Antoine et Colette

a fini à 22 ans » le 31 aout 1846 à Louise Colet, sa maitresse. En 1846 son père décède et lègue 800 000 francs, la famille possède une des plus grosses fortunes de Normandie, sa sœur Caroline, qu’il affectionnait avec amour, décède elle aussi après avoir mit au monde une fille quelque mois plus tôt. La mère de Gustave et lui élèveront Désirée-Caroline et s’installeront définitivement à Croisset, le 4 août il rencontre sa future maîtresse, Louise Colet .De 1849 à 1851 voyage dans le monde entier

L'Éducation sentimentale .   3.      Une liaison avec Louise Colet En début 1846 meurent à peu de semaines d'intervalle, son père, puis sa jeune sœur (deux mois après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture — sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855 —, il entretiendra avec elle une correspondance

crise nerveuse épileptiforme. Le 7 janvier 1845, il achève la première Éducation Sentimentale, qui ne paraîtra que trente ans après sa mort. En février 1846, il commence une liaison orageuse avec Louise Colet qui termine huit ans plus tard. Il compose la première version de La Tentation de Saint Antoine en 1848. Pendant deux ans, il entreprend un voyage en Orient : Égypte, Palestine, Syrie, Liban, Asie Mineure, Constantinople, Grèce et Italie. À son retour à Paris, il rédige Madame Bovary, publié en

L'espace intime de la vagabonde dans l'oeuvre de Colette Sommaire Introduction 3 I. Des Femmes vagabondes 6 1. Un trait de caractère récurrent (création d’un type féminin) 7 ▪ « La conseillère maquillée » 7 ▪ La fillette et la femme vagabonde 10 ▪ La Vagabonde 11 2. Mal être et souffrance ( à cause d’un homme) 14 ▪ rupture, souffrance, fin d’une vie 14 ▪ reconstruction d’une vie sans avenir 16 ▪ rejet de l’amour 19 3. Des êtres de passage 22 • L’insousciance de

après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture (sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855), il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les

22 Mardi 13 mai 1845 Jusqu’au mardi 20 mai 1845 Mercredi 21 mai 1845 Jeudi 22 mai 1845 Vendredi 23 mai 1845 Palais Balbi. « J’ai vu un tableau de Breughel représentant La Tentation de Saint Antoine, qui m’a fait penser à arranger pour le théâtre La Tentation de Saint Antoine. Mais cela demanderait un autre gaillard que moi ». Palais Durazzo Pallavicini. Palais Doria Tursi [Pamphili] où ont couché Charles Quint et Napoléon. Palais Serra : « Ce qu’il y a de plus écrasant […], ce qui

perdit son père et sa sœur en 1846. Dans la même année, il rencontra Louise Colet, une poétesse qui devint sa maitresse En 1846, recommandé par des médecins, il fit un voyage en Orient, visitant l'Égypte, la Syrie, Beyrouth… et acheva la Tentation de Saint Antoine. S’intéressant beaucoup à la culture orientale, Flaubert refit en 1851 un voyage en Orient qui durerait près de deux ans. Il rompît définitivement avec Louise Colet en 1854, mettant fin à une relation d’une dizaine d’années. Deux ans après

la Seine, près de Rouen. Il y vécu avec sa mère pour le restant de sa vie. Il fit quelques visites à Paris et en Angleterre où il aurait eu une maîtresse. Flaubert ne s’est jamais marié. D’après Émile Faguet, son biographe, sa relation avec Louise Colet fut sa seule et unique sérieuse histoire d’amour. Il allait quelques fois rendre visite aux prostituées. Enfin, à la fin sa liaison avec Louise Collet, Flaubert perdit tout intérêt dans les relations romantiques et rechercha uniquement des compagnonnages

Mémoire (UE 303) Quels sont les liens et les ruptures entre « Histoire » et « mémoires » ? RAPIDE BIBLIOGRAPHIE : PROST (Antoine), Douze leçons sur l'Histoire, Paris, Essais (Poche), 1997, 330p. MIQUEL (Pierre), Les Mensonges de l'Histoire, Paris, Perrin, 2002, 396p. LAMY (Michel), Jeanne d'Arc, Pocket, Paris, 1999, 480p. BEAUNE (Colette), Jeanne d'Arc, vérités et légendes, Perrin, Paris, 2004, 234p. Dans Les lieux de mémoires publié en 1984, Pierre NORA dit à propos des

après son accouchement — Gustave prendra la charge de sa nièce, Caroline). C'est également, au printemps de cette année que commence sa liaison houleuse et intermittente sur une dizaine d'années avec la poétesse Louise Colet. Jusqu'à leur rupture (sa dernière lettre à Louise Colet est datée du 6 mars 1855), il entretiendra avec elle une correspondance considérable dans laquelle il développera son point de vue sur le travail de l'écrivain, les subtilités de la langue française et ses vues sur les