Anesthésie-réanimation

risques moyens : nettoyage/désinfection quotidien → blanchisserie, laboratoires, unités de médecine, pédiatrie, psychiatrie,.... Zone 3 : risques sévères : nettoyage/désinfection quotidien voir pluriquotidien → unités de chirurgie; soins intensifs; réanimation; stériisation centrale; cuisine centrale; hémodialyse; salle d'accouchements,... Zone 4 : très hauts risques : nettoyage/désinfection pluriquotidien → blocs opératoires; salle de préapration de chimiothérapie; hématologie; néonatalogie Les étapes

Démarche de soins Monsieur M Monsieur M est un homme de 60 ans, né le 11/12/1953. Il est entré dans le service de réanimation médicale le 12/12/2013 pour une hémorragie digestive (transféré du service de dermatologie). On note dans ces antécédents : une pemphigoïde bulleuse (maladies bulleuses auto-immunes) diag en mai 2013 traité par protocole et arrêté devant une érythrodermie le 27/11, de l’HTA, un tabagisme sevré, une AOMI, OH chronique estimé à 6verres/jour et une dyslipidémie. Famille 

Hématome sous dural aigu (HSDA) Collection de sang entre la face interne de la dure mère et la convexité externe du cerveau. Conséquences : HTIC, engagement sanguin dans les ventricules EPV donc urgence neurochir, augmentation du temps en Réanimation, séquelles plus importantes. Contusions cérébrales Petites lésions hémorragiques qui peuvent être localisées au niveau des sillons corticaux et peuvent s’étendre à travers le cortex cérébral vers la substance blanche. Souvent associées à d’autres

parents : non, oui, oui mais… Sylvie Gervaise, cadre supérieur de santé, service d’onco-hématologie, hôpital d’enfants Armand-Trousseau, Paris 72 Place des parents en réanimation polyvalente pédiatrique : visiteurs ou partenaires ? Pr Philippe Hubert, chef de service et Martine Dervillers, cadre supérieur, service de réanimation pédiatrique polyvalente et de néonatologie, hôpital Necker-enfants malades, Paris 76 Un partenariat avec les parents dans une unité de greffe de moelle osseuse pédiatrique

centraux (carotidiens et fémoraux) et se traduit par un état de mort apparente. Il s’accompagne d’un arrêt ventilatoire, d’une perte de connaissance et peut aboutir soit au décès du patient, soit au maintien des fonctions vitales du patient si une réanimation cardio-respiratoire (RCP) a été mise en place rapidement. Il existe plusieurs critères et réglementations concernant la prise en charge de l’ACR en établissement de soins, établis par la Haute Autorité de Santé (HAS) : - Il faut évaluer l’état

drépanocytaire, amené aux urgences par ses parents pour asthénie. A son arrivée, un prélèvement sanguin complet lui est réalisé, il montrera une hémoglobinémie à trois g/dl au lieu de sept g/dl son hémoglobinemie de base. Il a donc été transféré en réanimation pour qu’il lui soit réalisé une transfusion de concentré érythrocytaire. Une fois les deux culots transfusés, l’enfant est transféré dans notre service. A son arrivée, un prélèvement sanguin est prescrit afin de vérifier son taux d’hémoglobine.

Le choc septique définition Le choc septique est une insuffisance circulatoire aiguë secondaire à une infection bactérienne. Il s'agit de la forme la plus grave de réponse inflammatoire. On dénombre des cas de chocs septiques surtout en réanimation à l'issue d'une intervention chirurgicale. En effet, il est provoqué par l'infection des plaies ouvertes du patient. Le choc septique est dû à la présence de bactéries dans le sang ou à la présence de microbes à l'intérieur de tissus habituellement stériles

maladies infectieuses. Toutes les spécialités autour de la mère et de l' enfants sont regroupées pour créer une véritable chaîne de soins autour de la femme, de la mère et de l'enfant : gynécologie, obstétrique, pédiatrie, chirurgie infantile, réanimation néonatale et pédiatrique, centre des brûlés de moins de 3 ans … La modernisation de l’hôpital Nord La construction du futur centre de traumatologie, d’urgences et d’activités ambulatoires regroupera l’ensemble des disciplines qui concourent

vasculaires. Les lésions cutanées. Les lésions osseuses. Complications Les luxations récidivantes. La périarthrite. L’irréductibilité (interposition des parties molles ou d’un fragment osseux). Traitements Réduction de la luxation sous anesthésie locale ou locorégionale ou générale. Immobilisation obligatoire après la réduction, permet la cicatrisation des parties molles et peut contrecarrer la récidive. Rééducation elle doit suivre pour raffermir le muscle et les ligaments atrophiés.

traiter une éventuelle infection, ce qui pourrait conduire à repousser la date de votre opération. En prévention d'une infection, une dose d'antibiotique est apportée au début de l'opération. L'opération se déroule sous anesthésie générale ou loco-régionale (rachi-anesthésie). * De quoi s'agit-il ? : Cette opération se déroule par les voies naturelles sans ouverture abdominale. Le chirurgien introduit dans le canal de l'urètre un appareil appelé résecteur. L'opération se déroule sous