Antibiothérapie

cuissons, très courtes, la mode du cru et des surgelés conduisent à l'accroissement du risque alimentaire. |De plus, rassuré par l'arrivée de nouveaux médicaments sur le marché, l'homme en | |consomme de plus en plus. Or, l'augmentation des antibiothérapies a un impact direct | |sur la résistance des microbes aux thérapies usuelles. | Moins d'efficacité des médicaments, et toujours plus de microbes, en provenance de tous horizons, grâce à l'explosion des voyages

transport d’O2 • Assurer la pression de perfusion cérébrale • Eviter une aggravation des lésions neurologiques ou vasculaires : respect de l’axe tête/cou/tronc, immobilisation des fractures • Limiter l’infection : désinfection, protection, antibiothérapie • Assurer une antalgie • Transmettre un compte-rendu de l’interventionExamen clinique • A,B,C,D,E,F : airway, breathing, circulation, dysability, exposure, family • Prise de constantes : FC,FR,TA, SaO2,TRC • Segment céphalique : impact, pupilles

l’intervalle entre 2 cures de chimiothérapie· Permet que les cellules sanguines de ses régénérer en 3 semaines 33. Citez les différentes étapes de la prise en charge d’un patient en aplasie ( baisse leuco 500) fébrile· Hospita examen clinique appro· Antibiothérapie· Chambre protectrice· 34. Comment peut-on prévenir l’apparition d’une anémie ?· Injection d’heryprotietine, fer et acide folique 35. Citez les signes de l’hypercalcémie· N/V· Perte d’appétit · Asthénie avec faiblesse musculaire· Confusion 36.

l’aiguille et continuer. S’il y a beaucoup de sang, jeter le matériel et recommencer. (2) Immunoglobulines humaines spécifiques SERUM ANTIDIPHTERIQUE • Traitement de la diphtérie déclarée en association avec la réanimation respiratoire et une antibiothérapie ; une vaccination ultérieure est nécessaire car la diphtérie ne confère pas l'immunité • Administration selon la méthode de BESREDKA ; injection de 0,1 ml puis 0,25 ml par voie SC puis injection IM de 10 000 à 100 000 UI (une ampoule = 10

viser à : - 1°. Obtenir le meilleur équilibre glycémique possible en recourant le plus souvent à une insulinothérapie pluriquotidienne, afin de ne pas favoriser la survenue d’une infection. - 2°. Lutter contre une éventuelle infection par une antibiothérapie générale. - 3°. Restaurer un apport artériel suffisant s’il est déficitaire. - 4°. Résorber l’œdème. - 5°. Prévenir les thromboses dues à l’alitement et à l’infection (Héparine). - 6°. S’assurer d’un apport nutritionnel adéquat permettant une

liquide amniotique - Les insuffisance dans l'organisation des soins : 5 types d'erreur sont particulièrement lourdes de conséquences : hygiène du mains défectueuses désinfection insuffisante asepsie insuffisante stérilisation inefficace antibiothérapie aveugle . B- Protocoles de Soins : Il s'agit d'un dispositif des techniques à appliquer ou des consignes à observer dans certaines situations de soins ou pour l'administration d'un soin. Un protocole permet : d'améliorer les pratiques

morphinomimétiques le plus souvent pour soulager les douleurs intenses provoquées par les lésions. Les soins cutanés et les pansements sont parfois réalisés sous anesthésie générale par utilisation de la Kétamine afin de réduire au mieux la douleur. * Antibiothérapie : si infection. * Prise en charge psychologique du patient : elle se fait précocement et tout au long de la prise en charge du patient. En effet, l’hospitalisation et la convalescence sont très longues, il peut se passer plusieurs mois avant

Congrès avec un nom particulier Journée de pathologie infectieuse pédiatrique (8 ; 1991 ; Paris). Les diarrhées infectieuses de l’enfant. Med. Mal. Infect., 1991, 21, n° spécial octobre, p. 555-623. Congrès, séminaires ... sans nom particulier Antibiothérapie orale des infections respiratoires acquises en ville : place du céfuroxine axetil : symposium [1991 ; Paris]. Méd. Mal. Infect. , 1991, 21, hors-série, p. 6-108. 4) Thèses NOM Prénom. Titre de la thèse. Discipline. Lieu de soutenance :

néphrotoxiques Glycopeptides : Vancomycine Sulfamides Cyclines de la 1ère génération d) Insuffisance hépatique • Macrolides • Tétracyclines IV Adapter la posologie dans tous les cas pour les personnes âgées. 10 V - SURVEILLANCE D'UNE ANTIBIOTHERAPIE 1) AVANT LA MISE EN ROUTE a) Prélèvements bactériologiques Hémocultures : identification du germe Traitement débuté immédiatement b) Vérifier : • Absence d'antécédents allergiques • Et/ou réaction anormale à un traitement antérieur 2) CRITERES

fin du traitement. Les chambres à cathéter implantables sont des dispositifs d’accès veineux de longue durée situés sous la peau. 2- Principales indications - Les interventions veineuses fréquentes. - Chimiothérapie anticancéreuse - Antibiothérapie de longue durée - Transfusions répétées - Nutrition parentérale - Les effets de certains produits perfusés altérant les veines - Pathologies vasculaires - La régulation pour le traitement de l'obésité morbide 3- Descriptif -Matériel