Anaphore

jour après la vie ( Document B ) et publié en 1984, le poète veut également nous montrer l'importance de la poésie dans la société, la place qu'elle doit avoir. Dans le poème d'Hugo, nous avons une anaphore de " Lui seul " qui dénote un être supérieur, unique, fort. Nous avons également une anaphore dans le poème de Bosquet qui est " le poète est passé " montre les effets bénéfiques après le passage du poète. Tous deux font l'éloge du poète, d'après eux, celui ci rend tout beau, embelli toute chose

fils et de le protéger. Page 3 de 5 III 6. Du vers 428 au vers 433 il y a la première anaphore de la réplique, avec une répétition du verbe croire. Hermione discute avec Cléone, elle lui demande de la croire sur le fait qu’elle n’aime plus, mais avec toute la répétition on peut y déceler qu’elle-même ne croit pas ce qu’elle tente de faire croire. La deuxième anaphore de la réplique se retrouve du vers 436 au vers 440, avec les si à répétition dans les débuts de vers .ce qui

de Pyrrhus. (brûlé de plus de faut que je n’en allumai » vers 320). « de sang tout couvert » Pyrrhus est d’une cruauté impitoyable. « Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue ;/ Voilà par quels exploits il sut se couronner » (v.14-15) Anaphore du présentatif « voilà » Surenchère, amplification du portrait cruel de Pyrrhus esquissé par Andromaque. « exploits » : ironie (antiphrase) d’Andromaque. Le mot « exploits » désigne par une antiphrase douloureuse l’atrocité de ses crimes.

- Un texte incantatoire- Marquer les esprits (un texte facile à apprendre et échanger )Anaphore - Un poème rythmé3 heptasyllabes 1 tétrasyllabeAbsence de rimes Rimes marquées par l'anaphore + des allitérations à la place de la rime Refrain - Un texte qui peut-être réécrit à l'infini. Vers une œuvre universelle. 20 strophes construites sur un

femme : nourricière (nourrice), mère (berce) protectrice (balsamiques) Lieu : village d’Afrique, la nuit Strophe 2 : début du sommeil 4 vers longs Anaphore voici Etale : sans mouvement Personnification de la lune Comparaison : comme les enfants Sens auditif : conteurs, éclats de rire chœurs

Cette double anaphore fait résonner ce quatrain comme une litanie (plaintes répétées sans cesse) du poète qui désespéré de cet amour qui s'éteint. La répétition de "L'amour s'en va" insiste sur la disparition de cet amour. La paronomase (employer dans une même phrase

découvrirait ses secrets et les exploiterait, le Blanc utilise le monde, il est technique, utilitaire, logique, tandis que la négritude se situe à l'opposé de ces valeurs, plus poétique. Ce texte est composé d'une grande quantité de figures de style : des anaphores (répétitions à la fin des phrases), des métaphores, des antithèses ( Blanc / Noir ). Ces figures donneront la figure rythmique, la force lyrique, l'opposition des attitudes entre les européens et les Noirs. Les Noirs ont une attitude de respect et

premiers vers « aimé », « dédaigné », « mes bontés », « mon injure », « j'attendais », « j'ai cru », « je t'aimais inconstant », « même en ce moment ». · La ponctuation (exclamative et interrogative) exprime cette violence, marquée aussi par les anaphores (« Va ») et les verbes à l'impératif. Les questions rhétoriques (v.1 et 10), la colère (v. 10 ou 21), nous montrent bien une femme jalouse et hors d'elle. · La menace, enfin, vient achever cette tirade ou l'exaspération d'Hermione culmine, face

« N’écris pas » Au début et fin de chaque strophes , 3 syllabes. (Anaphore) - Défense d’écrire. « N’écris pas ! » Fin des strophes (Modalités exclamatives) - Supplication - Ton plaintif. Vers 2 ; 8-9 ; 13 Métaphores Vide, manque, souffrance de l’absence et la séparation. Tirets après « N’écris pas » dans les 3 premières strophes puis disparition du tiret dans la dernière strophe. L’absence du tiret dans la dernière strophe marque le relâchement, l’adoucissement. Vers 1. - «  - » tiret

I. Les ravages de la guerre et de la destructionDestructions matérielles (champs lexicaux : ruine, deuil...)Passage du paradis au néant : la première strophe décrit Chio comme une île idéale (anaphore de « Chio » suivie d'expressions montrant le bonheur et l'opulence qui régnaient sur Chio). La deuxième strophe marque la rupture et le résultat de la guerre : « Tout est désert »Les conséquences affectives : Solitude et détresse de l’enfant rescapé et abandonné. Conditions pitoyable (vaincu « tête