Antigone La Colère De Créon

malheureuse famille. Préface 16 Théâtre complet Acteurs Etéocle, roi de Thèbes. Polynice, frère d'Etéocle. Jocaste, mère de ces deux princes et d'Antigone. Antigone, soeur d'Etéocle et de Polynice. Créon, oncle des princes et de la princesse. Hémon, fils de Créon, amant d'Antigone. Olympe, confidente de Jocaste. Attale, confident de Créon. Un soldat de l'armée de Polynice. Gardes. La scène est à Thèbes, dans une salle du palais royal. Acteurs 17 Théâtre complet Acte premier Acte

révolution à l'intérieur comme il l'avait sauvée à Marengo » (texte A) ainsi que dans le texte B : « l'homme du destin » . On a aussi l'image du personnage colérique : « feinte brusquerie », « voix colère » (texte B), ainsi que dans le texte C : « son regard détaché ne s'enflammait que sous la colère, « ce jour là il était maussade, la bouche pincée » et l'on retrouve de même le personnage important et riche qu'est Napoléon. Important par les titres qu'on lui donne « L'Empereur », (texte B et D)

l’histoire littéraire - Étude des effets sur les destinataires histoire littéraire et culturelle Perspective dominante : Perspective complémentaire : Textes et œuvres : Lecture cursive : groupement de textes étude des genres et registres Antigone, Jean Anouilh La séquence suivante illustrera les acquis sur le théâtre par la lecture analytique de Dom Juan, de Molière. Séquence 5-FR20 5 Chapitre 1 > Le texte théâtral A B .................................................

Ainsi grâce au monologue, le spectateur connaît la vérité sur le personnage et saisit mieux les véritables conflits de la pièce. Lorsque le rideau se lève, le spectateur du malade imaginaire, comédie grinçante de Molière, découvre Argan, écumant de colère et de rage contre ses médecins qui ne le soignent pas suffisamment, sa famille qui l'abandonne, ses domestiques qui font preuve de négligence. cet excès révèle au public que le véritable conflit dans la pièce n'est pas la lutte d'un malade, abandonné

représentation ; le théâtre, genre et registre ; démontrer, convaincre, persuader. TEXTE 1 : Albert Camus, Caligula, I, 8 TEXTE 2 : Alfred Jarry, Ubu roi, III, 2, de « apportez la caisse à Nobles » à « faire des lois maintenant ». TEXTE 3 : Jean Anouilh, Antigone a. Question préliminaire (sur 4 points) Après avoir lu tous les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Quelle représentation du pouvoir donne chacun des extraits du corpus ? Préparation - Lire attentivement et plusieurs fois les

pour la mort d’Hector et l’horreur pour la colère cruelle d’Achille sont utilisées dans la description de la guerre faite par Andromaque et Hécube. La machine infernale a en effet des variantes par rapport au mythe antique : Œdipe n'est plus le héros de la légende mais un homme/enfant à qui le Sphinx donne la réponse de l'énigme. Jocaste est une reine frivole qui sent le danger mais ne le comprend pas, Créon incarne l'Ordre autoritaire et obtus, Antigone une petite fille capricieuse. 3) S’agit-il

d’une longue analyse : Les passions sont les causes qui font varier les hommes dans leurs jugements et ont pour consécutions la peine et le plaisir, comme la colère, la pitié, la crainte, et toutes les émotions de ce genre, ainsi que leurs contraires.2 Aristote répertorie quatorze passions fonctionnant souvent par couple d’opposés : la colère, le calme, la haine, l’amitié, la crainte, la confiance, la honte, l’impudence, l’obligeance, la pitié, l’indignation, l’envie, l’émulation et le mépris. Le

est celui qui réaffirme l’actualité et la puissance des conceptions antérieures de la communauté, ces conceptions qui furent développées dans la poésie d’Homère avec le personnage fondateur d’Achille et dans le théâtre tragique de Sophocle, avec Antigone. L’enjeu est en effet celui d’une opposition entre philosophie & poésie - c’est aussi ce qu’on retrouve dans le Ion de Platon. Pour Platon, la poésie est à bannir de la Cité, car le poète n’est pas sujet du logos, cette capacité de délibération

désir de trouver le Sphinx et sa certitude de le vaincre. La jeune fille s'offre alors à le lui montrer, le prie de fermer les yeux, bondit sur son socle, s'écrie : « Moi ! Moi ! le Sphinx ! » et l’enchaîne par des liens invisibles. Se tordant de colère, il avance sur les genoux. Toutefois, pour le sauver, elle lui donne d'avance la réponse à l'énigme. Il triomphe donc de I’épreuve, mais il n’a même pas un mot de reconnaissance pour le Sphinx, qui n'était autre qu'une incarnation de la Némésis, la

déraciné, décomposé ». Il accuse son beau-frère : « vous me l'avez tuée » ; il croit à un complot. Tirésias lui affirme alors : « Vous avez assassiné l'époux de Jocaste, Œdipe, le roi Laïus. Je le savais de longue date… ni à vous, ni à elle, ni à Créon, ni à personne je ne l'ai dit ». En fait, il lui reste le pire à comprendre, car il s'égare encore sur de fausses pistes concernant sa naissance. Paraît alors un vieux berger, c'est « l'homme qui [t'] a porté blessé et lié sur la montagne ». Pressé