Apostrophe

les valeurs et les moeurs humaines. Le philosophe Diderot propose ainsi, dans Le Supplément au voyage de Bougainville, de réfléchir sur la portée de la colonisation, en donnant la parole aux peuples indigènes. Dans le passage étudié, un vieillard apostrophe avec force l'explorateur européen. Nous nous interrogerons sur la portée de de discours : Dans quelle mesure l'écrivain, à travers le discours de ce vieil homme adressé à Bougainville, dénonce-t-il l'absurdité et l'hypocrisie des valeurs européennes

très peu de mots seulement « monsieur », « jamais », cela nous montre son attitude froide, elle est peu aimable avec Ruy Blas. Par contre au fur et à mesure que ses sentiments évoluent elle parle un peu plus. Au début ce « monsieur… » dont elle apostrophe le rabaisse, le rejette. Les trois points de suspensions nous laisse penser que la Reine réfléchit, ou bien qu’elle est interrompu par Ruy Blas, car il ne cesse de parler. De plus le monsieur, provoque un effet de politesse. Qui nous laisse penser

difficultés de la situat° : allitérat° [r] (v.24) "Et arraché la barbe & les sourcils" + [k] "Plus becquetés d'oiseau que dés à coudre" * Suscite compass° du lecteur -> Mise en évidence que pendus= hô cô des autres : prosopopée : Ŧ ne parlent pas -> Apostrophe début des 1ère & 2ème strophes : "frères hù" (v.1) ; "frères" (v.11) => tous proches + pronom pers "nous" => système inclusifs, proches de tous les hô * Locuteur = martyre : -> Posit° de COD => subit l'act° "vous nous voyez ici pendus" (v.5)

- Il prenait une consultation d’élégance. Tanka L’autobus arrive Un zazou à chapeau monte Un heurt il y a Plus tard devant Saint Lazare Il est question d’un bouton Télégraphique Bus bondé STOP un homme long cou chapeau cercle tressé apostrophe voyageur inconnu sans prétexte valable STOP question doigts pieds froissés contact talon prétendu volontaire STOP jeune homme abandonne discussion pour place libre STOP 14 heures place Rome jeune homme écoute conseils vestimentaires camarade STOP

lutte contre la haine. En quoi et comment cette prière à Dieu adressée aux hommes cherche-t-elle à nous persuader d’être plus tolérants ? I - Les caractéristiques de la prière Citations | Procédés | interprétations | l1 ,"c'est à toi dieu" | Apostrophe | toucher les | formule de prière | subordonnées | hommes | "cierges, prières, adorer" | chps lexical religieux | dans leurs | rythme (incantation) | subordonnées, répétitions | sentiments | "fait que","daigne" | impératif | Requette, supplication

présent des suppliciés. Abordons maintenant la situation d’énonciation. Nous constatons d’emblée que la prière s’adresse à un double destinataire. En effet, Villon s’adresse essentiellement et d’abord aux hommes. Il ouvre ainsi son poème par une apostrophe « …………………………… ». Le substantif pluriel renvoie à la fois aux vivants contemporains mais dépasse également la temporalité et peut désigner les lecteurs des générations futures auxquelles fait référence la subordonnée relative. Il attend d’eux qu’ils

condition ; et de la ligne 14 à 20 l’incitation à mobiliser leur intelligence pour vaincre les résistances des hommes à accepter l’égalité.I) Premier mouvement : Invitation de la femme à prendre conscience que l’homme l’a flouée de ses droits.“femme”Apostrophe au singulier, premier mot du

se présente à Rastignac comme un guide, un initiateur : il cherche à lui révéler les clés pour réussir dans la société. A) Vautrin se place dans une position de supériorité face à son interlocuteur. Par sa façon dont il qualifie Rastignac : apostrophe “ jeune homme ”, “ gaillard ”, “ 50 mille jeunes gens […dans votre position] -> Ces expressions insiste sur son jeune âge, ce qui suggère l’inexpérience de Rastignac. Par sa façon de se présenter comme celui qui sait : “ J’ai bien su lire ” ->

et de l'esclave : le « on » de la fin représente les blancs contre les noirs. * L'inacceptable est accepté. II - Eléments de dénonciation A. Appel à la pitié, à la sensibilité du lecteur pour donner plus de force à la dénonciation. * Apostrophes, exclamations, interjections (l3-15). * Petits mots qui marquent le jugement (outil = énonciation). B. Dénonciation de l'esclavage. * Vocabulaire de l'horreur, de l'inhumanité : mutilation et situation de l'esclave : « couper, attraper

symbolique de l’amour selon Baudelaire. I.  L’éloge de la femme ou la réécriture du blason a) Une déclaration d’amour ou l’expression du désir charnel ? - L’étude de l’énonciation nous montre dès le premier vers une apostrophe à la femme aimée ; une apostrophe métonymique qui insiste sur la passivité, la nonchalance proche de la lascivité de la femme (« chère indolente ») et le déterminant possessif (« ton corps ») accentue encore l’aspect charnel. Le « je » du poète est bien présent