Aporie

prêcher une liberté d’écriture, une écriture anodine dans un projet singulier. Un deuxième temps nous permettra de voir que Drieu cherche la non définition de son ouvrage par la forme romanesque qui permet la création d’une fiction. Conséquence de cette aporie ; il s’agira dans un dernier temps de comprendre cette difficulté de statuer l’œuvre comme le fait de sa constitution même. Cette incapacité à définir Le Feu follet s’exprime à travers sa matérialité même, elle-même inconsistante et vide. * **

sens et l’enjeu du problème posé… B – « Contrainte légale et liberté » : « comment unir la soumission sous une contrainte légale avec la faculté de se servir de sa liberté ? » Il y a donc bien une difficulté inhérente à l’éducation, une véritable aporie comment concilier la contrainte légale et la liberté : a – Ma culture : nous avons éclairci les implications de la notion de contrainte en la distinguant de l’obligation : contrainte 1.  sujétion à une force « contraint et forcé » dit justement

recherche, en relation avec l’ « existence » qu’elle chercherait à découvrir. Ainsi, si la vision de la « morale du roman » comme règle du genre romanesque ou obligation morale du romancier –comme on l’aurait défini au début- nous conduit à cette aporie en raison de la subordination même de toute morale à l’œuvre, l’affirmation de cette subordination permet cependant de redéfinir la « morale du roman » comme système moral construit par le roman –comme celui de Sade om un raisonnement philosophique

Im Zwielicht. In: Frauke Severit (Hrsg.): Das alles war ich. Politikerinnen, Künstlerinnen, Exzentrikerinnen der Wiener Moderne, Wien u. a. 1998, S.163-201. Spreitzer, Brigitte: Selbstschöpfung – Fremdwerden. Weibliche Subjektivität als Vision und Aporie im Schreiben österreichischer Autorinnen um 1900. In: Lisa Fischer / Emil Brix (Hrsg.): Die Frauen der Wiener Moderne, Wien/ München 1997, S.137-153. Spreitzer, Brigitte: Texturen der österreichischen Moderne der Frauen, Wien 1999. Springer, Peter:

interprétation individuelle de la Bible de Luther (on pourrait lire la Bible sans intermédiaire, donc, sans autorité ni tradition). De même, face aux athées, Montaigne proclame l’impossibilité de dire que Dieu n’est pas : il est impossible de sortir des apories (« nous voilà au rouet », etc.). 4) l’argument du songe. L’insolence est le fait du stoïcisme. L’appréciation que P. formule sur Montaigne est positive : caractère chrétien, celui de l’humilité. Elle est la relation de dépendance et de différence

déréliction dont selon lui doit être victime Bartleby. Toujours dans le même sens, il plaint le copiste qui « tient tout seul ses cartiers de célibataire », qui n’a aucun amis : « m’envahit la pensé de l’absence de tout amis ». L’avoué est fasse à une aporie, car il ne comprend pas que l’on puisse vivre ainsi, comme le dit Lévi-Strauss « on préfère rejeter hors de la culture tout ce qui ne se conforme pas à la norme sous laquelle on vit » et c’est d’ailleurs ce que fera l’avoué à la fin de la nouvelle

peintre en perspective, « dans la lucidité critique envers toute tricherie mythifiante, entre « fiction » et « témoignage » »[30]. Mais écrire, n’est-ce pas croire aux pouvoirs des mythes, ressusciter les vieux morts de la bibliothèque universelle ? Aporie dont Michon sort par une démythification sociologique, construisant un système de figuration où « pose et posture des artistes relèvent en effet aussi bien de leur construction mythique que de leur positionnement sociologique »[31]. Ainsi Van Gogh

sous-entendent parfois des propos misérabilistes ou à l’opposé populistes. D’un côté le hip-hop est acceptable à partir du moment où on en sort (assimilation), de l’autre côté, à partir du moment où on y reste (folklore). Comment sortir de la vieille aporie entre théorie relativiste et universaliste de la culture ? L’une prétendant que toute culture prise dans sa différence est unique et ne peut être jaugée sur une échelle de valeurs, l’autre affirmant l’existence d’invariant (valeurs, symboles, etc

sociolinguistique ainsi que par Deleuze et Guattari. Le linguiste Jean Barnabé a également consacré un article au sujet. Il est à priori difficile , voire périlleux ,de prétendre définir la pratique littéraire . Toute tentative de définition soit conduira à une aporie, soit se révèlera insuffisante à rendre compte de toutes les 3 facettes de sa réalité. Par exemple, identifier langue littéraire et langue écrite non seulement se révèlera insuffisant mais sera contredit par de nombreuses études comme celle de

(Hamers, 1997 : 136). Cependant, on peut faire remarquer que ce critère de la conscience d’utiliser une expression provenant d’une autre langue ou variété est délicat à appliquer par le linguiste. Dans son article «  Emprunt ou xénisme  : les apories d’une dichotomie introuvable  ?  » Queffelec reprend la distinction que Deroy a opérée entre l’emprunt et le xénisme : 103 Synergies Algérie n° 6 - 2009 pp. 99-108 Belkacem Boumedini [...] Au point de vue de l’usage à un moment donné de