Apostrophe

façon ironique à remettre en cause l'intelligence de l'homme. II) L'absurdité de la guerre A. L'interpellation des hommes Afin de démontrer l'absurdité de la guerre, l'auteur interpelle les hommes grâce à différents procédés. Le texte entier est une apostrophe au lecteur, ce que nous pouvons voir dès le début : "Voilà le plus abominable sabbat dont on ait jamais ouï parler l'auteur attire ainsi l'attention du lecteur pour le toucher davantage. Il multiplie les adresses directes sous forme de questions

Le narrateur n’a pas envie de répondre aux questions A prendre aussi au sens figuré : « d’où venait-il ? » qu’est-ce qu’il cherche ? Le narrateur laisse la place et la parole aux personnages Interpellation explicite = apostrophe (« lecteur ») « Vous voyez » le lecteur est pris à témoin Il veut montrer que la narration (« faire des contes » = faire des romans) est quelque chose de « facile » et arbitraire manipulation du lecteur Diderot est

une méprise sur l’identité d’un personnage. Antiphrase :C’est sous-entendre le contraire de ce que signifie une phrase énoncée : on dit ainsi le contraire de ce que l’on pense réellement. Exemple: En voyant passer Quasimodo, on dira: Bel homme Apostrophe :Il s’agit en fait d’adresser la parole à quelqu’un ou à un inanimé. exemple: Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

offert un langage. | Antithèse | Il améliore nos vie, mais détériore nos esprits | Antiphrase | De simple théories déstructure notre monde | Antonomase | L'évolution par les Hommes, n'est que danger pour lui même | Apostrophe oratoire | Ô cupide esprit | Assonance | L'éveil de leurs esprit, | Chiasme | Le savoir arrivaient, partaient les miracles | Comparaison | Étudie comme ton père et tu comprendra la vie | Éponyme | George

valeurs. Confronté au sentiments de l’absurde en prenant conscience de sa solitude de mort. Registres : Registre lyrique : Vocabulaire de l’émotion, amour, nostalgie, bonheur, extase, nature. Pronom « je », Tournure exclamatives, invocation, apostrophe, insistances, anaphores, hyperboles. Registre tragique : souvent rapport avec le destin (religieux). Pris au piège de la volonté des dieux ou passions. Vocabulaire, impuissance ou révolte. Détresse de l’individu. « Les liaisons dangereuses »

l'énonciateur Moldoror qui se dévoilent peu à peu jusqu'à la dernière phrase terrible. On assiste à une manipulation et à une provocation du lecteur. A) La provocation et la manipulation du destinataire - par les marques de l'énonciation, les apostrophes, le mode verbal impératif. - par les pseudo conseils, suivis de mises en garde, comme des menaces. - par les futurs prophétiques et imprécatoires. - par le postulat premier : "Vous ne savez pas ... je vais vous le dire" qui souligne l'ignorance

il le prend à témoin en l’impliquant dans le discours. INDICES À RELEVER Pronoms personnels et adjectifs possessifs de première personne ; vocabulaire affectif ou évaluatif, modalisateurs de la certitude Pronoms personnels de deuxième personne, apostrophes, fausses questions 2 L’IMPLICATION DE L’ÉMETTEUR L’IMPLICATION DU DESTINATAIRE 2 Les valeurs invoquées Les valeurs sociales Le polémiste invoque les valeurs partagées parla société. C’est au nom de ces valeurs qu’il engage le débat et

plus aussi impliqué car Jaccottet parle de plus en plus de lui-même : il parle de feu des membres de sa famille, il y a au fur et à mesure de l'avancée des poèmes plus de « je » que de « nous » qui disparaîtraient presque, des apostrophes à ses proches et ensuite des apostrophes à lui-même, et Jaccottet se met à réfléchir par et pour lui-même et n'implique plus aussi bien le lecteur. Il se met également à se critiquer lui-même, s'insultant et se rabaissant. Jaccottet donc même si il tente d'être fidèle

-Le gout : On goûte -L’odorat : on sent -Le toucher : touche du doigt Partie 2 : • Rime suivies, vers libres. • On remarque qu’il y a peu de ponctuation. • Au vers 17 GCM s’adresse à Rouda par une apostrophe « Rouda » v17.Il s’agit d’ un autre poète-rappeur-slameur moderne de son temps, avec lequel il a collaboré pour la chanson du bout du monde • Liberté dans le poème : on remarque que les 4 premiers et 4 derniers vers sont identiques. On distingue

connecteur temporel « quand » marque cette rupture et est suivi d’un passé simple : « je vis ». – Poème lyrique et humaniste : dans la seconde partie, le poète exprime ses sentiments dans une exclamative qui semble irrépressible : « ô fleuve mien ! » (apostrophe) . Du Bellay évoque ainsi son Anjou natal ainsi que la Loire auxquels il est très attaché. Dans ce poème, cohabitent un thème mythologique et connu : le topos de la belle matineuse et un thème cher au poète : son pays natal : « l’Angevin » «