Antithèse Sur La Peur

9 : l’adjectif «seul» est un terme exclusif. Terme négatif «fagoté» qui dénonce un modèle sociale incohérent.Lignes 9 à 11 : Accumulation de terme péjoratif : Bizarre, aveugle, boursouflé et crasse qui associe les défauts masculins a la saleté. Antithèse entre «lumière» et «ignorance» qui permet de mettre en avant un paradoxe que l’on retrouve souvent dans son œuvre : l’idée que les révolutionnaires se sont battue pour la liberté et l’égalité mais qu’il reste les maître absolue du sexe féminin.Dans

affliction[footnoteRef:1] [1: Énumération] venaient la spéculation chimérique de la rêvasserie fautive[footnoteRef:2]. [2: Antithèse] La réalité se déshabilla[footnoteRef:3] pour dévoiler ses mirages ambigus[footnoteRef:4] [3: Personnification ] [4: Pléonasme] où les bruits assourdissants de l’univers circulaient des discours silencieux[footnoteRef:5]. [5: Antithèse] Pour lui c’est l’habituelle routine[footnoteRef:6], là où les yeux mentent tel un coeur fendu[footnoteRef:7]. [6: Pléonasme]

Garde un air sérieux, tout en masquant son fou rire donc amusement Attendrissement et pitié d’A face à la peur des autres persos Facile pour le lecteur de s’y identifier - Définit par ses actes héroïques Maître de la situation, tout se déroule comme il l’entend Certains, dès le début, de passer les remparts et d’entrer, sans être arrogant Inspire la peur à ses adversaires N’a pas peur Donne des ordres aux soldats des barricades Il passe sans tirer un coup de feu, et sans blesser personne

Comment ce texte qui mêle réalisme et fantastique laisse-t-il transparaitre le paysage intérieur de Pierre ?I/ Un texte qui nous transporte du réel au fantastiqueII/ Un paysage qui laisse deviner un homme perturbé : le portrait intérieur de Pierre. Guy de Maupassant est un journaliste et écrivain français. Il nait le 5 août 1850 en Normandie. Lié à Flaubert et Zola, il marque la littérature française par ses romans et ses nouvelles qui allient parfois réalisme et fantastique. Il écrit

se succèdent, sans coordination) + assonances en [i] + antithèse (rougir ≠ pâlir) Champ lexical des sens (vue, parole) + emploi répété de la forme négative Emploi de l’adjectif « tout » + antithèse (transir ≠ brûler) + procédé d’insistance (répétition de la conjonction de coordination « et ») Emploi de métaphores reposant sur les champs lexicaux de la maladie et de la blessure Champ lexical de la folie + antithèse « cherchais » ≠ « égarée » Champ lexical de la vision

du parti). Cela les a séparé. Le texte - argumentation claire, fournie en exemples. Elle est très efficace sur le lecteur. Thème ? La peur ? Peur du futur, peur de l'avenir ? Provocation par des termes crus choisis (« chien »). L'Homme n'est plus le même après la Seconde Guerre Mondiale. Thème : La peur (en jaune) La science est reliée à la peur. Elle est un moyen qui mène à la Terreur. Elle se retourne contre l'Homme. C'est l'auto-destruction. L'Homme n'a plus d'avenir, il est animalisé

a des antithèses : rosefumier, orcendres. On passe d’un extrême a l’autre, métamorphose brutal des situations, illusion que peut avoir l’homme d’être tout puissant, riche => inversement des rôles, pouvoir inexorable. La mort ne peut être arrêtée, domination de la mort. III- Sort de l’humanité On ne peut lutter contre cette mort, elle touche tout le monde, le poète ne peut agir contre cette fatalité. IV- Champs lexical de la mort Peur, nuit, mort, angoisse…, évocation de la peur « doigts

système de valeur communément admis. Sa validité, limitée à ce système, ne remporte pas forcément l'adhésion générale.  - l'argument d'expérience : fondés sur l'observation et l'expérience, ils sont souvent de l'ordre du constat (ex : les gens qui ont peur des autres sont souvent agressifs).  - l'argument d'autorité : l'auteur a recours à la caution d'un homme illustre pour légitimer ses propres affirmations. Mais ce recours varie selon les cultures, les époques, les idéologies. - l'argument "ad hominem"

pue jusqu'ici leur sueur, leur gros vin, leur fri­ture? Gens de Corinthe, qu'avez-vous à crier et à danser? Qu'est-ce qui se passe de si gai ce soir qui m'étreint, moi, qui m'étouffe?... Nourrice, nourrice, je suis grosse ce soir. J'ai mal et j'ai peur comme lorsque tu m'aidais à me tirer un petit de mon ventre... Aide-moi, nourrice! Quelque chose bouge dans moi comme autrefois et c'est quelque chose qui dit non à leur joie à eux là-bas, c'est quelque chose qui dit non au bonheur. Elle se serre

figures de l’opposition : antithèse « très chère sainte » et « odieux »), chiasme « Mon nom m’est odieux à moi-même // Puisqu’il est à tes yeux celui d’un ennemi » - R exprime son impuissance à dire son nom, il veut le renier « déchirer » l.99. - L’amour passe pour R avant sa propre identité. - Deuxième obstacle : hauteur du mur + présnece des cousins qui affiche le danger de la situation (105-107) allant même jusqu'à souhaiter ce danger si J refuse son amour. - J a peur de la présence des frères