Antihéroe

Chartreuse de Parme, roman publié en 1839 qui valut à Stendhal sa notoriété. Il s’agira ici d’exposer l’image du héros proposée dans ces textes. I) Une image surprenante Don Quichotte, Candide et Fabrice sont 3 héros surprenants : - antihéros, Candide ne veut pas être un héros, ne fait rien pour, il se contente de poursuivre son aventure sans pour autant accomplir d'acte héroïque Fabrice aussi mais lui regrette de ne pas être héros - Don Quichotte et Fabrice veulent tous les 2 être des

rôle dans l’histoire : Il représente le système colonial européen avec le personnage de Ferral. Il soutient le groupe de Kyo et Katow pour l’insurrection, mais c’est un personnage amorphe, secondaire, non émotif et non actif ce qui fait de lui un antihéros. Il sera l’un des rares dans l’entourage des insurgés a pouvoir sauver sa vie. Passage qui représente le personnage : Apprenant que Kyo et lui même sont recherchés par la police, Clappique réussit à donner lui un rendez-vous a Kyo dans un bar de

rebours, en 1884 (les thèmes abordés se rapprochent du mouvement symboliste) L’œuvre : • La particularité de ce roman est qu'il ne s'y passe presque rien : la narration se focalise principalement sur le personnage principal, des Esseintes, un antihéros esthète et excentrique, et constitue une sorte de catalogue de ses goûts et dégoûts. • Manifeste de l'esprit décadent qui prend forme dans les dernières années du XIXe  siècle. Des Esseintes préfère les ouvrages de l'Antiquité tardive aux auteurs

j'ai passé un casting en costard-cravate pour jouer le rôle d'un agent immobilier. Deux semaines après, la production m'a rappelé pour me dire "On a pensé à toi pour jouer un flic raciste". Ca m'a fait marrer. Je suis donc devenu ce flic beauf, un antihéros. Fabienne Carat (Samia) : Je jouais le rôle d'une mère dans Bin'o Bine, une autre série à Marseille en 2004. J'ai fait un essai dans Plus belle la vie et dix mois après le lancement de la série, le personnage de Samia est arrivé. Vous vous

I-Le personnage porteur de message 1)Présentation de personages idéalisés philosophiques, inculquant des valeurs philo : le lecteur sa'ppuie sur cet idéal. ex : indien de suppl au voy. de BG : 2)Présentation des "antihéros" arrivant en tant qu'étrangers à l'utopie, ils critiquent car ils sont jaloux : le lecteur se remets en question. ex : le roi des Scythes princesse de babylone 3)Présentation de personnages dont on suit le raisonnement philosophique psycho tout au long de son parcourt, il

l'artisanat 3) omniprésence du thème religieux III. Une parodie de registre épique 1) Violence des mots/ sentiment de violence du pg 2) La rue, un champ de bataille (champ lex) + présence nombreuse de nombres. 3) un antihéros. Conclusion libre. Ouverture possible sur les réécritures ou sur les textes traitant du même thème et que l'on a cités dans l'intro.

existences édifiantes et chargées de valeur symbolique III) La définition proposée par Camus, propre à l'esthétique classique du roman et de ses personnages, ne convient pas à une certaine évolution moderne du genre romanesque A. L'émergence des "antihéros" B. La crise du personnage dans le Nouveau Roman et ses avatars C. L'inflation contemporaine du genre autobiographique, autre symptôme de la crise du personnage romanesque ? Conclusion

ridicules. Certaines méthodes sont d'ailleurs décrites avec beaucoup d’humour.Du docteur Bonnefille, qui dirige l’établissement, Maupassant écrit qu’il signe son ordonnance « comme aurait fait un magistrat pour un arrêt capital » . B) Un antihéros : Charles Bovary Dans Madame Bovary, roman de G. Flaubert à l'incipit célèbre, Charles Bovary est un médecin dont le reflet est très mitigé. En effet, très médiocre étudiant, il réussit cependant à passer l'examen d'officier de santé qui permettait

qualités qu’il développe, et atteint le prestige. Il est finalement héros malgré lui. L’emploi de tels personnages vertueux semble incontournable pour donner son sens au roman. Cependant, de nombreux auteurs n’ont pas hésité à mettre en scène des antihéros, médiocres personnages, particulièrement depuis le XIXème siècle. Ce choix vise généralement à se rapprocher de la réalité, et peut également adresser un message ou exprimer une opinion. Une telle œuvre est alors également porteuse de caractéristiques

alors qu’avec un héros exceptionnel, cela n’aurait pas été possible, puisque cela aurait enlevé les grandes qualités humaines au héros qui deviendrait un antihéros. L’auteur peut donc dorénavant critiquer à travers son personnage, comme Houellebecq l’a fait dans Extension du domaine de la lutte. Le narrateur-personnage de ce roman, un lâche antihéros, expose un regard extrêmement péjoratif de la société contemporaine. Par ailleurs l’auteur peut aussi proposer une sorte de réconfort au lecteur qui sera