Anna Freud

l’expression « méthode clinique en psychologie » American Psychological Association création de la section Clinique en 1919 médecin, neurologue, a crée la psychanalyse Lettre à Fliess 30 Janvier 1899 fait référence à la psychologie clinique. Freud fait de la psychologie clinique la 1ère théorie proprement psychologique des troubles psychiques, qui permet l’analyse de leur inscription dans l’histoire psychique du sujet et propose des moyens thérapeutiques pour l’aider à les transformer. En

spécifique qui engage l’interprétation transféro contre- transférentiel. C’est aussi une théorie qui engage plusieurs courants de pensées, plusieurs écoles psychanalytiques. •La psychanalyse a pour objet d’étude les processus psychiques. Donc pour Freud, la psychologie clinique à partie lié avec la psychanalyse. Mais il distingue psychologie traditionnel avec psychologie des profondeurs (champ des phénomènes inconscients) élabore donc une métapsychologie avec ses perspectives dynamiques, topiques

quatrestadesdu développement cognitif de I'enfant, quine conespondent pas précisément à desâgescrrronotolique!, maisdontI'ordre d,aÈparition est invariable. La psychanalyse Freud et certains de ses successeurs ont mis en êvidence l'importanee des relations affectives de l'enfant dans la construction de sa personnalité. . Siémund Freud (1856-1939) considèreque le développernent de I'enfant est surtout dominé par la sexualité infantile, expressionqui désigne hiên nlr rc - Ie stade sensori-moteur (de

psychanalyse C’est vers 1900, que Sigmund FREUD « invente » la psychanalyse qui est : - « un procédé d’investigation des processus psychiques qui autrement sont à peine accessibles (inconscient) » - « une méthode de traitement des troubles névrotiques, qui se fonde sur cette investigation. » - « Une série de conceptions psychologiques acquises par ce moyen et fusionnent progressivement en une discipline scientifique nouvelle » FREUD - Médecin, qui s’oriente vers

On peut donc penser que la raison nous pousse à agir de la manière que l’on estime la bonne, et que donc, la raison dicte nos choix. Depuis toujours, l’Homme se croit supérieur à tout ce qui l’entoure : Univers, Animaux voire même congénère. Freud va, au travers des ses travaux et de ceux d’autre personne, rétablir la vérité sur la place de l’Homme dans le monde. Ainsi, naïvement l’Homme pense être maître de ses actes, et de toujours agir selon son désir dans sa vie de tous les jours et d’avoir

grande efficace qu'on ne pense". Chez BERGSON comme chez LEIBNIZ, l'inconscient est un concept négatif qui désigne ce qui n'est pas encore conscient, par défaut d'intensité ou ce qui n'est plus conscient, par défaut d'intérêt ou de sens. Mais avec FREUD, l'Inconscient n'est plus seulement ce qui n'est pas conscient mais ce qui produit, en vertu d'un fonctionnement qui lui est propre, des effets psychiques vécus comme étranges voire étrangers à la conscience. L'Inconscient est alors l'altérité au coeur

les reproduire. Mais l'expérience est une lanterne dans le dos, elle n'éclaire que le chemin parcouru (Confucius). C'est même vrai au plan psychologique : il faut se remémorer les traumatismes refoulés pour en guérir et pouvoir vivre normalement (Freud). Il faut se souvenir du passé pour avoir une identité et donc pouvoir s'affirmer et agir. Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? INTRO 1. Savoir, c’est d’abord prendre acte de quelque chose. Je sais que l’autre est là, que j’ai chaud, que nous

Bonjour a tous, « A la fin du XIXe siècle, les idées de Freud, suscitent beaucoup de méfiance. la Psychanalyse paraît subversive: le rôle de la sexualité dans le développement psychique heurte les valeurs morales, la notion de déterminisme de l’inconscient n’est pas accepté par les philosophe et les scientifiques, qui sont axés sur la maitrise de la réalité par la conscience . En 1895, lorsque Freud - à travers le cas d’hystérie d’ Anna O.- explique sa méthode thérapeutique, qui consiste à

progression. Les experiences traumatisantes, dont parle Freud, sont justement des experiences de ce genre. Elle ne rentrent pas dans la ligne continue du rapport du passé au présent. Au contraire elles produisent comme un blocage. Un passé qui ne se passe pas. Un passé qui ne se dépasse pas, et qui ainsi demeure présent. Cette présence du passé qui ne se pas, c'est bien une manière qu'a le passé d'enfermer le présent. Anna O, par exemple, la patiente de Freud, souffre de troublesz de la mobilité oculaire (elle

domaine psychique doive être connu de la conscience. » Freud, Métapsychologie, pp. 66-67 Freud publie tour à tour l'Introduction à la psychanalyse et la Métapsychologie, ouvrages dans lesquels il s'emploie à définir et à justifier l'emploi qu'il fait de l'idée d'inconscient. Cette notion est alors à l'origine de nombreuses polémiques : elle est contestée par tous ceux qui, à la suite de Descartes, identifient l'esprit et la conscience. Freud, dont le but est de convaincre ses lecteurs de l'intérêt