Ange Du Foyer

ce trône puissant, s’échappaient des torrents de flammes, 20. Qu’il était impossible d’envisager. 21. Et il avait quelqu’un assis sur ce trône de gloire, 22. Dont le vêtement était plus brillant que le soleil et plus blanc que la neige. 23. Et aucun ange n’était capable de regarder en face le Glorieux et le Magnifique, ni de s’approcher de lui ; aucun oeil mortel ne pouvait le contempler. Un feu brillant brûlait autour de lui. 24. Il s’élevait aussi devant lui, un feu d’une grande étendue ; en sorte

vie de la jeunesse y luttait encore avec les ravages d'une impuissante lubricité. Les ténèbres et la lumière, le néant et l'existence s'y combattaient en produisant tout à la fois de la grâce et de l'horreur. Le jeune homme se présentait là comme un ange sans rayons, égaré dans sa route. Aussi tous ces professeurs émérites de vice et d'infamie, semblables à une vieille femme édentée, prise de pitié à l'aspect d'une belle fille qui s'offre à la corruption, furent−ils près de crier au novice : − Sortez

op. cit., p. 565. Epos et territorialitéRoland viendrait incarner l’« instant originel de la constitution d’une conscience territoriale ». En accord avec cette dynamique primordiale de l’épos surprise par Jean-Marcel Paquette, l’individu devient le foyer incandescent de cette conscience d’être-là, d’être-soi.Voir Jean-Marcel PAQUETTE, La Chanson de Roland : Métamorphoses du texte. Essai d’analyse différentielle des sept versions, Orléans, Paradigme, 2013., p. 16 et 17. Un athlète et sa tête« Ço sent

jusqu’à la mort de l’artiste-architecture en 1926, écrasé par un tramway alors qu’il se rendait sur le chantier. o Désir de moderniser le gothique  sa cathédrale est un acte de foi où il donne libre court à son « mauvais goût génial » (cf. Michel-Ange) o Surnommé la « cathédrale du pauvre » (édifiée grâce aux dons) est spectaculaire  naturalisme fonctionnel : étude des coquilles pour s’inspirer à la fois de leur légèreté et de leur solidité pour ses toits et ses voûtes (cf. film Casa Mila) 

vie de la jeunesse y luttait encore avec les ravages d’une impuissante lubricité. Les ténèbres et la lumière, le néant et l’existence s’y combattaient en produisant tout à la fois de la grâce et de l’horreur. Le jeune homme se présentait là comme un ange sans rayons, égaré dans sa route. Aussi tous ces professeurs émérites de vice et d’infâmie, semblables à une vieille femme édentée, prise de pitié à l’aspect d’une belle fille qui s’offre à la corruption, furent-ils près de crier au novice : “Sortez

Chamisso et surtout Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, tantôt plus historiques et nationalistes avec Heinrich von Kleist et les frères Grimm. À la jonction du fantastique et du nationalisme se situèrent les Kinder und Hausmärchen (« Contes d’enfants et du foyer », 18121815), contes populaires allemands recueillis par les frères Grimm, où le merveilleux sonnait aussi comme la découverte de l’âme allemande originelle. En France. Schlegel, en même temps qu’il lançait le mot « romantique », inventait son repoussoir

y voir aussi la projection fantasmatique de la culpabilité de Victor. . . Lettre d’Elizabeth||Récit de Victor| Eternité d’un paysage paisible||Horreur d’un paysage hostile| Santé florissante de la famille Frankenstein||Dépression de Victor| Foyer tranquille, cœurs heureux||Trouble de la passion, remords et angoisse| Charme discret de la vie provinciale, où même les humbles sont reconnus, où les jeunes filles laides trouvent de riches maris||Vanité et fausseté des louanges « universitaires

celui qui t’aime, et sois heureuse en lui. – Adieu ! – sois son trésor, ô toi qui fus le nôtre ! Va, mon enfant béni, d’une famille à l’autre. Emporte le bonheur et laisse-nous l’ennui ! Ici, l’on te retient ; là-bas, on te désire. Fille, épouse, ange, enfant, fais ton double devoir. Donne-nous un regret, donne-leur un espoir, Sors avec une larme ! entre avec un sourire ! Dans l’église, 15 février 1843. 4 4 SEPTEMBRE 1843 ......... 5 III TROIS ANS APRÈS Il est temps que je

vie de la jeunesse y luttait encore avec les ravages d'une impuissante lubricité. Les ténèbres et la lumière, le néant et l'existence s'y combattaient en produisant tout à la fois de la grâce et de l'horreur. Le jeune homme se présentait là comme un ange sans rayons, égaré dans sa route. Aussi tous ces professeurs émérites de vice et d'infamie, semblables à une vieille femme édentée, prise de pitié à l'aspect d'une belle fille qui s'offre à la corruption, furent-ils prêts à crier au novice : - Sortez

empêchée d'une « foule criarde si étonnamment passée à côté de son cri » au surgissement viril d'un mot longtemps attendu et proprement inouï : « Ma négritude n'est ni une tour ni une cathédrale ». Le point de symétrie et d'appui du ‘’Cahier’’, le foyer vers lequel convergent ses perspectives, c'est l'invention de ce mot, « négritude », dans l'opacité d'images rayonnantes. Il faut se laisser porter par l'enchaînement de métaphores solaires, dans l'évocation d'un accouchement cosmique, préparant l'image