Antioche

considéré comme l’image de Dieu sur Terre, responsable devant lui du salut de ses sujets et chargé d’étendre à toute l’humanité la religion chrétienne. 2) L’organisation et la puissance de l’Eglise Les évêques des grandes cités de l’empire (Antioche, Alexandrie, Constantinople) prennent plus d’importances que les autres et celui de Rome, successeur de Saint Pierre, revendique le titre de chef de l’Eglise. L’Eglise de la fin du IVe siècle est très riches des dons consentis par les empereurs

et Sardaigne et promesse consulat pour 38 36 : Lépide politiquement éliminé demeure juste Grand Pontife Antoine et Octave de 44 à -31  Antoine en Orient Rencontre Cléopâtre à Tarse (41), qu’elle attire à Alexandrie Parthes (Perses) prennent Antioche (influence pompéins & fils de Labienus, genéral de César) et envahissent Asie Mineure puis Pacorus (fils Roi Orode) prend Phénicie & Jérusalem (Syrie Romaine & Judée) ac Quintus Labienus En l’absence d’Antoine : Ventidius Bassus reprend

nouvelle de la capture de Valérien, dont la date exacte est controversée, soit à la fin de 259 soit au milieu de 260. toute la Mésopotamie fut perdue, ses villes pillées, ainsi qu'en Syrie, en Cilicie et Cappadoce. Pour la seconde ou la troisième fois, Antioche fut occupée et Shapur y aurait intronisé comme empereur à sa dévotion le traître Mariadès, qu'il devait du reste bientôt faire exécuter. Mais l'heure de Palmyre était venue. Les succès de Shapur furent sans lendemain sur le plan local: Edesse avait

performance de la liturgie chrétienne besoin d'un hall central pour les célébrations et chambres communicantes latéraux, les allées, pour les processions et comme des espaces de circulation et d'accès pour la congrégation de la nef. L'église épiscopale à Antioche comme un édifice du centre-plan avec plusieurs pièces satisfait à ces exigences religieuses de la même manière que le mausolée de Constantina est l'espace idéal pour les célébrations funéraires, et, comme le mausolée de Helena était probablement

Sarrasins », son frère Leon ·  Jean Tzimiskès¤ les terres La reconquête · Mélitène est reprise en 931 base des raids musulmans = bien se rendre compte que c’est la première fois qu’une ville majeure repasse sous le contrôle byzantin = onde de choc· Antioche, la « ville de Dieu » est reprise le 29 octobre 969 c’est le retour dans l’Empire d’un siège patriarcal au passé prestigieux· 970 : prise d’Alep· Jérusalem, où les armées byzantines doivent s’arrêter à 150 km en 975· Edesse, fameuse pour ses icônes

recevoir les saints mystères » (ligne 25). Et l’empereur dit encore, à la ligne 30, « là-dessus j’ai envoyé des ambassadeurs aux patriarches avec des lettres où je racontais ce qui m’était arrivé ». En effet Léon VI envoya aux patriarches de Jérusalem, Antioche, Alexandrie, et au pape de Rome, des agents chargés d’informer les patriarches sur les malheurs qu’a eus Léon VI avec ses femmes et son obligation de se marier une quatrième fois pour assurer sa descendance. Le but est de convaincre les patriarches

bénéficié des réformes d’Héraclius, preuve que les modifications qu’il avait apportées étaient efficaces. Le 20 août 636, la bataille de Yarmouk donna aux Arabes une victoire écrasante contre les forces d’Héraclius. La plupart des villes du pays dont Antioche se rendirent sans combat. Outre la Mésopotamie, la conquête d’Egypte commença. Héraclius, qui avait commandé personnellement toutes les campagnes contre la Perse n’eut aucune vraie part dans les guerres contres les Arabes. Il assistait à la ruine

porter le titre de courtoisie de comte d’Edesse. Rappelons qu’Agnès épousa par la suite le roi Amaury Ier de Jérusalem. Elle était donc la mère du lépreux. 3. La principauté d’Antioche De par sa position, jouxtant le golfe d’Alexandrette, Antioche a toujours posé problème pour les croisés qui la défendaient. En effet, la cité se trouvait au contact de puissants adversaires, entraînant de graves crises structurelles. Ainsi, Bohémond, devenu maître de la ville dès 1098, fut capturé par les Danishmendites

environ) : à la suite des immenses conquêtes d’Alexandre (qui signent la fin de la Grèce des cités proprement dite), la culture grecque s’étend sur la plus grande partie du monde connu ; des centres artistiques importants se développent jusqu’en Syrie (Antioche), Egypte (Alexandrie), Anatolie (Pergame). Les thèmes sont plus variés, plus naturalistes, plus décoratifs encore : les particuliers embellissent leurs maisons, leurs jardins, avec des sculptures, des mosaïques et des peintures (dont c’est la grande

du christianisme sont appelés « chrétiens. » Les Actes des Apôtres, un livre du Nouveau Testament, indiquent que le nom de « chrétien », signifiant « appartenant au Christ » ou « partisan du Christ », fut donné aux disciples de Jésus de Nazareth à Antioche au milieu du Ier siècle[5]. La référence la plus ancienne connue pour le terme christianisme se trouve dans la lettre d'Ignace d'Antioche aux Magnésiens à la fin du Ier siècle[6]. Les chrétiens croient que Jésus de Nazareth est le Messie que prophétisait