Antigène HLA

nationale de l’Agence de la biomédecine. L’attente peut être plus ou moins longue (en mois ou en années). Certains critères de choix du receveur sont obligatoires : - Le principe de la compatibilité tissulaire, - La compatibilité des antigènes des leucocytes humains (ou HLA) entre le receveur et le donneur, - Le poids et la taille de l’organe, - La distance entre le lieu du prélèvement et le lieu de la transplantation, - L’urgence et l’état de santé du receveur. C'est donc grâce à une longue liste

compatibilité tissulaire. C’est pourquoi, à partir de 1958, Jean Hamburger suggéra de recourir, pour effectuer cette sélection, à la comparaison des groupes de leucocytes (globules blancs) du donneur et du receveur, les groupes d’antigènes HLA (Human leucocyte antigens) qui avaient été découverts par Jean Dausset. Cependant, jusqu’en 1959, la transplantation entre jumeaux vrais paraissait, chez l’homme, la seule possible (la première fut réalisée en 1954 par l’équipe de J. Merrill, à Boston, avec un rein)

incriminé comme facteur adjuvant dans le cas de certains agents, en particulier les sels de platine Kerwin et al ont rapporté un excès du HLA (human leukocyte antigen) DR4, HLA DR11 et HLA DRW17 chez neuf sujets atteints d’AP aux animaux de laboratoire par comparaison avec 100 témoins. Des associations plus nombreuses ont été trouvées, toujours avec le système HLA, dans le cas d’agents de faible poids moléculaire : acide anhydrique, isocyanates, V. Le diagnostic positif : Le diagnostic de l’AP

au HLA (DR3,DR4,…80 génotypes) Destruction auto immunitaire des cellules β des îlots de Langerhans du pancréas, avec anticorps présents parfois plusieurs années avant l’apparition des symptômes. Quand 80% des cellules β sont détruites ( SYMPTOMES 2. Diabète 2 Fréquence 400 000 en Belgique (+ si > 50 ans) (prédominance chez personnes âgées ) Association fréquente avec l’obésité HTA (facteur d’aggravation : syndrome X métabolique) Prédisposition génétique mais non corrélée au système HLA Causes :

developpement met en jeu plusieurs gènes) Etudes de gènes candidat et de criblage du génome ont identifiés des gènes de susceptibilité : * Année 70 : les gènes du système HLA régulent la réponse du système immunitaire et sont très différents d’un individu à l’autre (c’est une carte d’identité biologique). Les gènes HLA DR15 augmente la probabilité pour une personne de développer la SEP lorsqu’elle est exposée aux facteurs environnementaux associés (représente que 20% de la prédisposition génétique

de problèmes cardiaques. En relation avec cette dynamique du sang, on prend également compte de la compatibilité des groupes sanguins et des tissus. La compatibilité des tissus est la similitude du groupe tissulaire de chacun, appelé HLA (Humman Leucocyte Antigen). Formés d’antigènes situés principalement à la surface des globules blancs et codés par un gène du 6ème chromosome du génotype humain, il faut que leurs groupes soit identiques ou très proches. Enfin, dans un point de vu géographique,

te par la loi !     On d​ oit également remplir des critères de compatibilités  Comme  n’importe  quelle   greffe,  il  faut  que  le  donneur  et  le  receveur  soient  les  plus  compatibles  possible  : groupe  sanguin, proximité des systèmes  HLA…(explication  plus   tard  dans  le  TPE)  C’est  d’ailleurs  pourquoi  ce  sont  les  membres  de  la  famille  très  proche,  génétiquement  très semblables,  qui ont le  plus de  chances  d’être  compatibles.  Les  conditions  médicales  sont 

issus du père -> pauvent etre reconnus / sysr immunitaire maternel = étrangers / syst HLA 1 ( human leucocyte antigen de classe 1 ) A partir de l'implantation : le TROPHOBLASTE isole le BLASTOCYTE du syst immunitaire maternel Les Lt T CYTOTOXIQUES ( CTL ou T8 )sont chargés d'effectuer ke rejet du non soi et portent sur leur mb un R spé : TCR (=thymocyte cell reception) capable de reconnaitre un antigène associé à une portéine HLA1 portée par une cellule -> CTL capables de reconnaitre et

(un des principaux facteurs de réussite des greffes était la compatibilité HLA entre donneur et receveur : plus les patrimoines génétiques du donneur et du receveur sont proches, moins le greffon a de chance de se faire rejeter. Néanmoins, compte tenu des progrès des traitements immunosuppresseurs, cette règle est de moins en moins vraie et il est aujourd'hui possible de réaliser des greffes sans aucune compatibilité HLA.) -Le Crossmatch lymphocytaire : (c’est un test consistant à faire réagir le

donneur avec hôpital ou se trouve le receveur. Pour éviter le rejet pendant les greffes de tissus, le receveur doit être compatible avec le donneur. Chaque personne à u des antigènes spécifiques, ceux qui réduit le nombres de donneurs. Pour que le groupe HLA ( Human leucocytes Antigen) il faut bye les globules blancs et les antigènes du donneur soient les m^mes que ceux du receveur. Quand le donneur est compatible avec le receveur ou qu'il en est très voisin, on parle de compatibilité tissulaire. Le