Analyse Théorique Du Chômage

II Enjeux et analyse 2.1 Peut-on encore parler d’une société de classes ? 2.2 Une société moyennisée ? 2.3 Autour de la moyennisation I Les faits stylisés Points abordés La dynamique de l’emploi et du chômage L’évolution de la structure des emplois La nomenclature des PCS La transformation des catégories sociales La féminisation de l’emploi salarié I Les faits stylisés 1.1 Dynamique de l’emploi et tertiarisation Points abordés    La dynamique de l’emploi et du chômage Les formes particulières

la laïcité, le débat est aujourd'hui apaisé et moins idéologique. Il se centre plutôt sur le caractère utilitariste que les Français accordent à l'école, en périodes de chômage et de doute. Les familles aspirent à l'ascension sociale ou du moins à une insertion sociale qui préserve leurs enfants des risques récurrents du chômage. Le système méritocratique que propose l'école, dans une société valorisant l'égalité des droits et des chances, doit permettre à chacun d'accéder à un statut social en

artificiellement le capital de l’emploi le plus productif mais la production locale cher au début a cause des droits de douane peut devenir moins cher par la suite un pays peut s’industrialisé s’il s’entoure de barrières douanières le cheminement théorique de la croissance est le suivant les capitaux se forment d’abord dans l’agriculture et s’investissent dans l’agriculture puis comme la rentabilité diminue dans ce secteur il s’investissent dans la manufacture enfin quand l’industrie commence a saturé

premier est l’analyse de la valeur travail, dont Marx fera ensuite son miel : seul le travail est productif, donc toute valeur marchande est issue du travail, qu’il soit direct ou indirect (équipement, énergie, biens de production). Le second est son analyse de la rente foncière : lorsque la production agricole doit augmenter et que de nouvelles terres sont travaillées, les rendements de ces dernières sont en général moindres que ceux tirés des terres déjà mises en valeur, qui étaient cultivées parce

éoliennes ..) * Indicateur de progrès véritable : J.TOBIN, permet de developper sans utiliser les ressources * Indicateur de santé sociale : taux de chomage, d’éducation . Paramètres très nombreux. * Indicateur de bien être économique (GB et norvege) : Prend en compte pas mal d’éléments économiques , inflation, taux de chomage , PIB. Cela ne prend pas assez en compte des indicateurs sociaux. * Baromètre des inégalités et de la pauvreté. D. Produire : une combinaison

ECONOMIE DU TRAVAIL 23.09.11 Bibliographie : Jerome Gautié Plan du 1er semestre : -Introduction -Chap1 : PA, emplois, chomage -Chap2 : Les analyses du chomage volontaire -Chap3 : Les analyses du chomage involontaire -Chap4 : le dilemme inflation-chomage INTRODUCTION : 1) Définition du travail et typologie de Jacques FREYSSINET : Freyssinet définit le travail comme «Toute activité humaine finalisée par la production de valeur d’usage, matériel ou immatériel ». -« Toute

croissance et les crises économiques : faits stylisés Faits stylisé est un fait qui est présenté de telle sorte qu’il puisse donner lieu à une théorie économique. Question à se poser : définir et distinguer les causes de la dynamique des crises. Analyser les mécanismes de sortie de crises, la manière dont les grandes variables éco (prix, la production, la consommation, les salaires, etc.) s’ajustent pour permettre la sortie de crise. Crise : étymologiquement, c’est le moment où la maladie devient

L’analyse écq et basée sur des concepts : le chômage , le PIB , la firme etc. mais si cela n’est pas tjrs explicite , un concept renvoie à une déf précise Un concept ne peut être détaché de sa définition Un concept est construit , et n’existe pas naturellement Exp : PIB, défi en économie comme la somme des valeurs ajoutées produites Rq : un même concept peut recevoir plusieurs déf possibles La cc est définit en analyse néoclassique comme un cadre institutionnel dans lequel

vie) ; 2°/ le taux d'épargne global est constant au cours du temps ; 3°/ les gains en capital affectent la consommation de manière très limitée. (Modigliani, Brumberg) Théorie de la comptabilité par génération Le modèle théorique de comptabilité intergénérationnelle analyse comment la dette nette accumulée ainsi que les dépenses publiques et transferts futurs modifient le niveau de cette dette. A la base, existe une contrainte d'équilibre qui permet de répartir le fardeau de la dette publique

On distingue usuellement deux types de convergences: convergence nominal et convergence réelle. La convergence nominale est une convergence qui se fait sur des standards chiffrés ne faisant pas référence à des facteurs réelle tels que croissance, chômage. C'est ce type de convergence qui été visée par le traité de Maastricht en vue du passage à l'UEM en 99. 5 critères définis pour autoriser un pays à passer à l'UEM en 99: * inflation inférieure à la moyenne des trois pays ayant l'inflation la