Antigone Bienséance

semble alors le reflet du monde tel que lui le perçoit. Par exemple, au milieu du XVIIe siècle, en réaction aux fantaisies baroques, on théoriciens des codes nouveaux. Boileau dans son Art poétique justifie la règle des trois unités et celle de la bienséance, au nom de la vraisemblance. L’esthétique dont Boileau s’est fait le porte parole pense gommer « l’artifice » du théâtre. Cette conception est sans doute appropriée au regard du siècle qui l’a instituée. Mais lorsque le monde aura changé et les

l’histoire littéraire - Étude des effets sur les destinataires histoire littéraire et culturelle Perspective dominante : Perspective complémentaire : Textes et œuvres : Lecture cursive : groupement de textes étude des genres et registres Antigone, Jean Anouilh La séquence suivante illustrera les acquis sur le théâtre par la lecture analytique de Dom Juan, de Molière. Séquence 5-FR20 5 Chapitre 1 > Le texte théâtral A B .................................................

d’être rassure mais ceci ne le rassure pasIl va brouiller tjrs dans ce En sachant, il y a cette aspect moderneMais en même temps l’annocne de la mort ‘dun personnage est traditionnel dans la tragedie, dans la tragedie la mort du personnage (comme antigone) la tragedie on se demande pas s’il va mourir, ttes tragedies se terminent par la mort des personnages tragiquesLa mort à venir d’une personnage est un élément traditionnel de la tragedieAnnonce de la mort d’un personnage n’est pas choquannte/etonnat

24heures. A cause de ces trois unités, la Tragédie est chargée de récits : les actions se passent ailleurs, à l'entracte ou dans les coulisses. Le spectateur l'apprend par les récits que font les personnages. La Tragédie doit aussi respecter la bienséance ; le langage sera noble, le style soutenu. Toute familiarité et tout comique est exclu. On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou de suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l'histoire ou la Bible. Les héros

soulevé nombres débats car son personnage principal est un athée qui ne croit en rien ; il meurt cependant à la fin de la pièce, mais on pourrait y voir là une intervention de Molière pour ne pas subir de censure et de représailles en laissant la « bienséance commune » triomphée. Les Précieuses Ridicules, du même auteur, axe cette fois ci la dénonciation sur une caractéristique bien précise : le vice social, à savoir tout faire pour le paraître et non pour l’être. Les Précieuses cherchent tellement à

INO AGAVE ECHION SEMELE ZEUS POLYDOROS ACTEON LEARCHOS MELICERTE MENOECEE DYONISOS PENTHEE LABDACOS LAÏOS CREON JOCASTE HEMON OEDIPE ETEOCLE ANTIGONE POLYNICE ISMENE L’aventure la plus connue de cette famille et celle d’Oedipe ; La ville de Thèbes est ravagée par la peste. Pour y mettre un terme, les oracles persuadent Oedipe de découvrir

rendre la justice= caractère impartial. C- Les lois de l’Etat (droit positif) Le droit positif comprend les lois écrites (le droit pénal, droit constitutionnel…), qui figurent dans des codes ; et le droit coutumier (politesse, coutumes, bienséance) qui se transmet oralement par l’éducation privée. Ya t’il des normes de justice qui prévalent sur le droit positif et auxquelles le droit positif pourrait déroger ? Existe-t-il une norme de la norme ? Quel est l’intérêt de se doter d’une « supernorme» 

multipliés. Le héros du drame est passionné, et le dénouement de la pièce est malheureux, comme dans la tragédie. Quelles sont les règles de la tragédie classique ? Les règles de la tragédie classique sont les trois unités (temps, lieu, action), la bienséance (l’apparition de moments choquants comme la mort sont interdit d’apparaître sur scène) et la vraisemblance (la tragédie doit offrir au public un spectacle crédible, elle doit éviter des scènes fantastiques ou qui pourraient retirer la crédibilité

l’on voit; chez Racine , ce lieu unique est plus circonscrit: c'est l'intérieur d'un appartement, dans un palais, ou bien une antichambre. Donc, en fin de compte, la tragédie classique se devait de respecter ces trois règles, mais aussi celle de la bienséance (pas de combats ou de sang sur scène, pas de rapprochements intimes), celle de la vraisemblance et celle de la grandeur : les personnages sont des rois et des reines. La tragédie classique ne revit que tardivement après avoir été délaissée au

unitésCette règle avait pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, l'autorisant à se concentrer sur l'intrigue pour mieux le toucher et l'édifier. Elle permettait à la fois de respecter la bienséance (et ainsi de ne pas choquer le spectateur) et de donner un caractère vraisemblable aux faits représentés. Boileau résume ces contraintes comme suit : Qu'en un lieu, en un jour, un seul fait accompliTienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.