Anticoagulant oral

domaine de la santé : 1899 : Aspirin®, premier remède antidouleur 1935 : Prontosil®, premier antibiotique 1937 : travail pionnier sur les maladies tropicales 1961 : première pilule contraceptive Etc … et plus récemment, Xarelto®, premier anticoagulant oral Rapport annuel 2012 BAYER page 47 Rapport annuel 2012 BAYER page 12 6 C) Présentation de SANOFI Nationalité CA 2012 Bénéfice net 2012 Organisation Française 34 947 000 000 euros (33 389 000 000 euros en 2011) 8 179 000 000

ou inversement à les minimiser ou ridiculiser. On juge une situation sérieuse ou dérisoire. Un moyen (solution) est recommandé ou rejeté lorsque dans des situations analogues, il s’est montré efficace ou inefficace. Exemple : sans l’action anticoagulant de la publicité, la société risquerait l’infarctus. Ne pas multiplier les analogies. Mieux vaut une seule analogie riche et à la bonne place. Les rapprochements pas trop évidents, « tirés par les cheveux » exposent à des résignations aisées.

m'asssiste). Puis nous allons faire chacun un bilan sanguin. Je dois réaliser un bilan sanguin à M. M. Ce patient de 70 ans est entré pour répit à l'aidant. Il doit bénéficier d'un bilan sanguin afin de surveiller son INR car ce patient est sous anticoagulant. Je vérifie donc la prescription, le bon de laboratoire, les étiquettes, le matériel qui a été préparé par l'infirmière de nuit puis je me rend au chevet de ce patient, lui explique le soin, réalise l'identitovigilance et je prélève mon bilan sanguin

majorer les symptômes et a un retentissement sur le pronostic. => A l’INR : la surveillance sera habituelle pour les nombreux patients IC traités par anticoagulants (anti vitamines K). NB : Il est important de bien collaborer avec toute l’équipe soignante pour une meilleure prise en charge pendant l’hospitalisation, les transmissions écrites et orales seront indispensables afin de ne perdre aucune information et de n’oublier aucune partie de la prise en charge de Mme B. j. Éducation thérapeutique

semaines PRECAUTIONS: avec Erythromycine IV, sultopride, vincamine (torsade de pointe), Antiarythmiques, Digitaliques, Hypokaliémants (Amphotéricine B IV, Diurétiques Hypokaliémants seuls ou associés, Laxatifs stimulants), avec Aspirine, Anticoagulants Or., Héparine, Insuline, Metformine, Sulfamides hypogly, Isoniazide, Phénobarbital, Phénytoïne, Rifampicine, Interféron, Vaccins vivants atténués Teneur en sodium : 3 mg par ampoule de 1 ml , CONTIENT des SULFITESBEVITINE

professionnel) : * sensibiliser le patient à l’intérêt de la diététique et d’un exercice physique régulier. Elle constitue souvent un outil précieux d’éducation * déterminer la posologie d’un sulfamide en début ou lors d’un changement de traitement oral (notamment pour prévenir les hypoglycémies asymptomatiques) * en cas de maladie intercurrente ou de prescription d’une médication diabétogène. * Une surveillance glycémique régulière est nécessaire chez le diabétique de type 2 traité par

000 adultes et enfants atteints de diabète de type 1 ou 2. ENTRED se découpe en trois principales études : ENTRED-métropole, ENTRED-Dom et ENTRED-enfant. Le diabète se définit dans ENTRED par l’existence de 3 ou plus remboursements d’antidiabétique oral ou d’insuline en un an. ENTRED-métropole a été réalisée sur trois ans et débutée en septembre 2007. ENTREDmétropole est composée de six études successives : enquête praticien-conseil, enquête-patient par auto-questionnaire, enquête médecin-soignant

l’autre se fera en fonction de l’évolution de la douleur et du degré de soulagement du malade. Les modalités générales pour les antalgiques sont : ← Privilégier la voie orale. ← La voie parentérale est indiquée en alternative au traitement oral lorsque celui-ci n'est plus possible. PALIER 1 : Antalgiques périphériques Indication  Traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère à modérée et/ou des états fébriles. Analgésiques non morphiniques = le paracétamol, l’aspirine

engendre un désordre métabolique. De plus, le remplissage de soluté de VOLUVEN® apporte du glucose.  Les facteurs de coagulation sont pertubés :  TQ (Temps de Quick = Taux de prothrombine) a 65%, dont la norme est de 100% sans traitement anticoagulant.  L'INR à 3 qui est le mode d'expression du temps de Quick et dont la norme est de 1 pour un sujet sans traitement.  Ces facteurs entrainent une hypocoagulité du sang pouvant résulter d'une altération des cellules hépathiques (Dépendance

antibiotiques suivants n’ont pas d’indication (au moins en première intention) dans le virus respiratoire en période épidémique par prélèvement naso-pharyngé (Grippe, VRS, adenovirus – traitement des pneumonies aiguës communautaires : céphalosporines orales, cyclines, milieu de transport nécessaire), sérologies bactériennes si contexte particulier. Pas de prélèvements cotrimoxazole, macrolides seuls en l’absence d’orientation étiologique. invasifs en dehors de la réanimation, mais fibroscopie bronchique