevez les termes qui traduisent la souffrance de Mathilde (l. 6 à 16 et l. 35 à 37). Les termes qui traduisent la souffrance de Mathilde sont : - « malheureuse » l. 6 - « Elle souffrait sans cesse » l. 11 - « Elle

PROPOSITION PROGRESSION DE FRANÇAIS ANNEE 2008/2009 NIVEAU QUATRIEME Août/septembre Séquence 1 : la nouvelle en tous genres Objectifs : 1)Définir le genre de la nouvelle 2)Lire des nouvelles de registres variés (réaliste, « à chute » et fantastique) et étudier leurs caractéristiques propres. 3)Etude du réalisme et du fantastique 4)Aborder la notion de point de vue 5)Revoir les composantes du récit et son rythme 6)Revoir les registres de langue 7)Revoir le schéma narratif 8)Revoir les

lecteur devant un texte (il conviendra donc d'éviter de confondre avec le registre de langue (soutenu, vulgaire ....)). Certains textes provoquent, chez le lecteur, des émotions diverses: compassion, enthousiasme, admiration, frayeur, angoisse, amusement... Toutes ces réactions sont produites par des caractéristiques du texte (agencement des mots et des phrases, thème traité...) qui renvoient à la notion de registre. Le registre correspond à la nature particulière de l'émotion que le texte vise à communiquer

dans l’organisation du récit. ! > Le narrateur est absent de l’histoire. Porte-t-il un jugement sur l’histoire qu’il raconte ? sent-on sa présence ? > Le narrateur personnage. Est-il le personnage principal ? ! 2. Identifier et analyser les focalisations. Le point de vue est aussi appelé focalisation, terme qui désigne le foyer à partir duquel une photo est prise. > Le point de vue omniscient. Il correspond à une focalisation zéro  : le narrateur sait tout des personnages

marcheA. L'arrivée des femmesB. L'arrivée des hommesII) Une révolte placée sous le signe de la violenceA. Les raisons de cette fureurB. Une misère qui déshumanise et qui animaliseC. De la révolte à la révolutionConclusion Résumé du commentaire de texte Le texte à étudier est tiré du chapitre cinq de la cinquième partie de Germinal, roman naturaliste d'Émile Zola paru en 1885. L'extrait s'inscrit dans le cadre des mouvements de grève de la fin du XIXème siècle. Il évoque le cas de mineurs travaillant

sentiment amoureux très fort (passion + estime + hyperbole) =>immédiate («dès ce moment» # fille mystérieuse =>il ne la connait pas (répété plusieurs fois) # fille belle (champ lexical de la beauté) =>elle n'est pas décrite =>le texte ne donne pas l'illusion du réel # une héroine: =>jeune, belle, noble, riche (joallier) =>c'est une personne hors du commun # rencontre du hasard =>1er sentiment : la surprise (chp lex) # Melle de chartres a des qualités morales =>

Victor Hugo - Les Misérables - 1862 Extrait analysé : Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule du second pour une mansarde fermée d'un loquet sous le toit; un de ces galetas dont le plafond fait angle avec le plancher et vous heurte à chaque instant la tête. Le pauvre ne peut aller au fond de sa chambre comme au fond de sa destinée qu'en se courbant de plus en plus. Elle n'avait plus de lit, il lui restait une loque qu'elle appelait sa couverture,

dans le milieu de l’époque et ainsi les contraintes qu’à engendré cette liberté prisent par les deux artistes. Les mains libres comme l’évoque assez bien le titre est une œuvre sans contrainte, il n’y a aucune limite , aucun cadre et rien de réaliste. Cette liberté des mains, ce rejet des contraintes Man Ray les réclames dès le début de son activité d’artiste : le rejet de la représentation selon les règles classiques de la perspective l’artiste l’avait admirée chez l’artiste peintre Picasso