Aporie

dans la négociation de ferrante, les 2 états se trouveraient en conflits. Le passage se situe dans le palais alors que le roi Ferrante est autour de ses conseillers qui tout 2 réclame la mort d’Inès pour le bien de l’état. Donc ici on à une aporie : une aporie c’est lorsqu’on est dans une situation telle que l’on est en impossibilité de trouver une issue. I- Un roi affaibli a) Un roi qui a toujours exercé son pouvoir avec force : « du sang(…), j’en ai fait couler assez, dans les guerres et

pythagorisme florissant de cette époque qui apparaît comme l'exaltation du multiple, gage du devenir. Ce sera l'oeuvre des deux principaux successeurs du poète d'Elée : Zénon d'Elée et Melissos de Samos. 2. Postérité de Parménide L'argument des apories et la grandeur infinie de l'être Né à Elée vers 490 et 485 avant Jésus Christ, Zénon se consacra à la défense systématique des idées de son maître. « L'essentiel des divers arguments de Zénon revient à mettre en évidence, dans tout effort pour penser

devant les autres, mais non avec les autres. C’est le discours qui est le lieu de la vérité. Quand il parle, il utilise de l’ironie au sens grec du terme, c'est-à-dire de l’interrogation, naïve en apparence qui débusque l’adversaire, dévoile les apories de son raisonnement. L’ironie socratique, c’est de questionner en feignant l’ignorance. Platon traite les sophistes de cyniques et immorales, pour qu’il vaille mieux commettre l’injustice que la subir. Socrate adopte et défend par sa mort la position

 Conseils pour l’explication de textes philosophiques I Objectif de l’exercice : expliquer le texte dans sa singularité. Cela implique : qu’on repère son objet (thèse, position d’un problème, d’une aporie, etc…) restituer la problématique du passage, c’est-à-dire : élucider les présupposés analyser les concepts fondamentaux élucider les arguments et les enchaînements démonstratifs ; prendre en compte le style philosophique du texte avec ses procédés argumentatifs et rhétoriques faire apparaître

pourraient exister dans la réalité – et même cela Rousseau l’invalide, au théâtre en tout cas ils n’existent pas. Le choix du personnage du misanthrope qu’on fait Ménandre et Molière promet au public une dramaturgie des plus intéressantes par cette aporie solutionnée. En effet si Cnémon et Alceste sont de vrais misanthropes, seraient-ils alors des misanthropes du compromis ? Toute l’essence du paradoxe qu’est le misanthrope comme personnage de théâtre se dégage alors, puisque nous avons affaire à deux

souvenirs de jeunesse de Tristan l’Hermite Adolphe ou de Dominique Vallès : (L’enfant, Le Bachelier, L’insurgé) Antithèse : Apollinaire : « Chacun de mes poèmes est une commémoration d’un événement de ma vie » (Lettre à H. Martineau, 1913). Aporie : Burlesque : forme de comique fondée sur le rabaissement trivial d’éléments culturels traditionnellement présentés comme admirables. Chiasmes : Comparaison : Euphémisme : Explicit : par opposition à incipit Flaubert : « je me suis toujours

Valmont. Elle montre aussi que le libertinage n’est pas seulement une liberté sexuelle, c’est aussi une interdiction d’être amoureux. Le roué ne doit jamais céder à ses sentiments sans quoi il se retrouve terriblement asservi. On assiste ici à une aporie, Valmont en mourra dans son duel avec Danceny.

réfutée par Socrate lui-même qui démontre que la connaissance de la valeur des choses du passé du présent et du futur correspond non à une partie de la vertu (ce qu'est le courage) mais à la vertu toute entière. Le dialogue se termine ainsi sur une aporie, une incapacité de définition du courage. Dans le Lachès, il semble donc que la doxa soit présente dans chacune des thèses avancées. D’abord chez Lachès, la définition du courage en tant que fermeté d’âme apparaît, avec la réfutation de Socrate

la conscience de cette connaissance. A l’inverse, si je ne me connais pas, aucune réponse à la question n’est possible puisqu'il faudrait que je me connaisse pour savoir si la conscience que j'ai de moi est vraie ou fausse, ce qui est absurde (cf. aporie des Mégariques). Mais, ce n'est pas tout : en outre l'expérience de l'erreur sur soi, de la méprise à son propre sujet est si présente que je peux être sûr que la conscience spontanée que j'ai de moi n'est pas une connaissance de que je suis effectivement

Le totalitarisme • Présentation et analyse des dissertations de la séance 4. • Lectures : - Hannah Arendt, « Idéologie et terreur : un nouveau type de régime », in Les origines du totalitarisme. - Enzo Traverso, « Le totalitarisme : histoire et apories d’un concept », in L’homme et la société, n°129, mars 1998. • Dissertations : 1) A propos du totalitarisme, Hannah Arendt note : « Une idéologie est précisément ce que son nom indique : elle est la logique d’une idée… L’émancipation de la pensée à