Apologie De Socrate

de l‘homme en tant qu’être-jeté-dans-le monde. CHAP. II. PARCOURS DE LA PENSEE ESTHETIQUE Nous entendons utiliser ici la classification de Dénis HUISMAN qui distingue trois âges de l’esthétique philosophique : - L’âge dogmatique qui va de Socrate à l’invention du terme esthétique en 1750 ; - L’âge critique, de l’invention du terme esthétique à Hegel ; - L’âge positif avec l’avènement d’une science de l’art. Ce chapitre est donc une revue des réflexions des philosophes sur l’activité artistique

se retrouve chez les Pytha- goriciens ^; et, plus tard, dans les Mystères institués par l'imposteur Alexandre ^. Les grands philosophes, de même, sont initiés aux Mys- tères d'Eleusis. Platon nous présente Socrate comme un initié : celui-ci affirme, en effet, dans V Apologie, que si son âme survit avec pleine conscience d'elle-même, il verra, après sa mort, Mi- nos, Rhadamanthe, Êaque et Triptolème ^; or Triptolème est le héros d'Eleusis. ^tfr t^m^iU Platon lui-même fait allusion

comprendre le texte ......................... 33 Texte 4 : Valeur de l’arbitrage, Alain (1868-1961) ... 34 Pour mieux comprendre le texte ......................... 35 2 Texte 5 : Mieux vaut subir l’injustice que la commettre : l’apologie de Socrate, Platon (428-348 av. J. -C.) .................................................................. 36 Pour mieux comprendre le texte ......................... 38 2 Justice et force ................................................................ 39

....... 28 Texte 4 : Valeur de l’arbitrage, Alain (1868-1961) .................... 29 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 30 Texte 5 : Mieux vaut subir l’injustice que la commettre : l’apologie de Socrate, Platon (428-348 av. J. -C.) ..................... 31 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 32 2 Justice et force ..................................................................... 34 La justice repose

penseurs de l’Antiquité comme Epictète, Plutarque et Socrate. Dialogues : • Avec Epictète, qui est un moraliste. Epictète a une conception absolue de la morale. Selon lui, on peut devenir divin déjà pendant notre existence sur terre. Tout ce qui se passe est la manifestation de Dieu, y compris les maladies et les deuils. Mais ça ne provoque aucune émotion. On appelle ceci le stoïcisme, qui ne sera pas accepté par Montaigne. • Avec Socrate, qui a pour question centrale « pourquoi lorsque

l'imbécile, l'ignorant ou le gredin sont, avec leurs lots respectifs, plus complètement satisfaits qu'eux-mêmes avec le leur. C'est pourquoi Il vaut mieux être un homme insatisfait qu'un porc satisfait ; il vaut mieux être Socrate insatisfait qu'un imbécile satisfait. De ceci se conclut que " l'idéal utilitariste, c'est le bonheur général et non le bonheur personnel. " On voit par là que l'extension de la notion de plaisir et l'introduction de la différence

Le point de vue des Anciens. VIII-V s. av. J.C. – rien n’a été écrite (sauf les textes politiques : VIIIs. – les lois de la cité), mais littérature existe déjà en oral : le mythe n’existe que réellement que si il est transmis par oral. Aristote, Socrate Fl.Dupont distingue la « culture chaude » et la « culture froide » : la pragmatique du texte littéraire est le condition auquel se fait l’énonciation littéraire. Dans le texte littéraire un fin esthétique se mettre au service du beau. (La distinction

épouse Marianne-Elisa Birch, une jeune Anglaise, en 1820, et occupe des fonctions de secrétaire d'ambassade en Italie avant de démissionner en 1830. Il publie alors d'autres poèmes comme, en 1823, les Nouvelles Méditations poétiques et La Mort de Socrate. En 1830, il entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation En 1833, il est élu député. Il joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848, proclamant la République ; il est pendant trois mois chef

chats qui devient de plus en plus farfelu : donc votre chien est un chat/ donc Socrate était un chat. Quelle est l’erreur initiale ? La structure d’un syllogisme est telle que la majeure a la plus grande extension (Tous les hommes sont mortels). La mineure relève un cas plus particulier et le met en rapport avec le premier terme de la majeure ( Socrate est un homme). La conclusion en tire la conséquence (Donc Socrate est mortel). Or le logicien se trompe de terme dans la mineure (« Isidore et Fricot

s’en sortir. Platon est un optimiste voilé. Quand à la fin du livre IX de La République, un des jeunes gens résume la leçon qu’il tire du dialogue au stade où celui-ci est parvenu en déclarant qu’il ne faut certainement pas se mêler de politique, Socrate lui rétorque vertement « : Nom d’un chien (littéralement : « par le chien »), si [il faut s’en mêler] ! » Et il précise : « la cité dont nous avons tracé le plan, et qui n’est fondée que dans nos discours », celle dont on peut se demander si « elle