Anaphore

modernité propre à Prévert. On remarque une absence de strophes, le poème est écrit en un seul bloc qui coule et évolue, qu'on peut rapprocher symboliquement à un bloc dur à l'image du travail. On note quand même des allitérations, qui découlent des anaphores ("r" dans "grand portrait") et des très légères ("l" v6). La musicalité passe aussi et surtout par des rimes "classiques" : suivies en "eur" v64 à la fin, croisées "a" – "ère" v15 à v20, embrassées v17-74. Ainsi, Prévert détourne les codes classiques

des yeux de chouette parmi l’éclipse du soleil = éblouissement + aveuglement, contraste oiseau nocturne exposé à la lumière du jour + vb conjugué au passé composé : j’ai été confondu l.1 (action passé avec des répercussions dans le présent). gêne : anaphore adv intensif + adj qualificatif « si timide » =>obsession : petit au milieu d’un univers citadin immense peur « Et l’angoisse » l.3 =>gradation, ça devient psychosomatique symptôme physique (maladie) rapidité + brusquerie + violence du phénomène

adéquation: - la parasyndete, terme que les rhétoriciens utilisent pour parler de la répétition d un mot de liaison, en l occurrence ici "et" qui est repris 5 fois - l Anaphore des deux premiers vers : *soit on considère que l on a affaire à une anaphore fidèle en la restreignant au syntagme "et la mer" *soit à une anaphore infidèle, si on la prolonge avec la disjonction des deux phonèmes "é"/"ou" et "l' "t" - les homonymies ou le poète met l accent sur l aspect visuel: "mer" est répété

melancolique, verbe "atteindre" donc sentiment d'inaccessibilité, nombreuses negations, adverbe "tant", anaphore "j"ai tant reve de toi") 2- un amour impossible (melange des temps verbaux donc confusion, question rethorique, le temps qui condamne l'union, idee de fuite de temps et de long cheminement vers un amour improbable) 3- un reve eternel (champ lexical du reve, du surnaturel, anaphore "j'ai tant reve de toi", le reve a aussi un role pertubateur, obstacle du reve incessant) Introduction

3. Analyser d'autres procédés pour convaincre ( temps et mode des verbes, figures de style, types et formes de phrases...) - Pour appuyer son argumentation, l'auteur marque une insistance sur les méfaits de la guerre, il utilise plusieurs anaphores (répétitions en début de vers) : v.18-19 : « J'ai vu.../ J'ai vu... » ; v.23- 14 : « Et se moque des bombes/ Et se moque des vers » ; v.26 « On m'a volé ma femme/ On m'a volé mon âme ». - le champ lexical de la guerre renvoie à une connotation

s’agit d’un soliloque : il ne tient pas réellement compte de la présence de Marianne). b- ne songe qu’à Cœlio : éloge funèbre de Coelio : …………………. L. , …………………. L. , …………………. L. ➜ Cœlio apparaît comme un homme idéal, un ami exceptionnel, altruiste ; anaphore : ……………….. L. , L. et comparaison et métaphore avec l’eau : L. ) c- autoportrait d’Octave : il se présente comme le double négatif de Coelio - oppositions : L. , L. , L. - parallélismes : L. , L. , L. ➜ Octave emploie désormais le style poétique

rythme de l’eau qui coule, comme le prouve l’anaphore du verbe « Passent » (v.19), soulignée par le rythme binaire du décasyllabe, et comme elle, il ne revient pas ainsi que l’amour heureux. La conjonction de négation « Ni » (v.20, 21), répétée en anaphore martèle le sentiment de désespoir que provoque le destin irréversible du non-retour. ● Le refrain : Les 2 vers des 7 syllabes du refrain (v.5-6, 11-12, 17-18, 23-24) étonnent par l’irrégularité de leur rythme par rapport à celui des strophes

narratif : -interne/externe/omniscient Les figures de style : -métaphores -comparaisons -anaphores -hyperboles L'organisation du texte. Les marques du genre : -connecteurs logique -versification -didascalies Les registres : -lyrique → toucher le lecteur avec émotions/sentiments. .ton passionné/exalté/confidence .1ère personne .voc des sentiments/émotions .phrases exclamatives/interrogatives .Interjections (Ha ! Hé!) .Anaphores (m^m mot au début de phrases successives) .Hyperbole (exagération valorisant une

des éléments qui affaiblissent.homme blanc désigné par les anaphores qui créent effet d'accumulation ds la première strophe.→ habit devient une marque de l'enfermement dont est victime l'homme noir.Cl : ce poème dit une souffrance, et appelle l'homme noir à une forme de libération.II- Un violent appel à la libération1/ un poème satirique :-envers l'homme blanc : sa description commence par des accumulations structurées grâce à des anaphores : 3 premières strophes : le costume, puis les coutumes. On

appel aux sens -vue : tout passe par le regard du personnage ( anaphore « voir » + jeu des couleures sur pierrereries -odorat/gout : LIGNES 101 /105 choix des epices -l’ouïe : musiciens -toucher : comportement à avoir Tous liés au mot « plaisir » = festival de sensation c) un monde idéal sur le plan des relations humaines -acceuil chaleureux : choix tissus en duvet de colibris -reponse au questions qu’ils posent anaphore de « demander » et candide et cacambo en sujet : politesse - aucun