Antigène HLA

biliaire primitive Myasthénie Hashimoto, Basedow, Addison, PAN Sclérose en plaques, Leucémie, lymphome, Infections 97 95 90 50 81-97 30 - 50 75 45 70 25 15 10-30 ANTICORPS ANTINUCLEAIRES: dépistage en immunofluorescence indirecte noyau Antigènes nucléaires solubles du noyau cytosquelette Golgi mitochondries Dépistage: première dilution: 1/100 Titrage: dilution de deux en deux: 1600 Nucléoles chromatine ribosomes Anticorps anti-nucléaires HEp-2 Dilution 1/100 POSITIF TITRER

immunitaire est incapable d’induire des réponses immunes capables de contrôler la réplication virale, les cellules réservoirs dormantes ne sont pas reconnues par le système immunitaire et ne sont donc pas éliminées, car elles n’expriment aucun antigène viral membranaire. Quantification des réservoirs 08 Notre laboratoire est impliqué depuis plusieurs années dans cette thématique. Nous avons notamment caractérisé le niveau des réservoirs VIH au sein de nombreuses cohortes de patients

(responsable de granulomatoses pouvant simuler la sarcoïdose) − à des antigènes organiques susceptibles d’entraîner une PHS d’origine animale (éleveurs d’oiseaux par exemple), bactérienne (actinomycètes du foin humide dans le poumon de fermier par exemple, huiles de coupe contaminées) ou fungique (Penicillium des fabricants de fromage ou de saucisson, Aspergillus des systèmes de climatisation,…) La liste des antigènes susceptibles d’induire une pneumopathie d’hypersensibilité professionnelles

1 à 2 %) ➢ présence constante d'érythroblastes ➢ présence de nombreux DACRYOCYTES ➢ nombre variable des plaquettes. Autres tests ➢ La PAN est N ou ➢ il y a absence du chromosome Phi ➢ anomalies des antigènes érythrocytaires: surtout le système Rhésus (disparition de l'antigène D) ➢ thrombopathies La maladie de Vaquez ou polycythémie vraie ou polyglobulie essentielle La lignée rouge est atteinte. Il existe un clone d'érythroblastes hypersensibles

probablement par différents mécanismes : – dépôts non spécifiques de complexes immuns circulants dans certains organes prédisposés (rein, peau, tissu synovial) : – formation « locale » de dépôts d’immuns complexes intra tissulaires, dirigés contre des auto-antigènes tissulaires spécifiques de certains organes (rein, peau, etc.). 2. Facteurs étiologiques : C'est une affection auto immune dont l'origine reste encore discutée. De nombreux facteurs contribuent au déclenchement puis à l'entretien de la maladie:

enzymatiques, fluorescence directe quantitative (type d’eau : NCCLS I) Analyses chimiques Analyses biologiques Analyses chromosomiques, fertilisation in vitro/implantation de gamètes dans les trompes de Fallope (IVF/GIFT), antigènes d’histocompatibilité (HLA) (type d’eau : ASTM biomédical) * Cultures cellulaires et de tissus (type d’eau : NCCLS I ou ASTM biomédical) Charbon, adoucisseur, filtres, osmose inverse, échangeur d’ions Charbon, adoucisseur, filtres, osmose inverse, échangeur

suivantes : sérumalbumine, glycoprotéines de transport (transferrine, céruléoplasmine), protéines de l’inflammation (orosomucoïde, haptoglobine, protéine C réactive, facteur C3 du complément), antiprotéases, marqueurs tumoraux (antigène carcino-embryonnaire, alpha-fœto-protéine, antigène spécifique de la prostate, hormone chorionique gonadotrope), immunoglobulines. On indiquera chaque fois les variations pathologiques de ces protéines. On évoquera les hypoalbuminémies, les hypogammaglobulinémies, les hyperglobulinémies

fonctionnelle réussie a été pratiquée en 1958 entre jumeaux identiques. Il a fallu attendre jusqu’en avril 1962 pour réaliser une greffe rénale fonctionnelle entre deux personnes distinctes, sans lien de parenté. La découverte en 1958 des antigènes, qu’on identifie par les lettres HLA, permet d’élaborer un système de sélection et d’attribution des organes, selon des critères de compatibilité entre donneurs et receveurs. La ciclosporine a été découverte en 1971. Cette découverte a fait avancer la science d’un

10 2-1-2) Des cellules pluripotentes et de flexibilité supérieure 2-1-3) Grande capacité de proliférer in vitro 2-1-4) Immortelles en culture 2-2 – Des obstacles à l’utilisation des cellules souches embryonnaires 2-2-1) L’expression des marqueurs HLA 2-2-2) Le risque carcinogène* 2-2-3) Les quantités et qualités des cellules souches embryonnaires nécessaires pour couvrir les besoins potentiels 2-2-4) La pureté des lignées 2-2-5) Un questionnement éthique problématique 52 52 52 52 52 53 53 54

diabètes, ont montré qu'il existe au moins une quinzaine de gènes dits "de susceptibilité" du DID. Chromosome concerné Gène Rôle normal du gène Action probable du gène muté 6p21 bras court du chromosome 21 HLA ou du CMH Découvert par le Pr. Jean Dausset, le système HLA (Human Leucocyte Antigen) ou CMH (Complexe Majeur d'Histocompatibilité) est un ensemble de protéines codées par plusieurs gènes DR ET DQ. Plusieurs diabétiques présentent les gènes DR3 ou DR4. Les mécanismes ne sont pas encore élucidés