Antioche

poursuivent leur progression en Asie Mineure byzantine et, le 19 août 1071, ils battent l'empereur grec Romain IV Diogène à la bataille de Mantzikert. Profitant ensuite des divisions byzantines, ils conquièrent pratiquement toute l'Asie Mineure. Antioche passe sous leur contrôle ; ils rejettent également les Fatimides d'une partie de la Palestine et deviennent les nouveaux maîtres de Jérusalem en 1073. Mais se sont-ils alors livrés à des persécutions des chrétiens comme l’indique le discours d’Urbain

cadet de Séleucos III auquel il succède après le court règne de ce dernier. Il règne de 223 à 187 et est le dernier grand roi de la dynastie Séleucide. L’Etat dirigé par Antiochos III doit son nom à la Syrie septentrionale où se trouvait sa capitale, Antioche ; mais il contrôlait en outre, même si son pouvoir n’y était pas des plus solide, un territoire très vaste, qui partait de l’Anatolie méridionale à l’ouest, englobait l’Asie centrale et finissait presque en Inde. Il y avait aussi des puissances mineures

tournant à l’origine d’une véritable expansion du judaïsme ne se produisit qu’à l’époque hellénistique, lorsqu’une culture commune rassemblant les élites des deux bassins de la Méditerranée établit une véritable koinè, avec deux centres principaux Antioche et Alexandrie. Jérusalem devint, à l’époque d’Hérode, une cité cosmopolite, l’aristocratie rabbinique et foncière ayant adopté l’hellénisme avec même, souvent, l’adoption de noms grecs. Ce qui avait provoqué la violente réaction intégriste des Maccabées

quelques semaines seulement, quatre colonnes musulmanes s’emparent des villes et des châteaux tenus par les croisés. 1187, Jérusalem ouvre ses portes à Saladin. Il ne restera qu’aux Francs quelques châteaux, la ville de Tyr et vers le nord, Tripoli et Antioche. C’est ainsi que deux papes successifs, Grégoire VIII et Clément III, lancent un appel à la croisade. Ils doivent expliquer la signification de la défaite et exhorter la chrétienté au repentir. Comment accepter que le Saint-Sépulcre, signe tangible

l’homme. Voilà qui justifie la vénération des reliques des Saints. Cependant les orthodoxes ne croient pas que le salut et la résurrection sont en danger là où le corps est réduit en cendres ou détruit de toute autre manière après la mort (St Ignace d’ Antioche). Saint Jean Chrysostome affirme explicitement que l’état physique d’un corps mort n’empêche pas la transformation en un corps de gloire et l’héritage de la vie éternelle. Néanmoins quelques références sont indiquées en faveur de l’inhumation :Gn

assurée pour quinze ans. Pour se reposer de ses fatigues, Germanicus s'accorda un petit voyage d'agrément en Égypte. Il y séjourna quelques mois en compagnie de son épouse Agrippine et de toute sa petite famille, Ensuite, tout ce petit mode revint à Antioche. C'est là que le père de Caligula tomba gravement malade et mourut (10 octobre 19). Bien qu'il soit impossible de se prononcer avec certitude, il semble bien que la mort de Germanicus fut naturelle. Mais ce ne fut pas l'avis de sa veuve, la fameuse

laquelle Constantin proclame solennellement la « puissance supérieure » de Pierre et de ses successeurs, puissance qui surpasse celle de l’empereur lui-même. Constantin ne se limite pas à reconnaître la primauté de Rome sur les quatre autres sièges (Antioche, Alexandrie, Jérusalem, Constantinople) mais il instaure également une monarchie spirituelle en dotant pape et clercs des attributs du pouvoir temporel de l’empereur et du sénat romain (vêtements, insignes impériaux et diadème pour le pape, qualité

Romain, les croisés signent un accord avec l'Empereur, moyennant une aide militaire contre la cession des terres reprises. Les croisés se lancent alors à l'assaut des principales villes turques. Avec plus ou moins de facilité, ils prennent Nicée, Antioche et arrivent en 1099 aux portes de Jésusalem. La cité, défendue par les Egyptiens, ne résiste pas à l'assaut d'une armée techniquement supérieure par l'apport de machines de siège, construites sur place ou déplacées en kit. Après deux ans de conquête

de croix noires, en forme de Y, remise par le pape aux archevêques. Pancarte : charte comprenant la copie ou le résumé de plusieurs chartes ou notices. Patriarche : évêque titulaire d’un des cinq plus grands sièges de l’Église (Alexandrie, Antioche, Constantinople, Jérusalem et Rome). Patriciat : à partir du XIe siècle, élite urbaine constituée d’une bourgeoisie contrôlant les fonctions artisanales, commerciales et/ou communales. Patricien : membre du patriciat. Patristique (adj.) :

rappeler Anastase. Au cours de son second patriarcat, Athanase reconduit la politique qu'il avait menée lors de son premier règne, ressuscitant l'animosité du clergé et de la population : il en vient ainsi à dépouiller les patriarches d'Alexandrie, Antioche et Jérusalem de leurs propriétés. Toujours aussi impoplaire, Athanase est encore une fois forcé d'abdiquer en 1309. Par cette suite d'abdications et d'oppositions, nous pouvons voir que la pacification de l'église orthodoxe ne fut de loin pas une