Antigène HLA

Confrontez les hypothèses précédentes avec les résultats de l’étude. III) DÉPISTAGE ET TRAITEMENTS 3.1) Diabète de type 1 ( Le diabète insulino-dépendant intervient dans 90 % des cas chez des sujets porteurs d’antigènes HLA particuliers. L’étude des antigènes HLA de classe II d’un sujet à risque semble permettre de déceler une prédisposition au diabète de type I. ( Les anticorps anti-cellules d’îlots sont les molécules responsables de la destruction des cellules des îlots de Langerhans.

souvent : Salmonella entéridis Yersinia enterolitica Campylobacter jejuni c/ Terrain génétique: Les AR font partie des spondylarthropathies, ainsi elles surviennent sur un terrain génétique favorable, représenté notamment par l’association avec l’ Antigène HLA B27 3/diagnostic positif Le diagnostic des AR doit être évoqué devant une mono arthrite ou une oligo arthrite des membres inférieurs survenant chez un sujet jeune (20 à 40 ans), un tel tableau clinique doit faire rechercher la notion d’urétrite

lignées sanguines. Réalisation d’un myélogramme permet l’étude de la moelle. Réalisation d’une biopsie ostéo médullaire (pour confirmer le diagnostic d’aplasie médullaire) • • 14 DIAGNOSTIC  Le bilan complémentaire comprend : • Groupage des antigènes des leucocytes humain Bilan pré-transfusionnel  Bilan immunologique et virologique • • 15 TRAITEMENTS  Traitements symptomatique : Antibiothérapie à large spectre : risque d’infections fongiques importants (durée d’aplasie) et constituent

atteint. On peut détecter les malformations du tube neural avant la naissance. Les facteurs génétiques et environnementaux spécifiques de la plupart de ces anomalies n'ont pas encore été déterminés, mais on sait que la spécificité individuelle des antigènes HLA (c'est-à-dire les marqueurs situés à la surface des leucocytes humains), qui peuvent maintenant être identifiés grâce à la technologie de l'ADN, influent sur la vulnérabilité aux maladies associées au système immunitaire. Des maladies ayant une

sa famille ». 5- Quelles conséquences après la greffe ? a) La compatibilité entre donneur et receveur. Comme pour les groupe sanguins, chaque être humain possède sur les cellules de l’organisme des antigènes formant un groupe tissulaire qui lui est propre (on parle de groupe HLA) mais contrairement aux groupes sanguins qui sont en nombre limités, il existe des milliers de groupes tissulaires différents. Quand le donneur possède le même groupe tissulaire que le receveur ou un groupe très

Analgésique : qui produit une insensibilité à la douleur. Anamnèse : ensemble des informations recueillies auprès d'un malade par l'interrogatoire sur sa maladie et son histoire. Anaphylaxie : état d'hypersensibilité produit par un premier contact avec un antigène. Anastomose : communication naturelle ou artificielle entre deux conduits pleins (nerfs) ou creux (vaisseaux). Anatomie : à l'origine, dissection d'un organisme et, par dérivation, étude de la structure, de la position et des rapports des organes

Fibroblastes de A au contact des virus V sont détruits, parce que les lymphocytes ont reconnu le soi modifié (CMH-Ag).  Fibroblastes de A infectés par les virus G ne sont pas détruits, les lymphocytes n’ayant pas reconnu le soi modifié par un autre antigène. La réponse est spécifique : les lymphocytes de A ne reconnaissent que les cellules infectées par le virus V.  Fibroblastes de B au contact des virus V ne sont pas détruits parce que les lymphocytes n’ont pas reconnu l’antigène associé au non-soi

15 ans. b- Des facteurs génétiques prédisposent à cette maladie auto-immune qu’est le diabète de type 1. Avoir un parent touché par le diabète est un facteur de risque. La présence de certains gènes (marqueurs génétiques) du système HLA (Human Leucocyt Antigen) impliqués dans l’étiquetage cellulaire, responsable de l’identité au niveau cellulaire prédispose fortement au diabète insulinodépendant : gènes DR3 et DR4. Par contre la présence du gène DR 15 semble protéger le porteur. Enfin, si parmi

de l’allogreffe. Lors de la réponse adaptative, différents antigènes peuvent être reconnus par les lymphocytes T du système immunitaire de l’hôte : les alloantigènes majeurs du complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) de classe I et II du donneur (dénommés HLA chez l’homme), les alloantigènes mineurs (allopeptides présentés par les molécules de classe I ou II) du receveur et les autres antigènes comme les autoantigènes ou les antigènes viraux reconnus par réaction croisée avec des alloantigènes

Qu’ est ce que la compatibilité tissulaire ? C’est la plus ou moins grande similitude biologique des tissus du donneur avec ceux du receveur. Chaque être humain se définit par des antigènes réunis en un groupe tissulaire qui lui est propre. On parle encore du groupe HLA (Human Leucocyte Antigen) parce que ces antigènes, spécifiques de l’individu, se localisent distinctement à la surface des globules blancs, tout en existant aussi sur l’enveloppe des autres cellules de l’organisme. Quand le donneur