Apologie

humain peut être considéré comme bon ou mauvais selon le point de vue de chacun. Les deux opinions sont défendables. Tous ces côtés sombres et ces aspects positifs rendent la race humaine complexe et, comme le sous-entend Montaigne dans son essai « Apologie de Raymond Sebond » avec des exemples tirées de la vie quotidienne : L’Homme est instable.

souligner la grandeur Prosopopée : on fait parler ou agir une personne absente, un objet ou une chose. v 50 : apothéose : admission au royaume des saints v 50 : « on » représente la foule v 52à55 : Morale : il faut entrer dans le jeu du roi, apologie ironique du mensonge v 55 : le roi est comparé à un poisson qui gobe l’appât, qui se laisse piégé -> naïveté Axes de lecture : I] L’art de la fable / une fable hors norme a) rythme particulier ou schéma (situation initiale, péripéties, animaux

extérieure. Il peut donc être utile de tenter de préciser la nature de ce qui, en moi, me dit ce je dois faire. I) Devoir et « voix intérieure » Lorsqu'il doit se défendre des accusations portées contre lui, Socrate fait valoir, dans son Apologie telle que nous la rapporte Platon, qu'il obéit à ce qu'il nomme son « démon » : donneur d'ordres qui l'empêche de faire telle ou telle chose, et lui recommande parfois de poser une question plutôt qu'une autre, d'adopter un comportement plutôt qu'un

sa mère et de l'une de ses sœur, se tourne vers la foi catholique. Dans cet état d'esprit parait Atala ou les Amours de deux sauvages dans le désert (1801). En 1802, il publie le Génie du christianisme, ou les Beautés de la religion chrétienne, apologie de la religion à laquelle se rattache René. Chateaubriand devient l'écrivain de la foi et va faire la connaissance de Mme Récanier qui deviendra l'amour de sa vie. Nommé secrétaire d'ambassade à Rome (1803), mais, après l'exécution du duc d'Enghien

», le jésuite va de suite changer d’avis, par crainte : « Monseigneur de Saint-Pouange ! s’écria le jésuite ; ah ! ma fille, c’est tout autre chose » l.15, « il est cousin du plus grand ministre » l.16. Le jésuite qui le blâmait en fait ainsi une apologie : « homme de bien » l.17 « protecteur de la bonne cause » l.17, « bon chrétien » l.18. Ce dernier éloge est en complète contradiction avec la proposition qu’il a fait à Mlle de Saint-Yves. Question 2 : En quoi consiste l’argumentation du Jésuite

discours cité au dessus dans un premier temps pour le réfuter totalement à la fin. (« à quel usage de la vie on pourrait le destiner ? » l.31) Cette partie sert donc de transition entre la thèse et l'antithèse. Le dénouement du texte fait une apologie de la religion (« il est glorieux […] de ses vérités » l.32-34) et détaille ses deux principes élémentaires : le résurrection de Jésus Christ et les hommes naissent naturellement pêcheurs. Il établit ensuite le fait que les hommes sont corrompus

enflamé, transport) + périphrase = connaissance de l’amour qui est celle du N, plus agé et plus exepérimenté et non celle du jeune DG l.15-16 + L.17 = vision de l’expérience du Narrateur l.5 + 10 = appuyé par le ton du plaidoyer Cette apologie perso est complétée par un registre tragique dominant b)Le registre tragique l.1 : Hélas = annonce rapide du regret de DG l.1 : que ne le marquais-je un jour plus tot = annonce de la fatalité l.16 : pour etre religieuse

·         Nous pouvons alors comprendre l'information donnée par le sage comme suit : d'une part, le travail nous permet de ne pas avoir certains besoins inutiles, qui nous pousseraient à vouloir toujours plus (n'oublions pas que Candide est une apologie du contentement de ce que l'on a). ·         D'autre part, par le travail, nous contentons aussi d'autres besoins, ceux qui justement nous sont nécessaires. Aussi s'en trouvent-ils éloignés. La vision que le Turc à des maux cités est simple : ce

d'Europe, «  malheureux d'avoir employés travail à se corrompre eux-mêmes » «  ce superflue amollit, enivre, tourmente »... etc. Fénelon se sert de questions rhétoriques pour faire réfléchir et dénoncer. Fénelon rejette le luxe inutile, fait une apologie de la simplicité et critique la société aristocratique du temps de Louis XIV. Le discours de Fénelon marque le début du siècle des Lumières, et ses idées fondatrices.

À l'inverse : JAPON : fort contrôle social, violence et pulsions refoulées et parallèlement, expérience de la violence mais virtuelle (jeux vidéos) =fort taux de suicide Pacifisme porte certes ses fruits parfois, mais il peut être une véritable apologie criminelle de l'inaction. Refuser la violence et la guerre c'est détruire une forme de rapport à l'autre nécessaire parfois. III. Mais alors qui de la guerre ou de la paix bâti la civilisation ? La guerre est perçue comme destructrice