Antithèse

nous pouvons observer une omniprésence de la nature : en effet, l’auteur en fait l’éloge. Le vers 5, « Mais la nature est là, qui t’invite et qui t’aime », souligne la dimension positive de celle-ci, accueillante envers les Hommes, ce qui crée une antithèse avec le vers 3, entre les mots « invite » et « abandonne ». Cela renforce la vision méliorative de la nature, car nous trouvons dans la totalité du texte un registre élogieux, telle une façon de glorifier la grandeur de la nature, celle depuis laquelle

fin du monologue, le dilemme semble résolu : Rodrigue a choisi de défendre l’honneur de son père et le sien. Même sans didascalie, il est évident que ce passage correspond à une rupture de ton pour l’acteur qui joue Rodrigue. 2. Oppositions et antithèses Le texte repose sur une accumulation d’oppositions binaires qui met en valeur la figure du dilemme. Bien qu’il s’agisse d’un monologue, l’action n’est pas statique : ce monologue est délibératif. Rodrigue hésite entre deux solutions qui lui semblent

extrême »/ »froidure ». Ces antithèses ne sont pas toujours dans le même ordre. Tantôt joie suivie de souffrance, tantôt souffrance suivie de joie. Souvent on a à faire à des constructions inversées, à des chiasmes. Impression d’un désordre amoureux, la poétesse ressent une confusion intérieure. Les antithèses sont également mises en avant par les rimes « me noie » avec « joie » ou « heur » avec « malheur ». [B) Alliance des sensations et des sentiments] Les antithèses qui font référence aux sensations

II- Un univers soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses -----Le jeu des antithèses Le poème de Baudelaire donne de l'albatros deux visions radicalement opposées : autant l'oiseau en vol est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur

7.3. Figure de style: -(1335) antithèse :honneur <-> reproche honteux -(1337) la phrase se termine en plein milieu d'un vers, enjembement? -(1350) métaphore: horrible aventure = histoire d'amour -(1358) Répétition: Osez <-> Osez => Mise en évidence, afin de pouvoir convaincre Aricie + Parallélisme de construction -(1366) Personnifications des villes + parallélisme de construction -(1374) Antithèse: Feu <-> glace -(1388) Antithèse: Fuyez <-> suivez ennemis

merveilles à une fille nue et pudique: on passe devant sans les voir. Il aime autant ce qui est grand (et connu) que ce qui est petit et moins connu. En effet vers 8 et 9 "Avec son petit canal de l'Ourcq Sa grande muraille de Chine" qui forme une antithèse. En revanche, vers 10 et 11, il choisit deux lieux proches: deux petites villes. Les deux noms riment. Il passe du singulier au pluriel pour dire que les merveilles ne sont pas uniques mais nombreuses. Nous avons donc un jeu sur le singulier et le

étudiera la vision du auteur par rapport au mythe et ensuite on verra comment on peut comparer le texte avec la société dans laquelle vivait l’auteur. Le poème est séparé dans 2 sections. La première raconte l’histoire. Ici on trouve les antithèses qu’aident à l’auteur á raconter le mythe de son point de vue. Abel est absolument favorisé par Dieu pendant que Caïn vit d’une forme misérable. On voit la présence de Dieu, qu´aime a  Abel mais déteste sans raison claire a Caïn, On peut dire donc

marquant l’indignation d’ODG. Provoque son interlocuteur tu ; t ; ta ; tes Tutoiement Marque de mépris mais place tout le monde sur le même pied d ’égalité -> pratique commune durant la révolution « homme », « une femme » Noms au singulier + antithèse Renforce l’idée du duel entre les 2 adversaires « ôteras » Futur à valeur impérative Futur + négation « ne … pas » = Interdiction : ODG refuse de perdre son droit à la parole. Ton autoritaire « juste », « droité, « opprimer », » souverain empire »

mots. EX : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers. EX : « Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits » Antithèse : 2 termes de sens opposés dans une même phrase. EX : « Le navire était noir, mais la voile était blanche » Assonance : Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots. EX : « Qui ne les eût à ce vêpre cueillies
    Chutes à terre elles

théme du mariage. Le champ lexical du mariage est d'ailleurs présent dans c'est deux extraits : "mariage, mari, union, époux, mariée". Dans le texte de Racine, Agrippine craint le changement de comportement de Néron comme on peut le voir dans ces antithèse : " aimer et craindre " " généreux et ingrat ". Enfin, sur le plan des registres à présent on peut constater que les textes B et C de Molière, untilisent le comique, on peut le voir grâce aux répétitions présenter dans le texte. Alors que pour le