Apostrophe

sérieuses . L’auteur met en garde le lecteur de ne pas oublier de regarder au-delà des apparences . Comment parvient-il à laisser entrevoir le sens caché des choses en utilisant le rire et la trivialité ? I. L’APOSTROPHE L’auteur apostrophe d’abord le lecteur pressenti comme un homme du peuple . Des antithèses , ou plus précisément des oxymores , opposent les noms « buveurs » et « vérolés » aux qualificatifs « illustres » et « précieux, ce qui traduit un paradoxe , à l’encontre de

puis nous verrons la référence à la nature-et la comparaison avec les autres espèces et enfin nous étudierons la dénonciaüon de lbrgueil et de la prétenüon des hommes. Développement 1" lnterpellation des hommes et remis en cause de leurs tyrannies Apostrophe « Hommes » => lnterpellation des hommes + emploi du singulier = valeur général Question rhétorique + tutoiement « es-tu capable d'être juste ? »» => elle lance un défi aux hommes + provocation qui remet en cause leur moralité + affirmation

de madrigal ou de fable A- Un madrigal? \ madtigal=courte pièce en vers exprimant un compliment galant [J!!] • Le poète s'adresse à lafemme aimée, et idéalisée. Apostrophes: «mon âme», (v. 1), « étoile de mes yeux, soleil de ma nature/ Vous, mon ange et ma passion »(v. 39-40) « Ô la reine des grâces ».. « Ô ma beauté» Gracieuses apostrophes, du vocabulaire de la préciosité [Préciosité= XVIIo siècle): constantes hyperboles; précieuse et poétique aussi l'anaphore de l'interjection « Ô ». La jeune femme

peut voir ceci par l’absence d’apostrophe. L’unique apostrophe que nous avons est « va, bienheureux » (v.9) qui s’adresse avec l’utilisation de l’impératif, au luth personnifié. Jamais il ne s’adresse à la femme. Il dit au luth d’aller voir la femme « idéale » représentée par « ces blanches mains » au vers 9 et « ces bras célestement humains » au vers 10 et précisant qu’il aura peut-être l’honneur d’être pris entre ses mains. Par cette apostrophe, on voit que le luth est personnifié. « Luth » au vers

la misère des enfants dans certaines conditions de vie déplorables. Enfants qui travaillent : exploitation. Problématique En quoi Victor Hugo dénonce-t-il une société d’exploitation envers les enfants par sa mélancolie ?Plan Interpellation (v1-3)apostrophe du lecteur par des interrogations. Dénonciation.  Phrases interrogatives avec des termes contradictoires (enfants sont supposés rire). Une description des enfants : Fragilité / Jeunesse / maladienégation (vers 1) qui renforce la misère des enfantsDescription

s'adressedirectement aux femmes.Comment OdG appelle t-elle avec force les femmes à se révolter contre l'autorité masculine ?Mouvement 1 : L1-5 : OdG explique à la femme la particularité du contexte historique propice à l'émancipationL1: « femme réveille toi » apostrophe (autoritaire) OdG s'adresse directement aux femmes afin de les mobiliséL1 : L'impératif «réveille-toi», par son tutoiement, traduit une familiarité entre l'auteure et les femmes. La métaphore du sommeil assimile la Révolution à un réveil brutal

connaissais toutes les classes. Explications: en précise le nom "classes" 5. Le mois de mai APPOSITION est le mois du renouveau. Explications: mois = mai 6. La Brabançonne, hymne national belge, commence ainsi : Ô Belgique ! Ô Mère chérie ! APOSTROPHE 7. Le sac de pommes COMPLÉMENT DU NOM traîne sous la table. Explications: pommes complète le nom sac 8. Tante Julie APPOSITION est venue nous rendre visite. Explications: tante = julie1. Il s'entraîne pour être champion du monde. CC BUT

louis » qui suit à Catherine indique encore un geste joint a la parole (Suzanne s’adresse à sa belle sœur et lui présente Louis) - Le présentatif « voilà » devant « louis » v4 didascalie - Apostrophe finale à « Catherine » embrouille et encore répétition pour le lecteur par l absence de didascalies - L apostrophe exclamative « Suzanne » suivie de l’injonction « s’il te plaît » exprime ici un reproche poli mais sec - Deux expressions suivie : un présent « tu te laisses avancer » et un impératif

et l'on retrouve ainsi tous les topoi (clichés) de la poésie amoureuse. V.1 : « Mignonne, allons voir si la rose » Adjectif mélioratif sublimant la femme que le poète apostrophe . Cette apostrophe se retrouve à deux reprises, créant une impression de refrain et une anaphore . « Rose » : Métaphore représentant la beauté de la femme. « Matin » : Représentatif de la nature, du

futur à valeur injonctive)  - Progression logique du propos (expression de la cause et de la conséquence), style clair facilement compréhensible - Recours à l’exemple Instruire, transmettre un savoir. Epidictique - Implication du destinataire : apostrophe et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement. - Rythmes éloquents amples, périodes - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.) Louer ou blâmer. Epique