Anaphore Et Rimbaud

s'oppose au naturalisme au au parnasse, ainsi qu'au romantisme. Le principe du symbolisme est de suggerer plutot que de montrer, il est fondé sur les mythes, la bible. Le travail poétique est la recherche d'un language nouveau. Auteurs: _ Arthur Rimbaud _ Verlaine _ Mallarmé Le Naturalisme: réalité + sciences Mouvement littéraire apparut à la fin du XIXè (1870-1890). Le naturalisme est né de l'influence des sciences. Il vise à montrer la réalité telle qu'elle est. Les naturalistes introduisirent

du Rome des guerres civiles (v.7) jusqu’à l’anéantissement finale du vers 10. Destruction universelle Ce thème est lyrique, il est lié à celui de la fuite du temps. Les qualificatifs de 1er quatrain sont une anaphore de l’idée de vieillesse (v.3). Allitération en v = Insistance. Asyndète du vers 5, donne l’impression d’une chute brutale au sommet de l’ascension. Champs lexical du néant. Les images de fuites

de terminaisons différentes alors que la première rapproche des mots différents possédant des terminaisons identiques C. Répétition morphosyntaxique (féminin) Une anaphore est un procédé qui consiste à commencer par le même mot les divers membres d’une phrase. Epiphore Répétition d'un mot ou d'un vers en fin de strophe Anaphore (féminin) Symploque (féminin) Anadiplose (féminin) La symploque, (du grec "entrelacement"), est une figure de style où les mots ou groupes de mots commençant une

queues-rouges » (l.22) « les danseuses » (l.30), mais également marqué par le singulier collectif « le peuple » qui a une valeur généralisante. En revanche le saltimbanque lui, est un individu à part entière, l’auteur marque cette identité à l’aide d’une anaphore de « il » de la ligne 55 à la ligne 58. Ce passage du plus grand nombre vers le plus petit est également marqué par la place du saltimbanque qui est « à l’extrême bout de la rangée de baraques » (L.42) sa non appartenance au groupe est également

ciècles : Apollinaire, Breton, Aragon, Eluard, Char, Jaccottet, Reverdy, Perse, Michaux. * Esprit de rupture avec les usages traditionnel : annoncé par Baudelaire (mélange de la fascination et de répulsion face aux changements du monde modernes) et Rimbaud (rupture avec les vieilleries poétiques) * Après 1914-1918, ils remettent tous en question la civilisation occidentale. * Volonté de changer la vie, la recréer. * Les caractéristiques se sont faites sous les influences d’Apollinaire et

rêve d'une femme qu'il aime et qui l'aime aussi «d'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime» (v2). On a pas de description physique de cette femme car l'auteur ne s'en souvient pas «Est-elle brune, blonde ou rousse?» (v 9). On remarque des anaphore de «elle seule» qui montre l'amour que porte l'auteur à cette femme et une forte insistance sur le verbe aimer (4 répétitions). La femme dont rêve l'auteur hante ses pensés. A travers ce poème, l'auteur exprime un amour profond pour cette femme

les mots Archaïsme : mot ancien qui n’a plus cours dans le langage courant et qui est employé volontairement pour sa connotation vieillie. Lexicalisation : opération qui consiste à substantiver un mot ou un groupe de mots. Ex : « Je est un autre », Rimbaud Métaplasme : terme générique qui regroupe toutes les figures par lesquelles l’auteur s’autorise à altérer un mot : - Aphérèse, où un phonème est supprimé en début de mot, ex : M’dame - Apocope : où un phonème est supprimé à la fin du mot, ex : radio

(oxymore) Ex: D’où viens tant de glace quand je suis tout de feu. (antithèse) ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Ex: Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : Cassandre sous son Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers Ex: Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ASSONANCE n.f. Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots Ex : Assonance en

Lisle (1818-1894) … Le symbolisme : Après Baudelaire et en opposition avec le naturalisme, les symbolistes expriment leur subjectivité et préfèrent suggérer plutôt que de décrire avec précision. Auteurs : Verlaine (1844-1896), Mallarmé (1842-1898), Rimbaud (1854-1891) … Le XXe Le surréalisme : La Première Guerre mondiale bouleverse les mentalités et le surréalisme, conduit par André breton, exprime ce désordre en refusant les formes et les principes traditionnels et en confiant un grand rôle à l’inconscient

le 18 mars 1871. Suspect de sympathies pour elle, Verlaine perdit son emploi. La Commune s'acheva par la «Semaine sanglante » du 21 au 28 mai . Le 30 octobre, Mathilde, donna naissance à un fils, Georges. Mais, en septembre, Verlaine rencontra Rimbaud. La police nota qu’il entretenait une relation avec «un gamin, Raimbaud (sic), originaire de Charleville» : «Comme moral et talent, ce Raimbaud (resic), âgé de 15 à 16 ans, était une monstruosité. Il a la mécanique des vers comme personne, seulement