Anthologie Du Parti Pris Des Choses

toiles au cours de sa vie. Certaines de ses créations se sont vendues plusieurs dizaines milliers de dollars et Picasso en avait accroché une dans son atelier. Le droit ne leur reconnaît pas la qualité d'oeuvre de l'esprit, mais elles font pourtant partie de l'histoire de l'art. C'est le propriétaire du singe qui a empoche l'argent de la vente des toiles, comme le possesseur d'un arbre s'attribue le produit de la vente des fruits. Pourtant si les animaux peuvent jouer (fait attesté), pourquoi ne pourraient-ils

· · · · · · Paroles de poilus, lettres et carnets du front 1914­1918 (librio n° 245) Kreysman Taylor, Inconnu à cette adresse (livre de poche jeunesse n° 792) Nouvelles à chute (classiques et contemporains magnard n° 59) La télé nous rend fous ! Anthologie (Etonnants classiques n° 2221) Georges Feydeau, Le Dindon (livre de poche n° 1440) La poésie engagée (texte & dossier gallimard n° 68)  2nde BEP                             FRANÇAIS                                                                           Année 2005­2006 

diffère le plus du récit réaliste. Dans ce cas, en effet, le lecteur est confronté à un monde où surviennent des phénomènes que l’on ne rencontre pas dans la réalité, et qui demeurent sans explication : certains personnages ont des pouvoirs et certaines choses des propriétés littéralement extraordinaires, impossibles à comprendre selon les lois de la nature. Certes, il arrive que les héros des récits merveilleux se conduisent comme vous et moi, manipulent des objets familiers ou se déplacent dans des endroits

ANTHOLOGIE LA SOLITUDE SOMMAIRE : 1/ La solitude au 19 eme siecle CHARLES BAUDELAIRE : a une heure du matin alfred de musset : rappelle toi stephane mallarme : salut paul verlaine : voeu 2/ LA solitudeAU 20 EME SIECLE GUILLAUME APOLLINAIRE : a la santé esther granek : absences Guillaume apollinaire : clothlide ANTOINE DE NERVEZE ( 1570-1622) aristocrate francais travailla au service de henry 2 de bourbon et henri 4 de france en tant que secrétaire. Aussi apellait « 

n’est pas sans confronter inéluctablement l’écrivain à des difficultés d’ordre identitaire, culturel voire même psychologique8. Car, il s’agit, pour le romancier doté d’une culture traditionnelle orale avec laquelle il a cumulé un capital scolaire pris de l’école française, de représenter, dans la langue française, une culture qui est traditionnellement véhiculée dans une autre langue. Saura t-il donc contourner le problème du référent culturel et identitaire ? Car, en réalité, il s’agit de représenter

AMOUR : Intérêt, goût très vif manifesté par quelqu'un pour une catégorie de choses, pour telle source de plaisir ou de satisfaction. L'amour est souvent décrit comme le sentiment ultime, ce qui nous permet de vivre heureux. Mais est ce que tous le monde pense cela ? Si quelqu'un n'a pas connu l'amour, est ce qu'il à forcément raté une partie de sa vie ? Ou encore, est ce que l'amour vaut il vraiment d'être vécu, car si on écoute les gens autour de nous, la plupart ont connu des déceptions qui

Chevalier, Bergson affirme : « L’œuvre qui devient classique est celle qui se présente rétrospectivement avec un air de fatalité : aucun détail n’aurait pu, semble-t-il, être différent de ce qu’il est, parce que le tout est présent dans chacune des parties. Cette apparence de fatalité donne à l’œuvre, si personnelle qu’elle ait été, un aspect impersonnel. » En vous fondant sur des exemples précis et variés, vous direz quelles réflexions vous inspire ce propos. Correction A/ Compréhension

attendues mais comme une création littéraire et où l'écriture, constitutive de l'oeuvre, est à interroger. Pierre Barbéris souligne que: Ce qu'une oeuvre contient d'explicite -et donc de non spécifiquement littéraire -compte moins que ce qu'elle dit en partie sans le vouloir, dans un mouvement non d'analyse, mais d'écriture et de création, dans un mouvement qui, au travers de masques, ruses, inhibitions, choix de sujets, effets de style, constitutions de mythes, métaphores obsédantes, etc ..., tente de

Jean-Marie GLEIZE, Professeur de Littérature française à l’École Normale Supérieure de Lyon. Ils m’ont accompagnée et soutenue, dans un tempo qui s’est accéléré après plusieurs années de questionnements. Leurs remarques très détaillées sur chacune de mes parties mais aussi sur mon orientation d’ensemble m’ont permis de saisir ce que je voulais montrer et de toujours exploiter mes idées. Qu’ils ne doutent jamais de moi m’a permis d’être certaine que je parviendrais à accomplir ce travail. Je remercie également

qu'avaient l'intention de faire les auteurs grâce à leurs écritures. Et ils ont réussis, leurs œuvres sont lues dans des écoles par des élèves et des professeurs, par des gens qui aiment la poésie ou alors par vous lecteurs qui s'apprêtent à lire mon anthologie. L'horloge Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible,Dont le doigt nous menace et nous dit : "Souviens-toi !"Les vibrantes Douleurs dans ton coeur plein d'effroiSe planteront bientôt comme dans une cible;Le plaisir vaporeux fuira vers