Anaphore

d’attirer l’attention de Picrochole par des questions rhétoriques « où est la foi ? » « où est la loi ? ». Il veut l’amener à réfléchir sur les raisons de la guerre. De plus, il associe une des anaphores aux questions rhétoriques ce qui donne plus d’ampleur au texte : « où ». Puis, Gallet replace une anaphore pour souligner l’importance de leurs accords et la confiance que cela représentait. Les métaphores formulées par Gallet se réfèrent au thème architectural comme si leur amitié avait été construite

à la ligne 2), c’est une réplique théâtrale rapide où tous les maux banales, bénin sont mentionnés. Le ton moqueur de La Bruyère fait surface car c’est ridicule qu’il y a autant de péripétie, il y a un alignement de verbe déclaratif avec elle en anaphore (donc accumulation des plaintes d’Irène). L’oracle réponde de façon mécanique tout le temps. Cette longue phrase regroupe aussi le comique de répétition (stichomythie). On constate que le mode de vie d’Irène est dans l’excès, et cela régis dans tout

il l’entomme 1 Entame, fait du hachis. Ce verbe renvoie à Frère Jean « des Entommeures ». . Avec quelle application il le brise. Et avec quelle rapidité il le suce. Anaphore de « avec quel »Anaphore des pronoms « il » désigne le chien « le » désigne l’osEnumération de verbe qui mime l’action du chien Métaphore burlesque le lecteur est présenté comme le double du chien. L’art de la lecture est associé à l’art de la table : la lecture

persuasive du langage. I-Portrait d’une femme d’exception La maréchal = fe vive et libérée, représentative du siècle des lumières a)une femme de caractère * fort tempérament  emploi de nb questions * amplitude de certaines phrases *anaphores « n’est-ce pas .. ? » * exclamations, phrases nominales… Elle monopolise la parole * parle crument des réalités de la vie des fe, grossesse « 1 maladie de 9 mois «  accouchement « grande douleurs » , les règles « des incommodités très désagréables »

la figure de style l'anaphore cela lui permet d'insister, de développer son propos et souvent de créer un effet d'attente chez le lecteur, qui se demande où toutes ces répétitions vont mener. Ce poème (c'est un sonnet) présente une anaphore en « Ceux qui ». Cette anaphore crée un effet d'attente et met en valeur le dernier vers qui décrit l'état du poète et explique sa démarche. Il appartient au mouvement littéraire de La Pléiade qui imite les poètes grecs et latins, tout en écrivant en français et

adorateur de mille objet diverse» hyperbole(1000) ,métaphore(femme objet) (v.9 à 11) graduation (v.10) «volage» (v.11) « déshonorer la couche» (v.11) « qui va du Dieu des morts» hylris = se croie plus fort que les Dieux -éloge H (v.12) «mais» anaphore= bascule de T à H = opposition (v.13) « jeune» lecteur est sur que c’est H = opposition (v.13) «trainant tous les coeurs après soi» H très beau, opposition à son père qui devait leur courir après I) Substitution de T vers H -glissement physique

Introduction Eugène Ionesco est un écrivain et dramaturge roumano-français du XXème siècle. Il est connu grâce à sa pièce de théâtre Rhinocéros , ou encore grâce à sa pièce Le Roi se meurt , qu’il est le sujet de notre étude. Cette pièce, écrite en 1962, évoque la mort imminente du roi Béranger, annoncée au début de la pièce par une de ses femmes, Marguerite. L’extrait soumis à notre étude montre la réaction exagérée et dictatoriale

sa part d’être humain. Et enfin un homme pour qui le temps décédé est venu.Etude linéaire :Mouv 1 :V1 « J'ai bien assez vécu » intensif V1 V12 Chiasme ---»  il est grand temps pour lui de décédé8 Anaphore = » apporte une preuve sur les 3 premières strophes sur pourquoi il doit mourir 1er V1 V2 Anaphore---» montre la solitude du poète et il en souffre2ème V3 donne une autre raison : = » le poète n’est plus en harmonie avec ce qui l’entoure3ème V4 opposition entre« je ne suis plus réjoui » et « fleurs »

grande, plus son effet sur la cohérence générale est assuré. Vu leur force de persuasion, il est utile de réfléchir à l'usage que nous faisons de ces articulateurs. Nous les avons divisés en 4 groupes pour mieux observer leur fonctionnement. 1 - Les anaphores (voir p. 53) (c'est-à-dire les reprises ou renvois à l'intérieur du texte). 2 - Les connecteurs (voir p. 57), par exemple, de cause/conséquence, opposition/ressemblance. 3 - Les allusions à d'autres façons de voir les choses, d'autres cadres de référence

grande, plus son effet sur la cohérence générale est assuré. Vu leur force de persuasion, il est utile de réfléchir à l'usage que nous faisons de ces articulateurs. Nous les avons divisés en 4 groupes pour mieux observer leur fonctionnement. 1 - Les anaphores (voir p. 53) (c'est-à-dire les reprises ou renvois à l'intérieur du texte). 2 - Les connecteurs (voir p. 57), par exemple, de cause/conséquence, opposition/ressemblance. 3 - Les allusions à d'autres façons de voir les choses, d'autres cadres de référence