Anesthésie-réanimation

état de mort encéphalique (c'est-à-dire le cœur continuant à battre). Sous certaines conditions bien précises (contraintes temporelles notamment) les organes (rein et foie) de personnes en arrêt cardiaque et respiratoire définitif, après échec de réanimation, peuvent être prélevés (voir Prélèvement d’organes à cœur arrêté). On sait aujourd’hui que les résultats des greffes de ces organes sont aussi bons que ceux provenant de donneurs en mort encéphalique. La compatibilité HLA est de moins en moins

OBJECTIFS DE STAGES 2 L’ETAT CLINIQUE D’UNE PERSONNE 1°) Pathologies rencontrées en réanimation 2°) Description des risques encourus par le patient 3°) Observations et signes cliniques réalisées par l’ASD 1°) -Infarctus du myocarde -Insuffisance respiratoire -Insuffisance rénale aiguë -Les polytraumatisés -Choc septique 2°) Infarctus du myocarde les risques encourus par le patient : -La mort subite -L’extension de la nécrose -Les troubles du rythme -Des thromboses L’ASD doit

de l’établissement La Clinique la Casamance est un établissement privé qui a été créée en 1956, où toutes les spécialités sont représentées comme : - La chirurgie - La médecine (polyvalente, spécialisée, cardiologique) - Les urgences - La réanimation pour adulte - La rééducation fonctionnelle - La maternité Elle a une capacité d’accueil de 354 lits. Propose aussi des services associés : - Laboratoire d’analyses médicales(externe à la clinique) - Pharmacie a usage intérieur - Consultations

Brun b, J.Godart a, a service mobile d’urgence et de réanimation, CHU, 38043 Grenoble cedex, France ; b service de réanimation chirurgicale, CHU, 38043 Grenoble cedex, France ; Introduction L’hémorragie de la délivrance( HD) est de loin la première cause de mortalité maternelle en France. On considère qu’elle est majeure si le saignement dépasse 1000ml. Le traitement des HD comporte plusieurs volets : celui de la réanimation du choc hémorragique, celui de la lutte contre l’atonie

universitaire « plaies et cicatrisation ». J’ai pu remarquer que tous les infirmiers sont amenés à pratiquer régulièrement dans leur carrière et ce, quel que soit leur lieu d’exercice, le pansement. Que ce soit la dermatologie, la néphrologie, la réanimation, l’oncologie, la chirurgie, les soins à domicile, tous sont concernés. Pourtant, la technique est parfois peu, voire mal maîtrisée. D’une équipe à l’autre, d’une année sur l’autre, le matériel, les produits et les protocoles changent ou évoluent

deux petits enfants. Il est affilié a une mutuelle. Dans ses antécédents on note une hypertension artérielle traitée par AMLOR* (inhibiteur calcique), traitement par KALEORID* (potassium) et ZYLORIC* ( hypo-uricemiant). Mr D est hospitalisé en réanimation polyvalente. Son épouse et sa fille lui rendent visite tous les jours. Le 21 février,Mr D est sédaté par HYPNOVEL* ( sédatif hypnotique) et SUFENTA* (analgésique majeur) et il est trachéotomisé et ventilé. Le 25 février, suite a un bilan radiologique

malades et les conditions de diagnostic selon les capacités du service en personnel et en matériel ❖ Appliquer les mesures thérapeutiques prescrites par les médecins ❖ Collaborer avec les autres services de l’hôpital : chirurgie, réanimation, urgences … - service : C’est une partie intégrante de l’hôpital, doté d’une organisation propre lui permettant de réaliser les buts de l’établissement. C’est un synonyme d’une activité coordonnée d’une équipe sanitaire visant

ville. Le métier d’infirmier est extrêmement varié : l’infirmier peut être amené à travailler de façon plutôt « solitaire » (infirmier à domicile) ou en équipe (infirmier en service hospitalier). Il peut exercer un métier très technique (service de réanimation), ou très relationnel (service de psychiatrie). Il peut prendre en charge des patients au long cours, avec lesquels il noue des relations très proches (patients âgés, patients dialysés par exemple). Il peut aussi s’il le souhaite s’inscrire dans

http://www.sfar.org/acta/dossier/archives/ca01/html/ca01_28/01_28.htm En service de réanimation durant 5 semaines j’ai pris en charge Mr L. Pascal âgé de 50 ans. Histoire de la personne : Ce patient est en couple depuis 14 ans mais il vit séparément de sa concubine. Il n’a pas d’enfants mais sa concubine en a 3, ils les voient donc un week end sur deux. Ils ont une bonne relation mais sont un peu en conflit depuis maintenant 3 ans à cause d’un accident de voiture qui a eu lieu et auquel Mr L

- Patient comateux avec un score de Glascow< 8 ; avec des lésions potentiellement évolutives. - Cause majeure de décès et d’invalidité chez l’adulte jeune = 68% de décès. - Intérêt des requis en physiopathologie ; et du progrès des moyens de réanimation ?. - Pronostic dépend de la PEC précoce et adaptée des blessés. RAPPEL PHYSIOPATHOLOGIQUE : I- Mécanismes : - Choc direct : sur la tête avec le maximum de lésions en regard du point d’impact. - Choc indirect : phénomènes d’accélération /décélération