Anthropologie

divise en 4 sous-catégories : - anthropologie culturelle étudie la transmission des comportements culturels d’une génération à une autre comme le langage, la structure sociale, le droit, la religion, la technologie et l’économie. Elle s’inscrit dans l’évolution même des sociétés et des cultures humaines. - anthropologie physique comme la biologie et la médecine légale, étudie le corps humain, son évolution et les conséquences sur les comportements humains - anthropologie linguistique est l’étude du langage

la véritable intelligence de la civilisation kanake. Il utilise ici le Mythe du Bon Sauvage pour dénoncer la barbarie de la France lors de l’Exposition Coloniale de 1931, fait historique. Il rejoint ainsi des auteurs tels que Lévi-Strauss dans Anthropologie structurale, Montaigne dans Essais ou Bernardin de St-Pierre dans Voyage en île de France. Mais dénonce un acte sauvage, impensable aujourd’hui, de la part d’un peuple qui se dit civilisé : ce qui est relativement paradoxal.

nature des faits observés : les récits de voyageurs du 16eme siècle 17eme siècle était une quête cosmographique plus qu'une quête ethnologique, or au 18eme siècle on va commencer à s'intéresser à la culture de l'homme physique, à sa société → anthropologie sociale et culturelle. En même temps, l'accent va se déplacer progressivement de l'objet d'étude à l'activité épistémologique Au 18eme siècle on va se demander comment collecter et comment maitriser ce que l'on a collecté. → on passe de

Traitant ici uniquement des problèmes qui concernent la philosophie, c'est-à-dire des problèmes de sens et de vérité, on laissera de côté les discussions contemporaines sur le mythe en anthropologie et en histoire comparée des religions, ainsi que les questions d'origine, d'évolution, de fonction sociale. Il ne s'agira donc pas de placer le mythe sur le trajet supposé suivi par la religion depuis ses formes les plus primitives jusqu'aux religions supérieures, ni de se demander comment le mythe, considéré

pas à proprement parler "une" science des religions, mais des approches pluridisciplinaires du religieux en sociologie, anthropologie, psychologie, philosophie, art et littérature etc. Les sciences religieuses sont les diverses sciences appliquées aux religions dans une option non théologique : philologie, linguistique, histoire littéraire, exégèse, sociologie, anthropologie, archéologie, etc. La locution apparait en France en ce sens en 1885 avec la création de la cinquième section de l'école

une discipline en train de se construire, datent de la fin des années 80 et un nombre important de travaux de terrain ont été publiés depuis sur le sujet. En 1992, l'anthropologue Marc Augé publie Non-Lieux, conçu comme une « introduction à une anthropologie de la surmodernité ». Voies rapides, échangeurs, aéroports, chaînes hôtelières aux chambres interchangeables, grandes surfaces ou stations-service, camps de transit des réfugiés... tous ces « non-lieux » surpeuplés où se croisent en silence et

Un autre présupposé de cette anthropologie est l’humanisme dont Sartre fait preuve. Il croit en l’être humain, en son pouvoir d’interaction avec le monde et les autres. Le fondement de sa pensée est influencé par sa conscience du devoir dans la communauté et de l’entente entre humains. Les répercutions de cette idéologie sont multiples. Premièrement, il responsabilise l’humain et encourage sa réflexion sur la portée des gestes de chacun. Deuxièmement, cette anthropologie a pour conséquence de laisser

en panne de nouvelles théories et de nouveaux concepts » qui, « faute d’inventer de nouveaux paradigmes analytiques, […] a tenté de faire passer un simple procédé d’écriture […] pour une révolution épistémologique » (pp. 157-158). À propos de Anthropologie et Sociétés, 2004, 28 (3) : Ethnographie – fictions ?, Gilles Bibeau & Sherry Simon, eds. L ’ H O M M E 175-176 / 2005, pp. 219 à 232 VÉRITÉS DE LA FICTION N POURRAIT DIRE du récent numéro d’Anthropologie et Sociétés intitulé Ethnographie

1 Anthropologie et management en sport J. Corneloup, Maître de Conférence, Laboratoire d'anthropologie des pratiques corporelles Clermont-Ferrand Corneloup J.,"Pour une autre approche en management du sport", Revue Gestion 2000, revue internationale Belge, Mai-juin 1999, pp. 33-60. Au moment où le management1 sportif cherche à se constituer en tant que discipline scientifique2, les questions relatives à son autonomie scientifique et à ses relations avec les sciences sociales3 apparaissent

Introduction Didier Fassin est anthropologue et sociologue. Il est professeur de science sociale à l’Institute for Advanced Study de Princeton et directeur d’études à l’EHESS en Anthropologie politique et morale. Dans son ouvrage intitulé La force de l’ordre1, publié en 2011, il réalise une anthropologie de la police des quartiers, comme son sous-titre l’indique, en enquêtant, au travers d’une observation, auprès d’une brigade anti-criminalité de la région parisienne. La méthodologie employée