Anthologie Poétique Solitude

fragmentaire. Le monde est une table où brillent des objets qu’il faut à la fois séparer et réunir. L’espace de cette opération est le texte. La brièveté du texte peut justement servir ce dessein. Brièveté qu’on pourra, si l’on veut, aussi bien dire poétique. Car la microfiction peut avoir des affinités avec le haïku (dont on sait l’extraordinaire floraison aujourd’hui, et la remarquable productivité). Deux formes, très réduites, d’exercices d’écriture, dont les lieux mêmes de publication se trouvent

hommes ne se rendent eux même pas compte des immenses possibilités qui les habitent, les sensations les plus joyeuses oubliées parce que l'homme se presse de mourir alors qu'il pourrait être bien plus heureux en prenant le temps de vivre. Dans cette anthologie nous avons choisis de classé différent type d'idéal sans vraiment prendre compte de l'époque de l'écriture mais plutôt de la manière avec laquelle chaque poète décris son ou un idéal. L'idéal Féminin est le premier que nous allons aborder, énormément

poètes grecs de l’époque alexandrine. Du Bellay aura la charge de rédiger le manifeste du groupe, dont le titre, Défense et Illustration de la langue française est déjà un programme. Il s’y prononce contre l’usage du grec et du latin dans la création poétique, non par refus des Anciens dont il a, comme ses compagnons, longuement étudié les œuvres, mais au contraire pour mieux en assumer l’héritage. Il propose d’en imiter les « genres » mais dans un français enrichi par les créations lexicales des auteurs

inhérentes au sujet choisi, s’en ajoutait une – et non des moindres – liée à la nature même de l’attelage d’œuvres retenu cette année dans le cadre du programme. Les Gommes (1953) et La Jalousie (1957) ne relèvent pas d’une esthétique ni même d’une poétique romanesque analogues. Ces deux romans, dans leur différence manifeste, attestent, comme le dit Barthes dans un article publié en 1958 dans Arguments, qu’il n’y a pas d’école Robbe-Grillet mais un geste créateur qui se poursuit, s’approfondit, bifurque

dans l’oeuvre de F. Villon 34 5.1 Poète et son époque – oeuvre de Villon comme un microcosme de son monde 34 5.2 Vision du monde contrasté 35 5.2.1 Inquiétude et tension – ton de la poésie de Villon 35 5.2.2 Convention stylistique ou originalité poétique ? 39 5.3 Religion et piété 41 5.3.1 Deux faces de la religion dans l’œuvre de F. Villon 41 5.3.2 « Poète – moqueur » - ironie et éléments antichrétiens 42 5.3.3 « Bon chrétien » foi et piété dans la poésie de Villon 45 5.4 Conception du corps

dénouement. Sens : 1) Evénement qui termine une intrigue 2) Fin d’une œuvre dramatique (théâtre ou musique) Comme pour l’exposition : quelles sont ses fonctions ? Comment le délimiter (dernière scène, dernier acte ?) ? Aristote, La ¨Poétique, fait du dénouement non la toute fin de la pièce mais bien l’ensemble des actions qui permettent d’enlever le nœud. Le dénouement serait ainsi un ensemble assez long et essentiel dans l’action, action au cœur du théâtre pour Aristote, théâtre qui

fuite dans ce siècle de chaos. Aujourd’hui, un retour à ce thème, ce concept (l’amour) en toute exclusivité, est plus qu’une nécessité, l’antidote vital pour ne pas vivre et mourir, s’autodétruire comme un robot. La pensée de Senghor est celle d’une poétique transcendante, elle est celle d’un monde à rebours du progrès, celle de l’expression de l’amour. En effet, qu’est-ce que l’amour qui ne se dit pas ? C’est un arbre sans fruit. La métaphore est ici évidente. C’est quelque chose d’inutile puisque ne

partie de l’art poétique. Toutefois le choix n’est pas facile ; les poèmes ne tombent pas naturellement sous une catégorie ou sous une autre (le but ultime de chaque de poésie n’est elle pas d’atteindre un esthétisme et une harmonie qui nous permettent de nous détacher du contenu pour ne nous fier qu’aux mots et aux sons). C’est pourquoi ces catégories ne sont pas toujours universelle, la poésie laissant toujours une place d’interprétation. C’est en partie pourquoi mon anthologie est si longue

qui l'a inspiré (et j'espère que c'est le cas de mon "Guépard"), un film doit posséder, pour etre valable, sa propre originalité d'expression. Et je ne parle pas seulement de l'élément visuel.(…). J'ai été stimulé à la fois par de pures émotions poétiques (les caractères, les paysages, les conflits entre l'ancien et le nouveau, la découverte de l'île mystérieuse, les liens subtils entre l'Eglise et le monde féodal, l'extraordinaire stature humaine du prince, le caractère odieux, melé à l'intéret politique

étrangers à la difficulté de parler d'un événement qu'ils n'ont pas, ou très peu vécu, et qui n’a été transmis que fort difficilement, comme absence ou comme disparition. Cette « mémoire absente » est au cœur même leur œuvre. Elle s’exprime à travers une poétique proche des recherches formelles d’Oulipo et du Nouveau Roman[154]. Georges Perec est un enfant caché et un orphelin de la Shoah. Il utilise la contrainte littéraire de l'oulipo et les constructions intellectuelles pour nommer l'indicible (la mort