Aporie

dimension dynamique → Etude de l’apprentissage, de l’accumulation des connaissances comme sources d’innovation C. Vincensini Les analyses économiques de la firme 11 février 2009 3/31 3. Penser la firme n’était pas évident avant les années 1970 • Les apories de la théorie néoclassique de la firme-point Elle est une composante de la théorie des prix et de l’allocation des ressources Hypothèses standard Nature de la firme : une fonction de production qui réagit mécaniquement et efficacement à son environnement

Un dilemme est l’obligation de choisir entre deux possibilités dont chacune présente des inconvénients (ne pas écrire dilemme). L’apogée est le plus haut degré de gloire, de puissance, qu’on puisse atteindre. C’est un mot masculin : un apogée. Une aporie (adjectif = aporétique) est une difficulté d’ordre rationnel, un paradoxe ou une contradiction insolubles. Un panégyrique est l’éloge, écrit ou parlé, de quelqu’un ou de quelque chose. Une conjecture est une supposition, une hypothèse, une prévision

de plus en plus probable la thèse d’une perte irréparable. Les rêveries ou les images anthropologiques, voire anthropogoniques (Pascal récrit sans cesse le chapitre III de la Genèse), s’accumulent, s’additionnent pour buter sur une énigme ou une aporie. Notre imagination, si fortement sollicitée, doit rendre les armes, à l’instar d’une raison « humiliée et suppliante » (fr. 85) qui s’était déjà avouée vaincue. « Le noeud de notre condition prend ses replis et ses tours dans cet abîme », note

Le discours est un objet qui s’expérimente. D’un point de vue scientifique, lorsqu’il détermine son objet à partir de la fixation du savoir qu’il entreprend, il se construit en suivant une méthode – elle-même scientifique – et se confronte aux apories de la disjonction essentielle entre son champ d’application et l’autre monde. Il y avait une dualité au commencement de la réflexion, une dualité au moins supposée comme principe de départ : le savant et le scientifique, puis un prisme : le discours

textes littéraires comme en histoire des sciences, l’articulation des productions culturelles et des sociétés qui les produisent ? La description proposée semble conduire à une aporie sur ce point. Pourtant, un examen épistémologique des deux types d’analyse peut offrir quelques éléments pour un dépassement de cette aporie. La non-concordance des résultats est le fruit de la non-congruence de deux démarches, qui ne peuvent se rejoindre parce qu’elles se développent à bien des égards sur des plans

comprend bien pourquoi on est allé chercher en dehors de ces principes ce qui pourrait les justifier : Dieu, le cogito ou la subjectivité voire même la science qui les a justifiés à priori en les mettant en œuvre. Chap.2 : Les circularités et les apories de l’ordre du jugement. 1. La pétition de principe comme propositionnalisation du résolutoire. Le porpositionnalisme a pour principe de répondre au problème qui consiste, en guise de réponse, à supprimer le problématique, et à

pourtant de mettre à bas ? A l’instar de Maryse Condé, « nous demanderons si tout compte fait, il y a refus39 ». La réponse négritudienne à la question « qui et quels nous sommes40 ? » entretient donc une part d’ambiguïté au point de constituer une aporie interprétative.

entre la société médiévale et la société moderne. l'égalité est moderne et la fraternité est un concept mediévale et religieux libre arbitre : libre décision indépendament de la volonT de Dieu ce qui est difficile car Il est tous puissants! T1 : Aporie : Dieu tous puissant et bon mais il laisse le mal ==> comme l'Homme est fait a l'image de Dieu il est fait avc une forte volonT aussi grande que celle de Dieu et donc il peut s'opposé a la volonT divine. Et donc l'origine du mal = Homme. T2 :

interrogation que deux possibilités sont ouvertes à savoir soit on parvient à établir positivement quelque chose et donc en ce sens là on accède à ce qu'on peut tenir pour une vérité, soit on n'y parvient pas et donc on rencontre ce que Platon appelle une aporie et dans ce cas-là, on à affaire à une autre forme de dialogue que sont les dialogues aporétiques. Mais la question va être de savoir si cette vérité humaine n'est pas quelque chose comme une convention. Vérité comme convention ? Dans l'enquête, dans

même au contraire elle implique l’inégalité : sauf le cas des jumeaux, mon frère est toujours plus âgé ou plus jeune que moi, et la famille constitue ainsi un ordre des inégaux ; elle est , comme dit Alain, « hiérarchiquement disposée ». Face à cette aporie, on peut être tenté de rapporter l’égalité à la perfectibilité humaine. Tous les hommes seraient égaux parce qu’ils sont capables de progrès, d’acquisitions , d’accroissement indéfini de leurs connaissances et de leurs compétences, même s’ils ne mettent