Aporie

renonce à l’autre. Descartes ne connaît pas la « solution » de cette difficulté, mais il nous conseille d’adopter plutôt la liberté éclairée si nous souhaitons être heureux. La liberté et la loi Rousseau et Kant ont cherché à dépasser ces « apories » (difficultés insurmontables). Etre libre, pour Rousseau, c’est obéir à la loi que l’on se donne à soi-même. Un peuple est libre dans un système républicain puisque, en obéissant à la loi, le citoyen suit la règle qu’il a lui-même promulguée : « Soumis

Platon est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon l'inventeur de la philosophie. Une partie de ses dialogues aboutit à des apories philosophiques : apportant une solution aux problèmes posés, ils ne constituent pas une réponse unique et définitive. La République est son dialogue le plus connu. Dans ce dialogue Platon critique la démocratie dans sa dégénérescence en démagogie et en tyrannie. La République est considérée comme faisant partie du genre littéraire

des problèmes majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale3. Chaque dialogue de Platon interroge un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. La pensée de Platon n'est pas monolithique : une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques, et ses dialogues qui apportent une solution aux problèmes posés ne constituent pas une réponse unique et définitive. Platon est l'inventeur de la théorie des Formes, qu'on appelle plus communément théorie des Idées : celle-ci interprète

cette connaissance serait impossible en fait, nous ne cessons de la poser en droit comme étant possible. Il semble que nous soyons en présence d’une aporie : si la connaissance de soi semble impossible, elle n’en demeure pas moins comme l’horizon de toute conscience de soi et le fondement de toute identité. S’efforçant de dépasser une telle aporie, nous examinerons dans un premier temps le hiatus qui sépare conscience et connaissance de soi, puis nous verrons en quelle mesure toute conscience de

travers deux exemples, une « belle jeune fille » et « le beau n’est autre chose que l’or » : c’est insuffisant et n’explique pas la beauté !, puis par son contraire, le laid (en quoi ça nous avance ?). Au terme du dialogue, Socrate conclut par une aporie «  Les belles choses sont difficiles » Une esthétique comme science est-elle possible ? * Non : Pour Paul Valery, le beau est indicible, ineffable et inexprimable : « Le beau est négatif » (extrait 1, à lire !). * Oui : Baumgarten

l’esprit. Le passé se trouve dans la mémoire, le présent se trouve dans l’<< intuition directe >> et le futur se trouve dans l’attente. Pour répondre à la question demandée, le genre de problème qu’Augustin s’est créé se nomme : << Aporie >>. Ce dernier, s’explique bien : Augustin réalise des réflexions par rapport au temps, pour en tirer des réponses. Ensuite, en démontrant sa réponse, il se retrouve dans une contradiction par rapport à sa réponse, alors il en tire une nouvelle

des problèmes majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale[2]. Chaque dialogue de Platon interroge un sujet donné, par exemple le beau ou le courage. La pensée de Platon n'est pas monolithique : une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques, et ses dialogues qui apportent une solution aux problèmes posés ne constituent pas une réponse unique et définitive. Platon est l'inventeur de la théorie des Formes : celle-ci décrit le réel comme un ensemble de copies qui participent

l'acceptation de sa faillibilité, - dès lors, autrement dit, qu’elle est devenue une pensée. Car l'acte de penser n'implique pas, on le sait, la satisfaction  d'une résolution définitive, mais bien l'installation de la raison dans une perpétuelle aporie, ou son accession à un niveau supérieur de compréhension, ce que Luigi Pareyson appelle une "raison extatique."  

Elenchuséchelle du modèle avec l'esclave de Ménon pour résoudre le problème via la théorie de l'anamnèse. À la fin du dialogue, les participants (qui comprennent Anytos, qui entre vers la fin et a un rôle mineur) sont arrivés à l'état classique de socratique aporie - ils ne savent toujours pas ce qu'est la vertu, mais au moins ils maintenant savent qu'ils ne savent pas. III . Ménon 1. Qu'est-ce que la vertu ? « Pourrais-tu me dire, Socrate, si la vertu peut être enseignée, ou si, ne pouvant l'être, elle

douter, doute provoqué par circonstance extérieur : doute imposé à la conscience du sujet à faiblesse. DOUTE PHILOSOPHIQUE : Délibéré méthodique remise en question volontaire -> dans le but d’accéder au savoir plus certain. Exercice de la pensée. APORIE : Impasse dans un raisonnement qui ne peut aboutir. DOGMATISME : Courant de pensée qui pose que la vérité absolue ou définitive est connu (dogmatique : qqun qui prétend/sur de savoir). RELATIVISME : Le fait objectif ne peut être atteint : tout