Antithèse Sur La Peur

fait de dire en plusieurs mots ce que l’on pourrait dire en un seul : le siècle des lumières pour désigner le XVIIIème siècle Inversion : inversion de l’ordre dans lequel apparaissent normalement les éléments syntaxiques, triste était mon âme Antithèse : confrontation de deux thèses opposées : grand et petit Prolepse :mise en relief d’un élément par sa mise hors proposition où il est remplacé par un pronom, ce bouquin, je n’y comprends rien Antiphrase : C’est le fait de dire le contraire

également a cette présentation pathétique de l’homme. - Plus loin Pascale utilise le mot malheur souvent ( malheur des hommes, malheur naturelle (inscrit dans notre nature ) , malheur si il y pense … b) Ce lexique pathétique fonctionne en antithèse avec celui qui fait référence au bonheur , que l’on est censé chercher par le divertissement : - «  ce n’ est pas qu’il y est en effet du bonheur ni qu’on s’imagine que la vrai béatitude soit d’ avoir de l’argent qu’on peut gagner au jeu »

(répétition « vieillesse », début et fin du poème). • => épicurisme, philosophie : acceptation de la mort ; mais épicurisme = profiter de la Nature grâce à ses sens, donc quand les sens se délitent (la vieillesse), la vie devient insupportable, d’où la peur de Ronsard pour la vieillesse (il a 54 ans quand il écrit ce texte). 2. Nostalgie, seul recours et seule occupation • Regret : « amour » de Ronsard et « dédain » de l’aimée, parallélisme avec les pronoms possessifs, v12 ; discours direct, imparfait

explicite : « les fleurs excitées brûlent du désir (...) », marie Krysinska opte pour le symbole du « merveilleux serpent », figure biblique de la tentation. Apollinaire quant à lui ne réussit pas à nommer ce qui semble l’inquiéter : « (...) elle me faisait peur », mais il insiste au moyen de la répétition de l’intensif « si » sur le transport éprouvé : « Elle était si belle ».             Chez les trois poètes, le désir est associé aux couleurs du printemps et à la chaleur. À « l’œil brûlant du soleil »

coupée. Les soldats ne savent plus ce qui est bien ou mal, il n'y a plus de pitié, plus de sentiment, rien. La répulsion est quant à elle, quasiment omniprésente dans les textes de Jünger et Céline: entre la violence, la souffrance, la peur et la satire faite de la guerre, l'image de la guerre donnée ici est très péjorative. Pour commencer, il y a les images négatives: "La grande souffrance régnait en ce lieu", dans Orages d'acier, mais aussi "Toutes ces viandes saignaient énormément

............................................................................. 8 Antiphrase ....................................................................................................................................................... 8 Antithèse.......................................................................................................................................................... 8 Chiasme [kjasm]..........................................................................

difficile de l’obliger à la quitter. Devant l’hôpital, indifférent aux flocons de neige, au vent glacé, il attendait. La supérieure se pencha pour embrasser la fillette sur son lit minuscule. « Alors, dis-moi, Hélène, de quoi as-tu envie ? N’aie pas peur. » Un filet de voix s’éleva : « Je voudrais, je voudrais… des frites. » La supérieure se troubla. Comment trouver un tel luxe ? Nous n’avions que des haricots, encore des haricots, toujours des haricots. La fille enhardie, nous souriait et répéta :

«Si tu pars tu vivras dans la honte» «Je préfère vivre dans la honte que mourir dans la fierté» Olivier Kemeid, L’Énéide, Lansman, p.11 Cette antithèse représente la force du personnage, nous démontrant qu’il n’a pas peur de ses convictions et qu’il a une vision plus large que son peuple. Il ne se laisse pas envahir par le poids de la lâcheté que tente de lui faire porter son acolyte. Dans ce passage de L’Énéide, le personnage principal exprime clairement son désir de quitter son pays afin

il parle de ce qui vont venir après lui qu’il ne pourra point rencontré. Il nous dit « La nuit surtout », il dit qu’il ne rêve pas, il le voit, ce qui va lui arriver, la mort qui va l’emporter « je vois, j’entends, je marche au bord du trou » il a peur. « J’entend gronder », les pierres qui se détachent, des années, il fait référence au temps qui passe, et ce compare à des pierres qui se détachent, comme si son corps se décomposer en morceaux avant de ne plus être là. On trouve aussi une anaphore

plongé vers le grand jour J'ai vu les fanfares, les barrières Et les gens autour Dans les premiers moments j'ai cru Qu'il fallait seulement se défendre Mais cette place est sans issue Je commence à comprendre Ils ont refermé derrière moi Ils ont eu peur que je recule Je vais bien finir par l'avoir Cette danseuse ridicule... Est-ce que ce monde est sérieux? Est-ce que ce monde est sérieux? Andalousie je me souviens Les prairies bordées de cactus Je ne vais pas trembler devant Ce pantin, ce minus!