Annette Becker

point de vue, notamment à travers le lieu de l’action (Nord), mais un film universel, voire humaniste, où l’homme est au centre de tout. * Bibliographie Livres : Audoin-Rouzeau, Stéphane et Becker, Annette : La Grande Guerre 1914-1918, Gallimard 1998 Audoin-Rouzeau, Stéphane et Becker, Annette : 14-18, retrouver la Guerre, Gallimard 2000 Ferro, Marc ; Brown, Malcolm ; Cazals, Remy ; Müller, Olaf: Frères de tranchées, Bussière, Perrin, 2005 De La Gorce, Pierre-Marie : La Première Guerre

sur celui de la première guerre mondiale fut celui de la « fleur au fusil ». Etaient écrit sur les wagons de marchandises « A Berlin » côté français, et « Nach Paris » sur les wagons allemands. Néanmoins ce mythe fut déconstruit par Jean-Jacques Becker. Si les manifestations d’enthousiasme patriotique sont innombrables à Paris où se situaient les organisations ultras-nationales des Etats majors, majoritaires dans les villes moyennes, dans le secteur industriel, la différence est néanmoins très différente

Première Guerre Mondiale et publie ses recherches dans des ouvrages comme Les Combats des tranchées (1986), L’enfant de l’ennemi 1914-1918 (1995), 1914-1918 : Retrouver la guerre (2000) ou Un regard sur la grande guerre (2002). Audoin-Rouzeau et Annette Becker soutiennent, concernant la Grande Guerre, la thèse du « consentement patriotique ». En 1993, il écrit La Guerre des Enfants, « Essai d’histoire culturelle », ouvrage dans lequel il expose la formation d’une culture de guerre destinée aux enfants

50 Proposée par Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker à propos de la Première Guerre mondiale, la notion de « culture de guerre » est utilisée pour qualifier le « consentement », la généralisation et l’intériorisation par les sociétés de la violence et de la haine inhérentes à la guerre. L’expérience de la Résistance oblige à reconsidérer la valeur et les limites heuristiques d’une telle notion. Voir Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker, 14-18. Retrouver la guerre, Paris, Gallimard

Van Listeich.... Benoît....................... Antoine..................... Lancelin..................... Clarisse..................... Foucade.................... Youssef...................... Docteur Hogard......... Roberto..................... Annette...................... Eric........................... Jean-Pierre Darroussin Valérie Dréville Xavier Beauvois Yannick Renier Laurent Delbecque Aladin Reibel François Chattot Nelly Antignac Pierre Aussedat Ralph Amoussou Frédéric Leidgens Richard

"La violence de guerre 1914-1945" Fiche de lecture de l'ouvrage de Stéphane Audoin-Rouzeau, Annette Becker, Christian Ingrao et Henry Rousseau, qui propose une étude comparative aussi bien temporelle que spatiale des deux guerres mondiales. 2115 mots (approx. 5.3 pages), 0 sources, 2008, 5,95 € Fiche de lecture № 3383 | détails | Ajouter au panier (vous pourrez toujours retirer cet article de votre panier ultérieurement) Résumé Le plan de l'ouvrage reflète le souci évident des auteurs de

épistolaire et littéraire (voir notamment L'école des lettres second cycle n° 14 du 1er juillet 1995 et 13 du 1er mai 1997) ou les représentations de la guerre. - BECKER Jean-Jacques, La France en guerre (1914-1918). La grande mutation, Complexe, "Questions au XXe siècle", 1996. - AUDOIN-ROUZEAU, Stéphane et BECKER, Annette, 14-18. Retrouver la guerre, Gallimard, 2000, 272 p. - "Sur l'année 1917", Historiens & Géographes, n° 315, juillet-août 1987. - WERTH Nicolas, Histoire

avec les autres et qui négocient la sociabilité de leurs enfants et leurs participations dans tous les cours, qui les préparent, qui les mettent sur des trajectoires scolaires… Analyser ces questions de façon comparative est très important. Mon amie Annette Lareau analyse ceci dans son livre Unequal Childhoods : comment les ouvriers envoient leurs enfants jouer dans la rue plutôt que de superviser leurs activités, de faire de la « concerted cultivation » comme c’est le cas dans la classe moyenne…20 Mais

reconnaissance académique finalement tardive de « l’histoire du temps présent » – les années quatre-vingts) et continuent à le faire, ne serait-ce qu’à cause des problèmes épistémologiques non négligeables qu’elles posent à ses « pratiquants ». Jean-Jacques Becker en pointe quelques-uns dans l’avant-propos de son ouvrage sur l’histoire de France immédiatement contemporaine (1974-1995) 1 , en voulant cerner les spécificités de son objet d’étude. Insistant sur le fait que son livre « appartient dans une grande

de ces prises de positions singulières. Selon lui, c’est en démultipliant les systèmes de contraintes qu’il sera permis de dégager des conditions de possibilité, un engagement n’étant jamais tout à fait aléatoire. Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker rappellent que si la Première Guerre mondiale fut refusée après, voire avant son déroulement, elle fut généralement acceptée alors qu’elle avait lieu et ce, alors que jamais on avait traité autant de civils avec autant de violence. Selon les auteurs