Andreï Sakharov

dénonciation du stalinisme, lui reproche ses multiples erreurs historiques dans Lénine à Zurich[10]. Ses prises de position pour « une période autoritaire de transition » lui valurent de sévères critiques de la part de dissidents comme Andreï Siniavski et Andreï Sakharov[9]. Il s'exprima également en faveur des dictatures militaires menées par Franco (Espagne) et Pinochet (Chili) : il déclara en 1976 que "si le Chili n'existait pas, il faudrait l'inventer"[11][précision nécessaire], ajoutant après la

portaient des noms variés. Un des chercheurs, après ces débuts problématiques, avait même baptisé l'une d'elles le Perhapstron. On perçoit l'humour de cette dénomination quand on se rappelle qu'en Anglais perhaps veut dire « peut-être »... Le Russe Sakharov imagina le premier avec son collègue Tamm la configuration toroïdale qui devait donner naissance au célèbre Tokamak. Une chambre à air de voiture a la forme d'un tore. Cette idée fut ensuite développée expérimentalement en URSS par un autre académicien

Alexeïeva, une des fondatrices du groupe d’Helsinki en 1976, s’exile aux EU en 1977 En 1961, à l’aéroport du Bourget le danseur Rudolph Noureev échappe à ses gardes du KGB et demande l’asile à l’Ouest…1975 : prix Nobel de la paix au dissident Andrei Sakharov, l’un des père de la bombe H soviétique, pour son action en faveur des droits de l’hommeAlexandre Soljenitsyne, prisonnier au goulag, prix Nobel de littérature en 1970, expulsé d’URSS en 1974, réfugié aux EU, invité vedette de l’émission Apostrophe

Guerre froide est un affrontement idéologique opposant deux conceptions de la politique : un système démocratique basé sur la souveraineté de la nation et un système fondé sur la dictature d’un parti unique centralisé. La réponse sov est formulée par Andreï Jdanov en septembre 1947 qui accuse les occidentaux d’impérialisme. Elle consacre la bipolarisation du monde en 2 camps « impérialiste » et « anti-impérialiste ». la création du Kominform achève la satellisation (la mise sous tutelle des pays de l’Est

l’URSS décide de ne plus soutenir les régimes communistes de la pause du tiers monde. En 1988, l’URSS retire son aide militaire et économique à Cuba, au Vietnam. L’URSS retire l’armée rouge d’Afghanistan en 1989. Un symbole de la guerre froide : Andrei Sakharov (père de la bombe H soviétique) qui militait en faveur de la démocratisation de l’URSS et des Droits de l’Homme fut placé en maison surveillé mais il est relâche. L’initiative de cette nouvelle détente revient à Mikhaïl Gorbatchev. L’URSS

un bienfaiteur de l’humanité dans les pays occidentaux, apparaît aux yeux des Russes comme le fossoyeur de la Derjava, la superpuissance. À l’euphorie initiale de la « vague démocratique », portée par des personnalités exceptionnelles telles Andreï Sakharov, succède une grave crise économique, politique et morale. La stratégie de la « thérapie de choc », adoptée par le gouvernement russe pour accélérer la transition vers l’économie de marché, s’avère désastreuse. Selon l’expression d’un observateur

Russie : la 1ère moitié du 19è siècle marque la 3ème phase d’urbanisme à Saint-Pétersbourg avec Andreï Voronikhine (avait suivit une formation d’architecture en France et en Italie,construit la collégiale Notre-Dame-de-Kazan 1800-1811 à St-Pétersbourg),Thomas de Thomon (a fait ses études à Paris chez Claude-Nicolas Ledoux, est chargé de l’édification du quartier situé en face du Palais d’Hiver), Adrien Sakharov (architecte de l’Amirauté à St Pétersbour 1806-1823- rôle d’exception dans l’urbanisme de la

la Pologne en 1980. Il y a aussi des contestations en URSS ont appellent ces personnes les dissidents : Alexandre Soljenitsyne qui a publié un ouvrage L’archipel du goulag qui dénonce le système, ce lui à interdiction d’être publié en URSS, Andreï Sakharov c’est lui qui à doté l’URSS de l’arme thermonucléaire mais il dénonçait aussi l’URSS. A la mort de Brejnev le système continu.

voire de l’asile psychiatrique. Les plus célèbres d’entre eux comme l’écrivain Alexandre Soljenitsyne qui a publié l’Archipel du Goulag, une vaste dénonciation du Goulag (système des camps de concentration soviétiques) ou le physicien nucléaire Andréï Sakharov qui réclamait le respect des droits de l’homme en URSS ont été persécutés : exilés, déchus de la nationalité soviétique, assignés à résidence. d) Le contrôle des démocraties populaires (1953-1989) Dans les démocraties populaires, les

est réclamée par les soviétiques surtout pour garantir les frontières nées de la guerre. Les conventions vagues signées sur les droits de l’homme, ne sont en effet pas respectés par l’URSS. Ainsi, en 1974 Soljenitsyne est expulsé et le physicien Sakharov, grand défenseur des droits de l’homme, n’est pas autorisé à quitter l’URSS pour recevoir le prix Nobel de la paix qui lui a été donné pour 1975.La mauvaise foi semble égale des deux côtés : à peine un traité est-il signé que chaque camp s’efforce