Anaphore

roi est-elle annoncée ? I/. Rôle de Marguerite : A) Proximité avec son époux : * Rôle de « guide » ; ex : « Marche tout seul » ; « Lève le pas »  Utilisation impératif incite ordre ; « Tourne –toi […] et le ventre » énumération, anaphores « regarde », « -moi » * Prend la défense de son mari ; ex : « Ne le touchez pas ou je vous frappe ! » (Phrase exclamative) B) Abandon du réel : * ''Tu ne peux plus'' x2 ''Tu ne dois pas'' Négations * Le roi doit tout laisser derrière

est dominé par des figures d’opposition, des antithèses qui s’expriment avec des mots de liaison d’opposition. Anaphore : Même construction de phrases. Antithèse : Opposition de deux mots contraires (ex : cercueil et berceau). Les oppositions de ce texte sont par exemple : -gloire / mort -joie / désolation - … On relève une anaphore avec « jamais », qui marque l’opposition, cette époque n’a jamais été vue avant, elle est différente de celle qui

→ v.8 ou v.5 → sizain → v. 10 : ''Entre autrefois et aujourd'hui'' → v.21 : ''Quand je suis sûr de moi.'' Pas de ponctuat° (juste point final) Les anaphores Anaphore ''Je t'aime'' (v. 1, 2, 6, 7, 15 et 17) → insistance sur ces sentiments Anaphore ''Pour'' (v. 3, 4, 5 et 16) → raison pour lesquelles il l'aime La manière dont s'exprime la relation entre ces deux êtres Valeur absolue des sentiments Champ lexical de l'affectivité

maturité : ce poème est une mise en garde.     .....1) Présent de vérité général + pronom de la 2è de pluriel ("vous") + anaphore ("vous êtes amoureux") ..........-> Le poème n'est pas à la 1ère personne : Rimbaud généralise, et s'adresse même directement au lecteur. Le poème a une visée moralisatrice, presque de persuasion.     .....2) Répétition de "petite" + anaphore ("vous êtes amoureux") + hyperbole ("l'adorée") + titre ("Roman") + ellipse narrative ..........-> Le jeune homme est

adverbe- introduit l’intervention de FJean, on entre enfin dans l’action- adverbe: FJ est violent dès son entrée, ne perd pas de temps, accentue le rythme rapide après le ralentit de l’introduction4 - “sans ordre ni drapeau ni trompette ni tambour”anaphore en “ni” - insiste sur le désordre + pas de bruit/ signe visible -> action en catiminie4/7 - “sans ordre”/ “désordre”polyptote- insiste sur le désordre, il ne sont pas habitués aux guerres et à devoir se battre mais vont quand même y parvenir5

Les figures de style dans Le Dernier jour d’un condamné Identifier les figures de style Énoncé Figures de style 1. ‐Je laisse une mère, je laisse une femme, je laisse un enfant. Anaphore 2. ‐Mais ma fille, mon enfant, ma pauvre petite Marie, qui rit, qui joue, qui chante à cette heure. Anaphore 3. ‐J’ai entendu dire cela à des curieux qui sont venus me voir comme une bête de la ménagerie. Comparaison 4. ‐çà et là des caractères rouillés qu’on dirait écrits avec du sang. Comparaison

à la lutte, l’espoir, la résistance * Poème de dénonciation : appel à la fraternité au travers de la lutte * Poème sans rime ; vers libre ; forme structurée : 3 quatrains, 2 quintiles * Pas de ponctuation * Octosyllabes * Les anaphores invitent à une forme de ferveur I. Une étude du contraste a. Une antithèse lexicale et thématique Images mélioratives et péjoratives -Positives : > Un monde de fraternité, de joie, de bonheur simple > Hyperboles des fruits couvrants les

chant de protestation. Elle est aussi le symbole de la liberté d'expression en butte à la censure de l'ordre établi. Monsieur le Président ===> Anaphore. Je vous fais une lettre Que vous lirez peut-être Si vous avez le temps Je viens de recevoir Mes papiers militaires Pour partir à la guerre Avant mercredi soir Monsieur le Président ===> Anaphore. Je ne veux pas la faire Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens C'est pas pour vous fâcher Il faut que je vous dise Ma décision

20-Nous allons tous porter cette plaie au côté, pendant des siècles. (Métaphore) 21-Oublie-la, Hémon ; oublie-la, mon petit. (Anaphore) 22-Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait. (Métonymie) 23-Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà quittés tous. (Euphémisme) 24-Crois-tu que je pourrai vivre, moi, sans elle ? Crois-tu que je l’accepterai, votre vie ? (anaphore) 25-et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans elle. (Gradation) 26-Créon, il est sorti comme un fou. (Il=Hémon).

Anaphore (rhétorique) . L’anaphore (substantif féminin), du grec ἀναφορά, anaphora (reprise, rapport), est une figure de style qui consiste à commencer des vers, phrases ou ensembles de phrases ou de vers, par les mêmes mots ou les mêmes syntagmes. Elle rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence. Syntaxiquement, elle permet de créer un effet de