Aporie

majeurs de l'histoire de la philosophie occidentale3. Chaque dialogue de Platon est l'occasion d'interroger un sujet donné, par exemple le beau4 ou le courage. La pensée de Platon n'est pas monolithique ; une partie de ses dialogues aboutissent à des apories philosophiques : apportant une solution aux problèmes posés, ils ne constituent pas une réponse unique et définitive. Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées : celle-ci interprète le

Les idées ne son pas quantifiables, mais qualifiable. Lorqu’on a une nouvelle idée, on ne depense pas la première, on l’enrichie. On s’enrichie donc de la pensée des autres, penser seul, c’est penser à vide. La pensée s’appartient a elle meme. Aporie : Résonnement avec lequel on arrive à une contradiction insoluble Ce que je connais c’est ce que je comprends. → Pour connaître, il faut vouloir comprendre Maïeutique → l’accouchement des idées ( en reference a sa mère qui est sage femme, donc

Gauguin.  Ainsi les romantiques gagneront l'aspiration vers l'infini, le Beau, c'est-à-dire, souvent, la nature dans son immensité, la nature dans laquelle on trouve Dieu, à la base de leurs œuvres. Ils se révoltent contre le système en place. IV- Aporie : Comment le blues peut-il être à la fois le point culminant de la douleur psychologique et une source de plaisir ? Comment peut-il aboutir à un dégout de la vie et à une volonté de révolte ? V- Conclusion Conclusion : Au-delà du coté psychologique

essentiel qui brouille « le » sens de l’histoire, tant récit fictionnel dans son évidente première trame que grand récit, version téléologique des événements aboutissant au triomphe des valeurs consensuelles de la communauté. Elle produit des apories, des tensions, des « sens » : soit un « malgré tout » qui oblige à relativiser les lectures idéologiques, et l’univocité qu’elles supposent. D’ailleurs, c’est ce « malgré tout », précisément, qui donne à ces textes leur polyphonie et, partant,

ET DERRIDA Introduction L’évolution de la société a rendu possible le contact entre différentes communautés de vie sans limite de temps ni d’espace. La suppression des frontières géographiques, politiques et spirituelles n’est plus une aporie, mais une nécessité pour la production d’un métissage culturel commun, promoteur de l’évolution du monde. C’est dans le contact avec d’autres cultures qu’un pays peut retrouver son identité culturelle. Il faut découvrir tous les participants qui ont

dégonfle la baudruche des opinions et des faux-savoirs pour mettre son interlocuteur sur le chemin de la connaissance. La notion de désir est inversée; le désir n'est plus leurre mais l'aspiration d'une véritable connaissance quitte à déboucher sur des apories et a été en proie à l'inconfort de l'incertitude. 2) Perdre ses illusions suppose une entrepris volontaire,solitaire, radicale et courageuse comme celle qu'entreprend Descartes dans la 1ère méditation où il s'agit « de se défaire

parole est marginalisée par la quantité de didascalies - langage non verbal semble avoir le dessus--> confusion, le lecteur ne comprend Ø - dialogue: de quoi parle-t-on? --> de rien, d’un retard => vide, vacuité, vanité, inanimé, inertie, aporie du dialogue et de l’action c) L’absurde = la faillite du langage - cette scene révèle de la faillite du langage, perte de sens. Quand la parole apparait: parole de conflit, parole vide, difficulté à parler (Bérenger: “…”)-->Ø de communication

cette connaissance serait impossible en fait, nous ne cessons de la poser en droit comme étant possible. Il semble que nous soyons en présence d’une aporie : si la connaissance de soi semble impossible, elle n’en demeure pas moins comme l’horizon de toute conscience de soi et le fondement de toute identité. S’efforçant de dépasser une telle aporie, nous examinerons dans un premier temps le hiatus qui sépare conscience et connaissance de soi, puis nous verrons en quelle mesure toute conscience

-Qu'est ce qui fait que la bonne volonté est telle ? C'est seulement le vouloir, c'est en soi qu'elle est bonne et c'est ce qui la rend supérieur à tout ce qui pourrait être accompli par elle. → Valeur absolue de la bonne volonté peut sembler étrange; Aporie: « peut-être est ce comprendre à faux l'intention dans la-quelle la nature à délégué la raison au gouvernement de notre volonté. » (p.59) → Chez les êtres vivants, il ne se trouve pas d'organes qui n'ai pas de fin, chaque organe est accommodée pour

=> On n'est pas très renseigné. Par cette scène d'exposition, on ne sais ni où ni quand ils vivent, on ne sait pas ce qui les rattache, ce qui les sépare. Détails très floues, très imprécis, la scène peut se passer n'importe où a la campagne «une». Il semble y avoir une aporie du langage: il ne fonctionne plus > caractéristique du théâtre de l’absurde => Beckett semble mettre au défi les conventions théâtrales car la pièce commence le soir alors qu'elle devrait commencer avec le lever du jour. => la pièce commence alors que V et E sont déjà résignés